« Parlez et
agissez comme devant être jugés par une loi de liberté, » (Jacques 2:12)
Jacques entre
dans la conclusion de cette section sur le favoritisme. En terme de résumé, il
remet tout dans une perspective personnelle à chaque individu. Ultimement, nous
devons parler et agir face aux autres comme étant nous-mêmes responsables
devant la Parole de Dieu.
La loi de la
liberté n'est en aucun cas une licence à agir selon notre propre volonté, selon
nos propres désirs. La loi de la chair, c'est la loi de l'esclavage de soi et
des autres. La loi de Dieu est la loi de la liberté, car elle nous appelle à ne
point être esclave de soi, des autres et à ne pas rendre les autres esclaves
non plus.
Nous devons
garder en tête que Christ délivre ceux qui se confient en Lui. Christ nous rend
libre! Et nous voudrions rendre nos frères et sœurs esclaves? Cela ne fait
aucun sens. Le favoritisme n'est certainement pas compatible avec Christ.
Ce n'est que
lorsque nous nous percevons meilleur que les autres, et ce n'est qu'une
perception infondée, que nous sommes en mesure de faire du favoritisme. Car le
favoritisme dans nos agissement cherche à prendre possession d'un avantage que
nous croyons mériter du fait de notre supériorité en tant que créature sur les
autres. La seule façon de nous remettre en place...c'est de se voir par rapport
à Christ!
Nous avons pris
possession du salut par la foi en dépendant sur Christ. Maintenant, vivons dans
cette dépendance!
Samuel Deroy
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