lundi 31 août 2015

INSPIRATIONS DIVERS 2A

Bonjour frères et sœurs

Ce matin, je me tourne vers un nouvel auteur, Gaston Racine. Dans son texte intitulé ENRACINÉ ET ÉDIFIÉ EN LUI il fait un commentaire qui a transpercé mon cœur de pierre. Voici ce qu'il dit:

si nous pensions à ne jamais rien faire que parce que c'est la volonté expresse de Dieu, combien de choses disparaîtraient immédiatement de notre vie!

Cette vérité ma piqué au vif. Je sais que je ne cherche pas toujours à faire seulement la volonté expresse de Dieu. Trop souvent, je me permets. Je justifie une activité ou parole qui ne sont pas mauvaises. Je tolère des fardeaux qui me ralentissent tout en me disant: Je peux faire c'est choses à la gloire de Dieu.

Vous avez surement déjà entendu l'idée: Si Christ serait là est-ce que je verrais ceci? Ou celle qui affirme: Si tu peux remercier Dieu pour ton activité, tu peux la faire. Mais voici que par une simple phrase il vient de chavirer ces notions-là. Monsieur Racine nous oblige d'aller plus loin que juste, je peux.

La vie chrétienne n'est pas à-propos de ce que nous pouvons faire. Ni des raisonnements qui nous permettent des choses. C'est supposé être; mourir pour revivre en Christ à la gloire à Dieu. Nous devrions vraiment nous demander qu'elle est la volonté de Dieu avant de faire ou dire quelque chose. Le problème est que ce standard est exagéré.

Je connais un frère que tous considèrent exagéré dans sa façon de ce percevoir. Il voit du péché partout et dans tout. Je ne pense pas qu'il est fanatique, mais qu'il recherche activement à répondre à cette question. Et plus souvent qu'autrement il n'a pas la bonne réponse, donc il est déçu de lui-même.

J'ai déjà entendu le dicton: nous jouons à l'église, j'ajouterais que nous jouons au chrétien. Nous voulons la relation intime avec Dieu en même temps de nos petites permissions, amusements et taquineries. Je ne dis pas qu'il doit y avoir une séparation radicale entre les deux, mais il faut se poser la question:

EST-CE LA VOLONTÉ EXPRESSE DE DIEU POUR NOUS?

J'espère que vous ne considérez pas mes propos exagérés. Vous disant: Martin est encore parti avec son puritanisme fanatique de privation insensé. À la place, j'espère que vous allez vraiment vous poser la question.

Martin Labonté

vendredi 28 août 2015

Efforts Humains?

Nous mettons en conflit la volonté de Dieu et nos efforts humains. Dans le sens où parfois nous "forçons" la volonté de Dieu pour faire à notre tête. Alors, lorsque nous discutons avec d'autres frères et soeurs, nous avons tendance à prendre le chemin des précautions. Comment pourrions-nous être certains que nous ne forçons pas la volonté de Dieu? Mais je ne crois pas que la question est celle que l'on doit se poser. Devrions-nous pas plutôt nous questionner à savoir si nous cherchons la volonté de Dieu? Si nous sommes ouverts à Sa direction?

Car si nous mettons en doute ce qui arrive, si nous nous questionnons à savoir si c'est le fruit de nos efforts où de la volonté de Dieu, ne sommes-nous pas dans une pente glissante? Si nous commençons à dire : "cette situation est le fruit de mes efforts et c'est pour cela que ça va mal" ou encore "j'aurais dû écouter la volonté de Dieu et ça aurait bien été"... Ne sommes-nous pas envahi par la philosophie mondaine?

Les non-croyants déconstruisent chacunes de leur situations pour les expliquer sans Dieu... Quelle est la différence lorsque nous disons qu'une situation est le fruit de nos efforts vains alors qu'une autre  ne l'est pas? Mon point ce n'est pas que nos décisions sont le fruit de nos efforts, mais plutôt que où s'arrête notre déconstruction des situations pour les expliquer sans Dieu... comme ceux sans Dieu?

La question qui tue : croyons-nous que Dieu est en contrôle ou non? Le vivons-nous pleinement?

"Les projets que forme le cœur dépendent de l’homme,
Mais la réponse que donne la bouche vient de l’Eternel." (Proverbes 16.1)

Samuel Deroy

mercredi 26 août 2015

2 CORINTHIENS 1:15-22

Bonjour frères et soeurs

Continuons notre chemin dans le chapitre 1. Paul vient de passer deux sections en asseyant de se rapprocher et réconcilier avec eux. Maintenant, nous allons un peu plus comprendre pourquoi il doit faire des efforts. Il y a eu une certaine situation entre eux et Paul. Il va devoir la régler s'il veut rétablir les liens et surtout avancer dans sa défense. Notre texte est problématique et controversé. Un peu comme Paul, je vais devoir adresser le problème avant d'avancer.

1.15
Dans cette persuasion, je voulais aller d'abord vers vous, afin que vous eussiez une double grâce;
1.16
je voulais passer chez vous pour me rendre en Macédoine, puis revenir de la Macédoine chez vous, et vous m'auriez fait accompagner en Judée.
1.17
Est-ce que, en voulant cela, j'ai donc usé de légèreté? Ou bien, mes résolutions sont-elles des résolutions selon la chair, de sorte qu'il y ait en moi le oui et le non?
1.18
Aussi vrai que Dieu est fidèle, la parole que nous vous avons adressée n'a pas été oui et non.
1.19
Car le Fils de Dieu, Jésus Christ, qui a été prêché par nous au milieu de vous, par moi, et par Silvain, et par Timothée, n'a pas été oui et non, mais c'est oui qui a été en lui;
1.20
car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c'est en lui qu'est le oui; c'est pourquoi encore l'Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu.
1.21
Et celui qui nous affermit avec vous en Christ, et qui nous a oints, c'est Dieu,
1.22
lequel nous a aussi marqués d'un sceau et a mis dans nos coeurs les arrhes de l'Esprit.

Les versets 15 et 16 parlent d'un voyage que l'apôtre à promis dans la première épître. La difficulté, c'est de savoir si Paul à garder une partie de la promesse ou pas du tout. Certains croient que les versets prouvent que Paul a fait un petit voyage qui a mal tourné. Ceci a fait en sorte qu'il n'a pas fait le deuxième voyage. Celui-ci aurait été une visite plus longue. De l'autre côté, des gens croient que Paul n'a pas fait de voyage du tout et c'est ça le problème. Personnellement, je suis de cet avis. Puisqu'il avait promis juste une grande visite dans 1 Corinthien. Donc ils ne pouvaient pas être fâchés si Paul fait juste un voyage, puisqu'il avait promis juste un voyage. Mais bon, tournons vers ce qui est plus important. Le manque de visite a causé un désagrément entre Paul et eux. Qui a permis aux faux enseignants de montrer que Paul n'est pas fiable. Donc Paul doit déjà se défendre. Il va utiliser deux arguments, terrestre et divin.

Au verset 17, il utilise l'argument terre-à-terre qui peut se résumer par un simple énoncé: Vous me connaissez! Les Corinthiens savaient très bien que leur cher pasteur fondateur n'était pas quelqu'un qui prenait les choses à la légère. Qu'il ne voulait leur faire du mal.

Le reste du passage se tourne vers un argument beaucoup plus élevé, qui se résume par Dieu. Il est La Vérité, Ses promesses sont véritables, Son Sauveur est vrai; donc vous pouvez faire confiance à celui qui vous ont prêché tout ça. Puisque les Corinthiens avaient reconnu tous ces faits et qu'ils l'avaient reçu de Paul; donc ils pouvaient lui faire confiance. En d'autres mots, puisqu'il avait prêché les grandes vérités, il était véritable. De plus, le Seigneur est souverainement au contrôle de ses ouvriers et s'assure qu'il le sert honnêtement et sincèrement.

Gardons toujours nos regards sur le Seigneur et Son oeuvre. Pour ne pas trop ce concentrer sur les manquement des autres. Les gens peuvent nous décevoir, mais pas Dieu. J'espère que cette information ajoutera a votre expérience de 2 Corinthiens.

Martin Labonté

lundi 24 août 2015

SOMMES-NOUS CONSÉQUENT?

Bonjour frères et sœurs

Voici la question que je me suis pausé face au péché. L'erreur des supposés petits et gros péchés a déjà été discutée sur ce blog de l'EBBL. Ma question, ce matin revient sur cette idée et se demande si nous sommes conséquents, considérant cette vérité. La vérité qu'il n'y a pas de distinction ou gradation de mal. Est-ce que nous combattons certains péchés tout en tolérant d'autres dans nos vies? Je m'explique:

je vais commencer en donnant quelques exemples. Je vous demande pardon s'il vous touche personnellement. Mon but n'est pas de donner des exemples de vraie personne. Ceci dit voici mes exemples:

Disons que frère X parle très fortement contre toute sorte de vol. Il va même s'attaquer au piratage des films ou de la musique. Il englobe donc toute version du vol, mais de l'autre côté il ne voit aucun mal à faire l'excès de vitesse. Bien sûr, c'est contre la loi, mais ce n'est pas la même chose que la loi du piratage. Est-ce vraiment une attitude biblique?

Disons sœurs Y pense que tout mensonge est mauvais. Elle trouve que nous devrions être vrais les uns avec les autres, sinon nous mentons. Elle est très, ou même trop, franche. En d'autres mots elle pousse loin son désir d'être vrai. Sauf qu'elle parle contre les autres. Elle dit les vraies choses, mais ces vérités s'attaquent contre les gens de l'église. Est-ce vraiment mieux?

Disons la personne est dégoutté par toute manifestation de dépravation sexuelle. Sauf, qu'elle est cupide et mondaine; cherchant à toujours accumuler plus de choses. En passant ceci s'appelle l'adultère spirituel dans la Bible.

Je pense que vous comprenez un peu plus mon point. Nous avons tendance à embarquer sur nos piédestals d'orgueil. Nous présentons certains péchés comme horrible tout en pratiquent d'autres que nous considèrent moins pires. Plus souvent qu'autrement ce n'est pas par exprès, mais notre dé-balancement naturel. Nous voulons être saints pour glorifier le Seigneur, qui est honorable. Mais ça ne doit pas être au détriment de tout le conseil de Dieu.

Martin Labonté


vendredi 21 août 2015

Dieu nous surpasse.

"Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables!" (Psaumes 139.17)

"Vous qui ne savez pas ce qui arrivera demain! car, qu’est-ce que votre vie? Vous êtes une vapeur qui paraît pour un peu de temps, et qui ensuite disparaît. Vous devriez dire, au contraire: Si Dieu le veut, nous vivrons, et nous ferons ceci ou cela." (Jacques 4.14-15)

Dieu utilise fortement les circonstances pour nous faire réfléchir, aussi pour nous attirer à Lui d'une manière différente. Au travers des diverses circonstances des derniers temps, un chose reviens dans mes pensées... on ne peut pas toujours saisir le "pourquoi" de ce qui se passe... je ne peux pas toujours saisir le "pourquoi" de ce que Dieu fait dans ma vie et dans celle des autres autour de moi. Il y a quelque chose d'humiliant dans cette incapacité. Il y a aussi quelque chose de profondémment troublant. Troublant parce que cela nous pousse à contempler l'importance de la foi dans notre vie qui se vante d'être raisonnée et raisonnable. Mais la foi dans son essence n'est ni raisonnée, dans le sens que le monde donne à la raison, ni même raisonnable selon le même standard. La foi s'appuie sur ce que nous ne voyons pas, parce qu'elle voit ce qui est, ce qui sera, et surtout, Celui qui est. C'est dans la volonté de Dieu que ce trouve le réconfort de la foi. Car elle espère dans Celui qui connaît le "pourquoi" de toutes choses, malgré sa propre incompréhension. Notre humanité commune, limitée, et incapable de sonder la profondeur des pensées de Dieu sera toute sa vie devant le constat que la volonté de Dieu nous dépasse tout simplement. Heureusement pour nous, la foi que Dieu nous as donné n'a pas besoin de comprendre. Elle n'a besoin que de dépendre... Dépendre de Celui qui, malgré notre incompréhension, est en contrôle. Dépendre des promesses de Celui qui est fidèle à Sa parole. Dépendre de Celui qui désire notre bien, même si nous ne le comprenons pas. Car Il est à l'oeuvre, menant toutes choses vers la fin, vers l'accomplissement de Son oeuvre révélatrice et rédemptrice en Jésus-Christ. Oeuvre à laquelle nous appartenons, par le miracle de la grâce de Dieu, nous qui avons été racheté par le sang de Christ. Les voies de Dieu surpassent notre intelligence...

Samuel Deroy

mercredi 19 août 2015

L'Éternel a donné, et l'Éternel a ôté; que le nom de l'Éternel soit béni!

Bonjour frères et sœurs

Je suis désolé, mais ce matin j'avais besoin de changer mon processus habituelle. L'exposition de 2 Corinthiens sera la semaine prochaine.

Je voulais vous rappeler deux choses:

1- Dieu est bon quand il enlève comme quand Il donne. Il est tout aussi bon quand Il châtie comme quand Il prend dans ses bras. Même quand Sa main écrase notre coeur avec toute sa force, il a y le réconfort que c'est Sa main qui est sur notre coeur. Une main qui aime parfaitement. C'est extraordinaire que le Seigneur choisis de se glorifier par nos vies. Et je suis si reconnaissant qu'il ma choisi pour ça.

2- Le temps est court. Donc s'il vous plait ne laissez pas un moment passer sans manifester votre amour pour vos proches. Plus que juste les aimé de loin, faite-le de proche. Mari, ou femme, n'hésitez pas de prouver votre amour pour l'autre aujourd'hui même. Dès que vous avez fini ce blog aller leur dire que vous êtes bénit que Dieu vous as permis des aimer. Même chose envers vos enfants. Et ceci est un commandement que je vous donne. Nous avons trop peur des fois, ou nous prenons pour acquis, l'importance de vraiment montrer notre amour envers nos proches. IL NE FAUT ABSOLUMENT JAMAIS FAIRE CELA!

Merci grand Dieu pour la femme que j'ai pu aimer!


lundi 17 août 2015

INSPIRATIONS DIVERS 1C

Bonjour frères et soeurs

Ce matin, je mets fin à cette mini série en nous sortant de l’abîme de nos cœurs tristes et nous apportant vers la joie. Considérant tout le sondage de cœur et la chasse d'idoles, je me suis dit qu'un peu de positiviste serait bien. Puisqu'une vraie recherche de problèmes nous mène au désespoir, il est bon de se rappeler de notre réalité. Je parle ici de la grande vérité, Christ compatisse avec nous. Les belles idées que je vais vous partager viennent de monsieur Winslow encore cette fois. Il nous rappelle les deux passages clés:

Esaïe 53:4
Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.

Hébreux 4:15
Car nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes choses, sans commettre de péché.

Cette combinaison est d'une source de grand réconfort. Parce qu'ils nous rappellent que Jésus peut compatir parce qu'il a porté nos péchés et douleurs. Le deuxième verset nous montre que Celui qui parfait ressent nos souffrances avec nous. Le premier verset nous fait comprendre pourquoi: Il les a porté sur Lui-même à la croix. Ce que vous sentez maintenant face à votre tristesse ou découragement a déjà été mis sur Christ à Golgotha. Il souffrait l'agonie d'être séparé du Père à cause de ce mal que tu es en train de découvrir dans ton cœur idolâtre.

Pour moi, ça toujours été éphémère l'idée du Créateur de l'univers qui comprend et ressent mes souffrances. Mais c'est la vérité et ça jusque dans ses trips comme moi. Vous savez ce mal qui fait mal jusque dans l'âme? Eh bien, Il le ressent au plus profond de lui-même très personnellement. Parce qu'Il la vécut avant toi, et même plus puissamment. Il sait comment dû déteste cette dégellasité en toi et combien tu voudrais abandonner cette fausse adoration. Il l'avait sur Lui et Dieu Lui a donné la pleine punition à ta place.

J'espère que ceci a été autant bénéfique pour vous que pour moi.

Martin Labonté


vendredi 14 août 2015

Limité


Parfois on se sent incapable de faire une tache. Incapable de l'accomplir en entier. Ou même tout simplement incapable de l'accomplir point final. D'autre fois, tout roule à pleine vitesse comme une voiture de formule 1 avec des pneus neufs qui adhèrent à l'asphalte sec du circuit Gilles Villeneuve. Pourquoi tout ce que nous entreprenons ne pourrait-il pas aller aussi bien? Cela serait encourageant non? La vie serait bien plus simple aussi. Dieu n'en a pas voulut ainsi. Ou plutôt, Dieu a désiré que nous soyons incapable de tout faire nous-mêmes. De tout faire seul.

Nous avons tous des capacités, des talents, des dons. Nous n'avons par contre pas tous les mêmes facilités. Car Dieu désire que nous soyons unis. Il n'a pas donné tout à tous, afin que tous puissent participer, chacun selon la mesure que Dieu nous a donné. Il a planifié que nous devions dépendre les uns des autres. Cela pour que nous soyons humbles et unis. Il a tout pourvut en tous. Non individuellement, mais ensemble en tant que famille, communauté, couple, société. Toutefois, il y deux choses qui sont nécessaire pour que cela fonctionne.

Nous avons besoin d'être humble.
Comment pouvons-nous reconnaître et nous soumettre au plan de Dieu si nous sommes convaincus que nous pouvons tout faire seul? En tant qu'être humain limité, nous devons admettre que nous sommes, justement, limités... Et que nous avons besoin de l'aide des autres pour surmonter ces limites. Ce n'est pas une honte de dire que nous avons besoins les uns des autres. Au contraire, c'est une marque d'humilité et de sagesse. Pourquoi ressentons-nous alors de la honte? Parce que nous sommes orgueilleux en croyant que nous sommes les maîtres de notre destin. En parlant de destin, de limite et d'entraide... cela me fait penser à Babel. J'aimerais que l'on porte notre attention sur la raison pour laquelle Dieu a confondu les langues : "Et l’Eternel dit: Voici, ils forment un seul peuple et ont tous une même langue, et c’est là ce qu’ils ont entrepris; maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté." (Genèse 11.6) Les gens de Babel ont obéis à Dieu. Oui, obéis. Quoi?! Les gens de Babel étaient unis et travaillaient ensemble, les uns avec les autres : "maintenant rien ne les empêcherait de faire tout ce qu’ils auraient projeté." Malheureusement, ce n'était pas dans le but de plaire à Dieu... Sur ce point ils ont désobéis et Dieu à brouillé les langues.  Ah! Si seulement nous étions aussi zélés que les gens de Babel dans notre désir d'accomplir l'oeuvre de Dieu... Quel changement drastique cela amènerait!

Nous avons besoin d'être serviable.
C'est bien beau de reconnaître que nous avons besoin des autres... mais si personne ne se propose? Qui va aider? Nous ne vivons pas dans un vide intersidéral où notre obéissance à Dieu est récompensée par l'aide magique d'un génie bleu qui sort dans un "pouff" sonore de la vieille lampe à l'huile que nous avons décrotté. Malheureusement, nous vivons dans une monde où nous vivons avec les conséquences du péché. Le nôtre. Celui de l'autre aussi. C'est donc à dire que nous devons nous apprendre aussi à nous proposer pour aider. Nous devons apprendre à nous rendre serviteur les uns des autres. Non... ce n'est pas une idée nouvelle... C'est ce que Jésus tentait désespéramment de faire comprendre aux disciples avant Sa mort. Pensez-y... Jésus sait qu'Il va mourir bientôt. Quel enseignement profond montre-t-il à ses disciples? Il retrousse ses manches et lave leurs pieds poussiéreux! "Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres;" (Jean 13.14) Assez profond merci! On a toujours pas encore compris...

En terme de conclusion, nous sommes limités. Dieu nous a créé ainsi. Il nous a voulut ainsi. Acceptons-le. Soumettons-nous humblement. Soyons prêt à vivre la volonté de Dieu en étant serviteur les uns des autres. Chacun selon les capacités que Dieu nous as donné!

Samuel Deroy

mercredi 12 août 2015

2 Corinthiens 1:8-14

Bonjour frères et sœurs

Continuons notre chemin à travers le chapitre 1. Paul vient de terminer son enseignement sur l'avantage de l'affliction. Ce bienfait, c'est le support mutuel. Maintenant, il va cimenter son instruction et le rendre plus palpable. Il va accomplir ceci en s'utilisant comme exemple. De ce fait vécu, il va amener ses lecteurs vers le tout-puissant. Ensuite, il va revenir sur la terre; plus exactement Corinthe. Il fait ceci pour appliquer cette vérité plus personnellement à eux. Finalement, il revient sur lui-même et son argument a tout cassé.

2 Conrinthiens 1:8-14
1.8
Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie.
1.9
Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts.
1.10
C'est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d'une telle mort, lui de qui nous espérons qu'il nous délivrera encore,
1.11
vous-mêmes aussi nous assistant de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet.
1.12
Car ce qui fait notre gloire, c'est ce témoignage de notre conscience, que nous nous sommes conduits dans le monde, et surtout à votre égard, avec sainteté et pureté devant Dieu, non point avec une sagesse charnelle, mais avec la grâce de Dieu.
1.13
Nous ne vous écrivons pas autre chose que ce que vous lisez, et ce que vous reconnaissez. Et j'espère que vous le reconnaîtrez jusqu'à la fin,
1.14
comme vous avez déjà reconnu en partie que nous sommes votre gloire, de même que vous serez aussi la nôtre au jour du Seigneur Jésus.


LES VERSETS 8-9
- Paul et son équipe savent c'est quoi de désespérer à cause d'une tribulation excessive. Et ils savent que de telles difficultés sont pour nous tourner vers la seule aide. La fin du verset 9 devient le lien de transition pour son prochain point.

LE VERSET 10
- Ce prochain point peut s'intituler, Dieu seul. Le point du verset 10 est moins axé sur la délivrance en soi et plus vers le secoureur. Le mot grec traduit par délivrer veut dire de tirer quelqu'un proche. Donc l'idée principale, c'est que toutes ces souffrances nous approchent de Dieu qui nous tire vers Lui. Cette notion d'union devient le prochain lien.

LE VERSET 11
- Ici, Paul continue à manifester son désir de connecter avec eux. Il parle de ces «plusieurs» qui ont prié pour lui. Le mot dans le grec c'est «face», n'est-ce pas bizarre? L'idée, c'est un groupe d'individus non distingués. Donc il essaye d'encourager toute l'église de s'associer à lui et son œuvre. Ce n'est pas juste pour ceux qui sont restés fidèles à Paul. Toutes les «faces» peuvent participer aux prières et louanges au Seigneur. Ceux-ci, union et Dieu, deviennent les deux derniers liens pour la fin.

LES VERSETS 12-14
- Je mets ces derniers versets ensemble à cause qu'il y a un fil conducteur. La défense du ministère de Paul. Ce qui nous ramène à l'effort de l'apôtre pour se réconcilier avec eux. Il utilise un peu de logiques humaines en affirmant qu'il n'y a pas de messages cachés dans ses écrits. Mais il se concentre surtout sûr son coup de grâce. Dieu est son témoin spécial qui va assurer sa cause. Autant le début que la fin de cette section focalise nos yeux sur le Juste Juge.

Voici un autre passage expliqué rapide pour vous. J'espère que c'est bénéfique.

Martin Labonté

lundi 10 août 2015

INSPIRATIONS DIVERS 1B

Bonjour frères et soeurs

Ce matin, je continue ma dernière idée en parlant plus en détail sur l'examination du cœur. Dans le livre CONTERFEIT GODS (les faux dieux) Timothy Keller termine en donnant quatre tests pour trouver nos idoles. J'aimerais vous donner ces tests.

NOTRE IMAGINATION
William Temple a dit: Votre religion, c'est ce que vous faites avec votre solitude. En d'autres mots, qu'est-ce qui occupe vos pensées quand vous avez du temps libre. C'est quoi vos rêveries? Quelles sont les obsessions qui reviennent dans vos pensées encore et encore? Ce n'est pas mal d'avoir des fantaisies sur votre carrière ou maison future. Le problème est, lorsque ça devient une habitude. Lorsque ça devient la source de votre joie.

L'ARGENT
Ici, ça devrait être clair que nos dépenses manifestent une bonne indication de nos vrais dieux. Après avoir donné notre dîme, qu'est-ce que nous fessons du reste? Est-ce que notre plus grande investissement se tourne vers une maison de rêve ou vacance tout inclut?  Ceci peut nous pointer vers certaines idoles.

L'ESPÉRANCE
Lorsque le Seigneur refuse de réponde à une de tes prières comment réagissez-vous? Lorsqu'il refuse à répondre à plusieurs de vos prières, rattachées au même sujet, comment réagissez-vous? Si c'est comme Jonas qui voulait la mort, peut-être que vous avez trouvé une autre idole. Il y a une choses que vous devez vous dire: Si c'était tellement important que Dieu devait te le donner, tu désirais la mauvaise chose.

LES ÉMOTIONS
D'où vient votre réaction émotionnelle les plus puissantes? Qu'est-ce qui vous fait vraiment réagir? Si une citation ou événement ne se passe pas comme vous le voulez, est-ce que vous êtes dérangé? Avez-vous de la misère à passer par-dessus? Vos sentiments de crainte, frustration ou colère peuvent être de bonne indication d'idole. Que votre attachement à ces choses était trop fort.

J'espère que ces quatre tests vont vous aider comme ils m'ont aidé. Je vous souhaite une bonne chasse aux idoles.

Martin Labonté

vendredi 7 août 2015

«Seigneur, sauve-moi!»

Qui d'entre nous ne se noie pas? Dans des remords? Dans de l'anxiété? Dans les dettes? Dans la peur? Dans des relations malsaines? Dans le divertissement? Dans les problèmes? Avouons-le, nous nous retrouvons bien souvent submergés dans notre vie! Peu importe ce qui nous submerge, nous avons l'impression de sombrer plus profondément dans les abysses de notre problème. Nous sentons nos pieds qui s'enlisent et s'enfoncent de plus en plus creux. À un tel point que nous sommes paralysés par nos problèmes, incapables d'aller plus loin, ni de s'en sortir! 

Nous ne sommes pas les premiers à être dans cette situation. Celui qui allait devenir l'apôtre Pierre a aussi passé par là.

La barque se trouvait déjà au milieu du lac, battue par les vagues, car le vent était contraire. A la fin de la nuit, Jésus alla vers eux en marchant sur le lac. Quand les disciples le virent marcher sur le lac, ils furent affolés et dirent: «C'est un fantôme!» et, dans leur frayeur, ils poussèrent des cris. Jésus leur dit aussitôt: «Rassurez-vous, c'est moi. N'ayez pas peur!» Pierre lui répondit: «Seigneur, si c'est toi, ordonne-moi d’aller vers toi sur l'eau.» Jésus lui dit: «Viens!» Pierre sortit de la barque et marcha sur l'eau pour aller vers Jésus, mais, voyant que le vent était fort, il eut peur et, comme il commençait à s'enfoncer, il s'écria: «Seigneur, sauve-moi!» Aussitôt Jésus tendit la main, l’empoigna et lui dit: «Homme de peu de foi, pourquoi as-tu douté?» Ils montèrent dans la barque, et le vent tomba. Ceux qui étaient dans la barque vinrent se prosterner devant Jésus en disant: «Tu es vraiment le Fils de Dieu.» (Matthieu 14.24-33)

Pour les mêmes raisons que nous, Pierre se met à s'enfoncer dans les eaux! Il regarde à la tempête qui fait rage, aux éclairs qui fracassent le ciel. Il prête l'oreille aux grondements du tonnerre. Il voit les vagues qui s'élèvent de plus en plus haut. Il prend peur... Il coule... Que fait-il? Il se tourne vers Jésus : «Seigneur, sauve-moi!» Lorsque nous sommes submergés par nos problèmes, tournons-nous vers Jésus et crions : «Seigneur, sauve-moi!»

Remarquons bien que Pierre n'a pas tenté de se cacher devant la situation. Il ne s'est pas dit : «Hum, je coule... Je manque de foi. Je ne peux quand même pas demander à Jésus de m'aider! Voyons... que va-t-il penser de moi? En plus, je vais perdre la face devant les autres disciples! Non, non, il doit y avoir un moyen de s'en sortir. Si je nage assez fort, je peux m'en sortir! Non?» C'est ridicule non? Jésus est là devant lui! Comment Jésus ne serait-il pas au courant? Malheureusement, nous tombons dans ce ridicule! Nous avons peur d'aller devant Dieu et Lui demander de nous secourir de nos problèmes! «Voyons... Je ne peux pas dire à Dieu que j'ai un problème d'anxiété! Que va-t-il penser de moi?» Il est devant nous et n'attend que cela! Que nous l'implorons de nous sauver! Il est déjà au courant de notre situation... Pourquoi tardons-nous?

Soyons humbles, admettons notre problème. Dieu ne sera pas surpris du tout! Il est déjà au courant. Il n'attend que nous le réalisions... Soyons humble, admettons que nous ne pouvons rien! Implorons le secours du Seigneur, et Il accomplira ce que nous ne pouvons faire : nous sauver.

Samuel Deroy

mercredi 5 août 2015

2 CORINTHIENS 1:1-7

Bonjour frères et sœurs

Ce matin, je continue l’exposition de 2 Corinthiens, en bref. La dernière fois, je vous disais qu’un des buts de l’épître est la réconciliation de Paul et les Corinthiens. Nous pouvons voir cette vérité dès le début du chapitre 1. Toute de suite après ses salutations, il se lance dans un enseignement centré sur l’affliction. Son approche, où effort pour se rapprocher des Corinthiens, est systématique.

1- nos souffrances font grandir nos entrailles de miséricorde. C’est lorsque nous sommes dans le feu de l’épreuve que la compassion se forge. Lorsque nous avons subit la pleine douleur de la verge, nous pouvons pratiquement ressentir, avec lui, les coups de celui qui est châtié.

2- Certain de nos souffrances ont un but particulier. Nous passons par certains événements pour mieux aider ceux qui font passer par là. Un peu comme dire suivez-moi, je connais le trajet.

3- Il y un lien divin à considérer. Nos souffrances complète ceux de Christ. En retour ils nous rattachent à Celui qui habit à la droite du Père. C’est un lien vivant comme le terrestre, ou entre nous.

4- Finalement, Paul cherche à appliquer ces vérités directement à la situation. Au verset 6, il veut leur faire comprendre que les afflictions que lui et son équipe ont subies étaient pour le bien des Corinthiens. Puisqu’ils, Paul et son équipe, sont devenue mieux équiper pour aider les Corinthiens dans leur difficulté.

De voir le raisonnement de Paul devrait nous montrer l’importance de cette vérité. Non seulement parce que c’est bien de se supporter et entraider. Mais plus encore, parce que c’est la méthode de l’apôtre pour reconnecter avec une église qui se distançait de lui. Ce n’est pas avec des réprimandes ou des supplications. Il leur donne la doctrine de la souffrance mutuelle. Je souffre pour votre bien et vous souffrez pour le mien.

Martin Labonté

lundi 3 août 2015

INSPIRATION DIVERS 1A

Bonjour frères et sœurs

Ce matin, je m'enligne pour un retour aux inspirations basées sur mes lectures diverses. Je me tourne vers une mini-série à l'intérieur de cette série. Trois blogs tous rattachés ensemble, mais venant de lectures différentes. Le premier vient des méditations de monsieur Winslow. Il mentionne que notre effort de glorifier Dieu s'accomplit par la sainteté et la joie.

Le premier terme fait du sens. Nous glorifions Dieu par la recherche d'une vie sainte et pure. C'est le deuxième qui nous laisse plus perplexes. Jusqu'au moment où est-ce que nous réalisons que le Seigneur demande nos cœurs pas nos actions. C'est à ce moment que nous devons nous demander, est-ce que je fais ceci de bon cœur? Est-ce que je me réjouis dans cette relation avec le Tout-puissant? Sinon pourquoi? À la place de juste ceindre nos reines et continuer notre marathon, ou service, chrétien.

De vraiment aller à la recherche du problème, celui qui nous a enlevé notre joie, veut dire des fois prendre une pause. Ça peut même vouloir dire mettre de côté nos petites activités typiquement chrétiennes pour examiner tous les crevasses de nos cœurs. Ceci fait peur, semble même hérétique. Mon but n'est pas de dire arrêter d'aller à l'église si ça ne va pas dans vos cœurs. C'est plus de dire êtes-vous près a vraiment retrouvé le problème, où est-ce que vous allez juste continuer à courir avec une crampe?

C'est sur que nous ne voulons pas être guidés par nos émotions. N'empêche que nos cœurs doivent être impliqués, donc faut savoirs qu'est-ce qui l'empêche de battre normalement. Si je pouvais simplifier toute mon idée, je dirais: êtes-vous heureux dans votre vie chrétienne? Sinon il faut savoir pourquoi? Le fruit de l'Esprit inclut la joie, donc si nous ne l'avons pas il faut savoir ce qui bloque la sève qui produit ce fruit.

Martin Labonté