lundi 31 mars 2014

COMMUNION AVEC DIEU 5

Bonjour frères et sœurs bien-aimé,
Ce matin nous rentrons en communion avec le Fils. Monsieur Owen début le tout en présentant deux aspects de grandes importance.
  1. LA COMMUNION SOUS FORM D’UN GOUTÉ
Combien de fois est-ce que la Bible nous présente cette intime communion avec le Seigneur sous la forme d’un repas? Ne pensons pas juste à l’ancien testament, cantique des cantiques ou les Psaumes, mais au nouveau aussi. Le salut est présenté comme le Père et le Fils qui vient manger avec nous. De même dans l’apocalypse ca dit :

Désolé, mais ca ne parle pas du salut ici. L’idée est la repentance d’un croyant rebelle qui pourra ensuite se délecté de met succulent avec le Sauveur. N’oublions pas les noces de l’agneau. Finalement ajoutons la Sainte Cène. Cette promesse de prendre une coupe avec Lui continu de nous montrer la réalité d’une communion sous le symbole d’un régal somptueux.

Monsieur Owen considère les ordonnances et commandements, comme les réunions ou la prière, comme étant ces mets délicieux. Pour ma part j’ajouterais tout ces petits clins d’œil divins. Lorsque Dieu fait ressentir sa présence dans nos vies. On ne devrait pas trouver ca bizarre, ou mauvais, de se régaler des petites choses que Dieu fait, ou nous donne. Au contraire c’est exactement comme ca qu’Il rentre en communion intime avec nous. Il veut qu’on se délecte de tout les mets qu’Il a mis sur Sa table.

  1. PAR LA GRÂCE
Le deuxième aspect c’est la vérité que cette communion existe et est soutenu que par Sa grâce. Combien de fois que Paul débute ses épitres en nous offrant la grâce du Seigneur. En plus il termine chacun de ses épitres en offrant la grâce à ses lecteurs. En réalité recevoir Christ c’est recevoir la pure grâce de Dieu.

Nous désirons et sommes commandé de plaire à Dieu. Il y des conséquences lorsque nous vivons pour la chaire. Nous devons obéir et nous soumettre à Sa volonté. Mais une vision trop concentré sur n’importe quel de ces vérités peuvent et vont nous détourné de la grâce. Nous apporter dans une conception où est-ce qu’on cherche a vivre notre relation avec Dieu hors de la grâce. Les choses qu’on doit faire sont des sous produits de notre amour envers Lui, mais elles ne sont pas la relation en soi. Chaque moment de chaque instant de cette relation avec Dieu est par pure grâce seulement. C’est seulement parce qu’Il choisi volontairement d’être en communion avec nous. Fessons attention de ne pas oublier ceci.

Je vais peut-être me mettre dans le trouble en disant ceci mais voici quand même : Je crois sincèrement que mes moments de recule et même mes chutes me font plus apprécier la grâce. C’est lorsque je réalise que je suis poche et que je mérite d’avoir une mauvaise journée, et que la journée est très bénit, que je comprends plus signification de la grâce.

J’ajouterais en concluant que si les ordonnances ou commandements, comme lire la Bible, perde leur saveur. Où si nous essayons trop fort de mérité notre intimité avec le Seigneur, confessons-nous toute suite. N’hésitez pas d’aller au trône de la grâce pour rechercher le sel spirituel pour redonner du gout aux mets divinement donné.

Que la grâce de Dieu qui surpasse toute intelligence, soi avec vous.


Martin Labonté

vendredi 28 mars 2014

Le bord de Ses voies

Voir Job 26:5-13


« Ce sont là les bords de Ses voies, c'est le bruit léger qui nous en parvient » (Job 26:14a)


La création manifeste la grandeur du Créateur. « En effet, [par la création nous est révélée] les perfections invisibles de Dieu, Sa puissance éternelle et Sa divinité » (Rm. 1:20). Pourtant, après que Job ait raconté les merveilles de la puissance et de la grandeur de Dieu au travers de Sa création, Job nous dit que « ce [ne] sont là [que] les bords de Ses voies, [ce n'est que] le bruit léger qui nous en parvient ». En un mot, nous pouvons nous émerveiller de Sa puissance absolument transcendante qui est révélé dans la création, mais ce que nous entrevoyons dans cette création, ce n'est que la surface de la surface du iceberg de notre grand Dieu ! C'est un peu comme si un enfant s’émerveillait d'un simple petit morceau de casse-tête, alors qu'il n'a même pas encore vu que ce petit morceau n'est que le un dix millième d'un casse-tête de dix mille morceaux !


Sa puissance est merveilleusement manifestée dans Sa création, mais ce n'est rien à comparé de la plénitude de Sa puissance que nous découvrirons lors de la venue de notre Seigneur Jésus qui ressuscitera nos corps en les rendant semblables à Lui  par Sa puissance !

Tout ce que nous entrevoyons de Dieu maintenant sur terre, ce ne sont que les bords de Ses voies et le bruit léger qui nous en parvient. Au ciel, nous verrons Ses voies de manière parfaite, et nous entendrons le bruit parfait de Sa Personne.

Oh ! combien j'ai hâte !



Joël Labrecque

jeudi 27 mars 2014

Le Miroir - Partie 1

« Car, si quelqu’un écoute la parole et ne la met pas en pratique, il est semblable à un homme qui regarde dans un miroir son visage naturel, » (Jaques 1:23)

Jacques entre à fond dans les effets du faux raisonnement que l'on se donne pour se tromper soi-même. Ce raisonnement équivaut à se regarder dans un miroir. Tous ceux qui écoutent la Parole, peut importe ce qu'ils font avec ce qu'ils ont entendu, se regardent dans un miroir. Ce qui est une bonne chose. C'est un bon début. Toutefois, le début ne garanti pas la fin! Nous pouvons bien commencer et mal finir... C'est là l'effet pervers du faux raisonnement. C'est se dire que l'on a bien agit en se basant sur un bon début. Pour l'instant, revenons à notre miroir, il y a 2 raisons pour lesquelles nous nous regardons dans un miroir. Voici la première :

Pour voir notre apparence. En se regardant dans un miroir, nous apprenons à connaître notre apparence. À voir de quelle couleur sont nos yeux. À voir la physionomie de notre nez. À voir si nous avons des tâches de rousseurs sur les joues. Etc. Le miroir nous renseigne sur nous-mêmes.

Tous ceux qui écoutent la Parole le font. Ceux qui mettent en pratique ce qu'ils entendent, comme ceux qui ne mettent pas en pratique ce qu'ils entendent. Ils se regardent tous dans le miroir de la Parole. Tous voient leur apparence spirituelle. Mais il y a une 2e raison pour laquelle on se regarde dans le miroir, ainsi qu'une 2e partie à l'histoire...

Samuel Deroy

mercredi 26 mars 2014

Un silence qui parle !

Lorsque nous prenons un instant pour examiner la vie terrestre de notre Sauveur et Seigneur Jésus-Christ, nous nous apercevons rapidement que Ses silences parlaient parfois, voire souvent plus fort que Ses paroles mêmes. Malgré toutes les inégalités et toutes les injustices entourant Sa vie et Sa mort, notre Rédempteur garda continuellement une parfaite maîtrise de Ses émotions, sans jamais une seule fois, tomber dans la vengeance ou le mépris. Christ demeura calme dans la tempête et serein devant l’opposition malsaine. En aucun cas, Il ne rendit le mal pour le mal ; en aucun temps, Il ne se servit de Sa bouche pour lancer des injures à qui lui lançaient des injures. Les silences de Christ sont notre unique exemple à suivre dans ce monde où la tentation de répondre coup pour coup est nôtre !

Une maîtrise remarquable
Tout au long de Son ministère terrestre, Jésus demeura pleinement en contrôle de Ses actions et de Ses paroles. Notre Sauveur possédait une maîtrise de soi remarquable. Quoique soit la persécution; Quoique soit la provocation, Christ ne décocha jamais les injures ou les représailles pour se venger (Jean 18.19-23).  Malgré cet abus physique injustifié, Sa réponse fut douce. En réalité, Il aurait pu facilement perdre le contrôle de Ses émotions, mais Il demeura souverain de Ses actions (Actes 23.1-3). Lorsque nous comparons la réaction du Seigneur avec celle de l’apôtre Paul, nous comprenons l’immense écart séparant le Fils de Dieu et l’homme ! Tandis que Paul perdit le contrôle, Christ demeura impassible !

Un silence persuasif
Dans le N-T, nous observons qu'à (3) reprises, lors de Son ministère terrestre, Christ garda le silence devant des accusations sans fondement. Il garda le silence pour une 1 ère fois  lorsqu’Il comparu devant Caïphe et le sanhédrin (Matthieu 26.57-68). Il nous faut comprendre que d’ordinaire, les accusés avaient la possibilité de préparer leur défense. Mais dans ce cas-ci, les responsables religieux juifs désiraient en finir au plus vite. Malgré ces accusations sans fondement et malgré l’injustice qu’Il vivait, Christ, notre Seigneur et Sauveur préféra garder le silence, Il ne dit point un mot. Un puritain a dit : « Lorsque Christ a été fait péché pour nous, il était silencieux, et a laissé à son sang le soin de parler ». La 2 ième fois que Christ garda le silence fut en présence de Ponce Pilate (Marc 15.1-5). Assurément, ce silence parla d’avantage que n’importe quel mot. Le texte nous révèle que Pilate en fut étonné, ce qui implique l’idée d’être en admiration, d’être subjugué. La 3 ième fois que Christ décida de ne point parler fut devant Hérode (Luc 23.8-12). Il eut beau interroger le Sauveur, il n’obtint aucune réponse. Bien que les Juifs s’étaient fait plus insistants dans leurs accusations, Christ n’ouvrit point la bouche. Ce Hérode espérait voir le Fils de Dieu accomplir quelques tours amusants, mais à un tel homme, Jésus n’avait absolument rien à dire (Marc 6.14-29). 

Une cohérence persistante !
Malgré les sombres ombrages de la mort qui approchaient, Christ demeura cohérent dans l’accomplissement de Son but divin ! Jamais, Il ne fut tenté de s’éloigner de la souffrance. Son témoignage demeura le même malgré la pression qui augmentait (Marc 14.60-62/Jean 18.33-37). Tout au long de Son ministère terrestre, Jésus-Christ fut le même, parfaitement cohérent. Il ne changea pas lorsque l’opposition s’approchait, mais demeurait conséquent de Ses enseignements (Luc 22.54-62)… Sommes-nous à l’image de Pierre, chancelant lorsqu’une perspective de souffrance ou de rejet s’approche ?  

Une indifférence étonnante !
Il n’y a certainement rien de plus impressionnant que d’observer la totale indifférence du Seigneur Jésus devant les insultes et le mépris des hommes. Pour plusieurs raisons, Ponce Pilate désirait relâcher le Fils de Dieu, mais en aucun cas, Jésus-Christ n’aspirait à profiter de cette situation. Son unique objectif était d’accomplir la mission de Son Père (Jean 19.10). Aussi bien Son silence que Ses paroles démontrèrent son indifférence totale devant les possibles saufs-conduits proposés par Pilate. Jésus démontra clairement que c’était Pilate et les juifs qui se présentaient à la cour devant Lui et non le contraire !

Par Lui et Pour Lui
Benoit

mardi 25 mars 2014

Pratiquer La Parole

« Mettez en pratique la parole, et ne vous bornez pas à l’écouter en vous trompant vous-mêmes par de faux raisonnements. » (Jaques 1:22)

La Parole de Dieu demande une réponse qui est en fonction de son importance. Cette réponse commence premièrement par une écoute, puis par une mise en pratique de ce qui a été entendu. Écouter la Parole de Dieu sans y joindre les actions correspondantes ne possède aucune valeur en soi. Penser que l'écoute des Écritures accorde un bénéfice en soi serait se tromper soi-même par de faux raisonnement.

La valeur des Écritures se trouve dans le fait qu'elle apportent une connaissance qui, lorsque mise en pratique, entraîne un changement bénéfique. Pensons à l'exemple de Josué 1:8 : « Que ce livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche; médite-le jour et nuit, pour agir fidèlement selon tout ce qui y est écrit; car c’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c’est alors que tu réussiras. » Le verset met de loin la focalisation sur la mise en pratique plutôt que sur la lecture, l'écoute. Pourquoi? L'emphase du verset se trouve dans les deux mots clés : « pour » et « car ». La lecture et la méditation de la Parole sont nécessaire « pour » mettre en pratique la Parole selon ce qui y est écrit. Et cela amène les bénéfices : « car c'est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c'est alors que tu réussiras. »

L'Écriture met de l'avant une méthode simple : Écouter, Méditer, Pratiquer. Les trois sont nécessaire pour avoir les bénéfices. On peux se mettre de la nourriture dans la bouche autant que l'on veux, mais tant que nous n'avalons pas et ne digérons pas nous ne serons pas en mesure d'avoir accès à l'énergie qui provient de la nourriture.

Samuel Deroy

lundi 24 mars 2014

COMMUNION AVEC DIEU 4

Mon sujet ce matin est tout simplement l’amour de Dieu, un sujet abuse ou mal compris. Monsieur Owen à commencer tout son argumentation avec se sujet. Nous devons nous rappeler que la source de notre salut n’est pas la croix, mais l’amour de Dieu. Jean 3 :16, avec plusieurs autres passages, nous le prouve. Tout commence avec ce désir de Dieu d’être en communion avec Ses Élues. Tout vient et découle d’un amour inchangeable qui veut qu’on goûte à ce délice qui est Dieu.

Il ne peut pas plus nous aimé ou moins, peut importe comment on se sent des fois. Son attitude envers nous ne change JAMAIS. Nous changeons dans notre approche, ou recule, mais Il garde TOUJOURS Ses mains grand ouvert disant : venez à moi. De négligé cette vérité est péchée, vous avez bien lu PÉCHÉ.

N’est-ce pas là la première tentation, de douté la bonne volonté de Dieu envers sa création? La réponse c’est oui, satan a voulu convainque Êve que Dieu cachait des bénéfices en leur niant l’accès au fruit. Nous ne devons pas tomber dans ce piège que nombre de chrétien qui veulent préserver l’honneur de Dieu. Ils font ceci en parlant de nos gros péchés qui fait reculer Dieu, ce n’est pas vrai. Ils veulent protéger Dieu de ceux qui abuserait de son amour inconditionnel, c’est louable. Sauf que c’est néfaste. En réalité c’est cette amour reconnu, comprise et pleinement profité qui va nous soumette a Sa volonté.

Donc mes frères et sœurs, soyez intoxiqué de cette amour. Laissez-vous dominé par cette puissance. Permettez-vous d’avancer devant le feu dévorant parce qu’il vous aime passionnément. Ne soyez pas retissant. Ne laissez pas l’ennemie vous convainque autrement. Ne permettez pas à l’erreur de vous faire reculer. Ne vous privez pas de cet amour!


Martin Labonté

vendredi 21 mars 2014

Accident souverain

« Celui qui frappera un homme mortellement sera puni de mort. S'il ne lui a point dressé d'embûches, et que Dieu l'ait fait tomber sous sa main, je t'établirai un lieu où il pourra se réfugier. » (Ex. 21:12-13 -- Seg)

« Frappeur d'homme qui meurt, mourra, il mourra. Qui ne l'avait pas pourchassé, l'Elohîms l'ayant accidenté par sa main, je te mets un lieu où il s'enfuira là. » (Ex. 21:12-13 -- Chouraqui)

En d'autres mots, la personne qui a accidentellement enlevée la vie d'une autre personne, c'était peut-être un accident aux yeux des hommes, mais pas pour Dieu ! En effet, comme nous le voyons plus clairement dans la traduction très littérale de Chouraqui -- « l'Elohîms [= Dieu] l'ayant accidenté par sa main [= la main de la personne qui a tué l'autre personne de manière accidentelle] » --, ce qui s'avérait être un accident d'un point de vue humain était en fait rien de moins qu'un acte souverain de Dieu !

Tout accident qui peut avoir lieu dans ce monde comme dans notre vie n'est jamais un accident pour Dieu. Lui, Il gouverne toutes circonstances et situations, qu'elles soient désagréables ou non. Les choses qui nous font dire « oups ! » ou encore « quelle malchance ! » ou « quelle chance ! » ne sont en fait qu'un événement qui a été géré et coordonné de manière parfaite par notre Dieu qui contrôle chaque atome de cet univers.

Je ne suis pas en train d'affirmé que nos accidents ne sont pas de notre responsabilité, mais plutôt que notre responsabilité est tissé dans la souveraineté de Dieu -- combien c'est absolument incompréhensible pour ma petite intelligence limitée !

Je suis tellement heureux de ce que le hasard et la chance n'existent pas !
Je loue le Seigneur de ce qu'Il domine sur toutes circonstances !
Béni sois-Tu, mon Roi, de ce que les « accidents » ainsi que les conséquences qui s'y rattachent ne sont jamais des « oups » en ce qui Te concerne !

Gloire à Toi, Toi l'insondable ! et dont LE plan A est le seul et unique plan que tu as conçu de toute éternité !


jeudi 20 mars 2014

Rejeter Pour Recevoir

« C’est pourquoi, rejetant toute souillure et tout débordement de méchanceté, recevez avec douceur la parole qui a été plantée en vous, et qui peut sauver vos âmes. » (Jaques 1:21)

Jacques poursuit vers son prochain sujet, la parole de Dieu, en établissant un lien avec la colère. D'un côté, il nous dit de rejeter la souillure et le débordement de méchanceté. Deux choses qui sont facilement liées à la colère. Et découlant du fait que la colère accomplie notre justice et non celle de Dieu. De l'autre, de recevoir la parole qui a été plantée en nous. Le parallèle est beau, simple, mais efficace. Nous devons mettre au loin la souillure et le débordement pour prendre près de nous la parole. Nous devons repousser la souillure et le débordement pour embrasser avec douceur la parole, parce qu'elle peut sauver nos âmes. Elle peut, non dans le sens de possibilité comme : il peut pleuvoir demain, mais dans le sens qu'elle possède le pouvoir, la capacité de sauver nos âmes par les vérités qui y sont présentes.

Par ailleurs, la possibilité du salut dépend de l'accueil que l'on réserve à la parole de Dieu. Elle est plantée en nous, mais nous pouvons choisir de l'arracher et de la rejeter au loin pour pouvoir garder la souillure et la méchanceté. Comme nous pouvons choisir de lui réserver un accueil rempli d'hospitalité afin de lui permettre de croître et de porter du fruit. Notre attitude face à la parole de Dieu est liée à notre destinée éternelle. Nous devons la prendre au sérieux ou faire face aux conséquences.

Samuel Deroy

mercredi 19 mars 2014

L’église a-t-elle encore sa place aujourd’hui ?

L’église a-t-elle encore sa place aujourd’hui ? A-t-on réellement besoin d’églises à notre époque ? Pourquoi prendre le peu de temps qui nous reste au milieu de cette vie mouvementée pour aller à l’église ? Je pourrais facilement vous répondre par d’autres questions… Pourquoi vivre sans jamais se préoccuper de l’éternité ? Pourquoi s’enrichir de biens matériels alors que notre vie est si éphémère ? Pourquoi faire abstraction de cette création si merveilleuse ? Pourquoi ne vivre que pour nous-mêmes ?

Voici ce que la Parole de Dieu affirme à sujet :
« Je t’écris ces choses, avec l’espérance d’aller bientôt vers toi, mais afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l’Église du Dieu vivant, la colonne et l’appui de la vérité » (1 Timothée 3.14-15)
De nos jours, chacun a sa propre opinion… Chacun décide pour lui-même ce qui représente la vérité. Oser affirmer un absolu est regarder comme une marque d'arrogance. Rien n’est certain… Il n’y a aucune certitude. La vérité est subjective et propre à chacun. Chacun croit ce qui lui semble bon. Pourtant, la Parole de Dieu affirme que Jésus- Christ est le chemin, la vérité et la vie, nul ne vient au Père que par Lui (Jean 14.6). Chers amis, il n’y a qu’une vérité absolue et c’est la Parole de Dieu. Voilà la source de la vérité. L’unique récipient de la vérité. L’église est cette colonne, cet appui de la vérité... 

Alors, à la question; l'église a-t-elle encore sa place aujourd'hui ? Je répond tout simplement, la vérité, pour sa part, a-t-elle sa place ?

                                                                                                                Par Lui et pour Lui,

                                                                                                                Benoit

mardi 18 mars 2014

La Justice Soupe Au Lait

« car la colère de l’homme n’accomplit pas la justice de Dieu. » (Jaques 1:20)

La colère nous pousse à agir différemment de notre état normal. Souvent bien au-delà de notre état normal. Et trop souvent, au-delà de ce qui est bien devant Dieu. Notre colère est poussée par un désir fort face à ce que l'on considère une injustice. Ce n'est pas au niveau du désir que le problème se situe. C'est plutôt au niveau de ce que nous définissons comme une injustice!

Pour certains, se faire demander de travailler ne serais-ce qu'une goutte de sueur plus fort que son voisin est une injustice! Pour d'autre, il n'y a aucune injustice dans le fait qu'une personne se tape le boulot de deux. Les cas représentent deux extrêmes diamétralement opposés. Alors que les deux sont problématiques, être soupe au lait nous endommage et endommage les autres dans l'immédiat. En bouillonnant nous éclaboussons partout et sur tout ce qui se trouve à proximité causant des brûlures à ceux qui sont proches.

Dieu n'agit pas de cette manière. Alors que Jésus a fait le nettoyage du Temple, il ne s'est pas mit à frapper tout le monde qui se trouvait à portée de bras. Il ne s'est pas mit à impliquer les disciples dans une croisade physique contre l'establishment financier. Il a fait ce qu'Il devait faire et pas une goutte de sueur de plus...

Nous devons laisser les règlements de comptes à Dieu. Autant les laisser à Ses pieds en les abandonnant qu'en les laissant à Ses pieds pour qu'Il fasse justice. Notre justice soupe au lait chauffe trop fort sous l'effet du péché, laissons celle parfait de Dieu agir!

Samuel Deroy

lundi 17 mars 2014

COMMUNION AVEC DIEU 3

Bonjour frères et sœurs

Voice quelques nouvelle idées de monsieur Owen. Nous savon que Dieu ne peut pas plus ou moins nous aimer. Il ne fait pas non plus de préférence, pourtant personne n’expérimente cette grâce de la même façon. Voici quelque idée sur pourquoi :
  1. Les fruits que ca produit. Son amour reste pareil, mais ca peut produire différent résultat parmi Son people. Chaque personne réagit différemment face à Son intervention. Pourtant c’est le même amour donné à tous également. Comme différent terrain peuvent produire plus ou moins de récolte utilisant les mêmes éléments. Comme chaque personne peut créer un repas au gout différent utilisant les mêmes ingrédients et recette. Dieu sait et fait travailler ce même amour en chacun de nous comme Il le veut pour produire Ses résultats.
  2. Les manifestations. Le Seigneur ne peut ou veut pas aimer Ses enfants différemment, mais va interagir différemment. Tous Son les bien-aimé du Père et tous reçoivent le même amour ou grâce. Sauf que la façon que sa se manifeste en chacun peut varier. Le Roi des rois dirige comme Il le veut chaque goût de Sa pluie bienfaisante dans nos vies respectives. La même grâce est donné a tous, mais pas toujours de la même façon ou en même temps.
Ce que nous devons retenir c’est qu’il n’y pas de favoritisme en Dieu. Il donne à tout le même amour et mesure de grâce. Mais l’interaction de cet amour dans nos vies va varier. Ont doit faire confiance au Tout Puissant Maitre du monde qu’Il sait se qu’Il fait. Réjouissons-nous de cette diversité et régalons nous du fruit que ça produit en chacun de nous.

Merci de Ton amour grand Dieu!


Martin Labonté

vendredi 14 mars 2014

Je suis...

« [L'Éternel dit à Moïse :] "Maintenant, va, Je t'enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d'Égypte Mon peuple, les enfants d'Israël." Moïse dit à Dieu : " Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d'Égypte les enfants d'Israël ?" Dieu dit : "Je serai avec toi"... Dieu dit à Moïse : "Je suis Celui qui suis." Et Il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : "Celui qui s'appelle «Je suis» m'a envoyé vers vous. » (Ex. 3:11-12a, 14)

Lorsque Dieu nous appel à faire une tâche quelconque, lorsqu'Il nous demande de faire quelque chose, la question à poser, ce n'est pas « qui suis-je ? » mais plutôt « qui est Dieu ? ». Ce que je suis n'a pas d'importance, peu importe l'immensité de la tâche ou de la charge à accomplir. Ce qui importe, c'est qui Il est. 

« Seigneur, je suis trop faible pour une telle tâche »... mais «Je suis» est Tout-Puissant ! « Seigneur, je suis incapable et inapte pour Ton travail »... mais «Je suis», pourtant, est parfaitement capable et apte ! « Seigneur, je suis trop petit »... mais «Je suis» n'est-Il pas assez grand ? « Seigneur, qui suis-je pour que tu veuilles me faire faire une telle oeuvre ? » 

                           La question n'est pas qui je suis, mais qui est «Je suis» ! 

Tout dépend où nos yeux sont fixés. Si nous regardons à nous-mêmes, il est vrai que nous ne sommes absolument pas suffisant pour faire ce que Dieu nous demande. Or, si nous levions un peu les yeux de notre nombril, nous verrions qui est «Je suis», qui est Celui qui nous envoie ! Lui, il est Tout-Suffisant ! 

« Qui est suffisant (hikanos) pour ces choses ?... Ce n'est pas à dire que nous soyons par nous-même capables (hikanos) de concevoir quelque chose comme venant de nous-mêmes. Notre capacité (hikanotes), au contraire, vient de Dieu. » (2 Cor. 2:16c; 3:5)

jeudi 13 mars 2014

3 Compétences du Croyant Consciencieux

« Sachez-le, mes frères bien-aimés. Ainsi, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère; » (Jaques 1:19)

Nous avons abordé le fait qu'il y a des responsabilités qui sont inhérentes au statut d'une personne devant Dieu. Toutes les créatures ont des responsabilités devant Dieu, mais ce n'est pas toutes les créatures qui possèdent les mêmes responsabilités. Nous avons également fait un parallèle avec les lévites de l'Ancien Testament comme étant un bel exemple du fait d'être les prémices et des responsabilités qui y sont liées. Jacques poursuit en donnant trois exemples concrets des responsabilités des croyants d'aujourd'hui :

1. Être prompt à écouter. Dans notre monde survolté où tout doit aller à la vitesse de l'éclair qui traverse le ciel en un instant, combien de problèmes seraient évités si nous étions plus rigoureux dans l'application de ce simple commandement de Dieu?

2. Être lent à parler. Non seulement nous devons prioriser l'écoute, mais encore devons-nous s'assurer que notre bouche ne comble pas l'espace sonore. Il est si facile d'être prompt à s'écouter parler... mais ce n'est pas ce que Dieu a en vue!

3. Être lent à se mettre en colère. Prioriser l'écoute favorise le fait de prendre du temps avec de parler, d'agir. C'est également dans ce sens que va le dernier élément. Il est facile lorsque nous sommes sous l'effet de la colère d'agir au-delà de ce que l'on voudrait normalement. Jacques nous enjoins de prendre garde à cela.

C'est trois simples compétences qui doivent caractériser le croyant d'aujourd'hui. Que Dieu nous aide à les mettre en pratique dans nos vies par Sa grâce!

Samuel Deroy

mercredi 12 mars 2014

Les appels de repentance, est-ce une absolue nécessité ?

Pour certains, la réponse est catégorique; bien sûr que oui ! Pour d'autres, toutefois, les appels de repentance généralement observés à la fin d'une prédication n'ont rien d'indispensable, surtout lorsqu'ils sont utilisés à répétition... Ils peuvent assurément être bénéfiques, mais ne représente pas une absolue nécessité... Cela étant dit, plusieurs questions demeurent en ce qui concerne ce sujet souvent épineux;

  • Est-il approprié d’utiliser les appels de repentance à répétition ? 
  • Pour quelles raisons serait-il inadéquat d'inviter, voire d'inciter les individus d’une congrégation à prendre une décision face à la Parole de Dieu ? 
  • Les pasteurs qui ne pratiquent pas les appels de repentance sont-ils fautifs ? 

Plusieurs interrogations assurément pertinentes qui pourtant éludent la réelle question auquel nous devons absolument répondre: Cette pratique est-elle fondée sur les Écritures ? Voici (7) arguments qui démontrent clairement que les appels à répétition semblent inappropriés et surtout non indispensables !

  1. Les appels semblent être complètement absents du N-T.
  2. Les appels sont historiquement absents; ils ne font leurs apparitions qu’au 19ième siècle (Charles Finney).
  3. Les appels amènent facilement la confusion; bien que l’action physique de s’avancer devant l’assemblée et l’action spirituelle de venir à Christ puissent être simultanées, il arrive plusieurs fois que certaine personne croit que venir à Christ équivaut à s’avancer devant une assemblée locale.
  4. Les appels peuvent facilement tromper les gens en ce qui concerne l’authenticité de leur état spirituel (prière de repentance). La Bible n’offre jamais l’assurance du salut sous la base d’une réception positive à un appel.
  5. Les appels à répétition peuvent amener les gens à croire à tord que le salut ou toutes autres réponses positives à la Parole de Dieu est réservé uniquement au dimanche, plus précisément à la fin de la prédication.
  6. Les appels sont généralement considérés comme étant la partie la plus importante d’un service, ce qui pourtant est totalement erroné selon les Écritures.
  7. Les appels enseignent les congrégations à évaluer la réussite ainsi que l'efficacité selon des critères visibles.
                                                                                 (Article tirée en partie d'un blogue www.thegospelcoalition.org) 
                                                                                                                           
                                                                                                                                     Par Lui et pour Lui,
                                                                                                                                     Benoit 




mardi 11 mars 2014

La Responsabilité des Prémices

« Il nous a engendrés selon sa volonté, par la parole de vérité, afin que nous soyons en quelque sorte les prémices de ses créatures. » (Jaques 1:18)

Alors que la mort est engendré par le péché, le croyant est engendré par la parole de vérité en accord avec la volonté de Dieu. Jacques fait ce parallèle en utilisant le même mot dans les deux versets. Ce contraste met en lumière la nécessité et l'importance de la Parole de Dieu, sujet sur lequel Jacques revient plus longuement dans les prochains versets. Toutefois, l'emphase du verset se trouve dans le fait que ceux qui sont engendrés par la parole de vérité son les prémices des créatures de Dieu. Que cela signifie-t-il?

Tout d'abord, qu'est-ce que les prémices? Dans la théocratie établie par l'alliance au Sinaï entre l'Éternel et le peuple d'Israël il était convenue que les prémices de la moisson et des premiers-nés appartiennent à l'Éternel. Les prémices signifie les premiers produits de la récolte ou le premier-né d'un animal ou de la famille. Dans le cas des enfants d'Israël, l'Éternel s'était acquis la tribu de Lévi à la place des premiers-nés d'Israël.

Pour revenir au verset d'aujourd'hui, le fait que les croyants sont les prémices signifie simplement qu'ils constituent la part que l'Éternel s'est acquise face à l'ensemble des créatures. Les lévites avaient des grandes responsabilités devant l'Éternel, nous aussi en tant que prémices avons de grandes responsabilités devant Dieu. Les considérons-nous sérieusement?

Samuel Deroy

lundi 10 mars 2014

COMMUNION AVEC DIEU 2

Ce matin j'aimerais vous partager deux simple vérité que j'ai lu dans le livre de monsieur Owen. Ils sont simple, mais font partit de la base dans notre relation avec le Seigneur.

1- Tout doit être purifié par le sang de Christ. Aucun service qu'on Lui offre est acceptable si non. Nos culte d'adoration, nos prières faite avec intensité, nos études pour le connaitre et même si tout est fait avec sincérité à besoin de Son sang. Tout doit et peut passer par Son oeuvre médiatrice pour être offert à Dieu en agréable odeur. Je peux passé ma soirée avec me femme parlant de sa journée et plus adorer Dieu par cette oeuvre que n'importe oeuvre d’évangélisation. Tout ce qui se fait par Christ est reçu favorablement par Dieu.

2- Ca commence par Son amour. Son amour est non seulement l'initiateur, mais la source de notre amour envers Lui. Non seulement Il nous motive par Son amour, mais Il ressort notre amour envers Lui. Oui le fait qu'Il nous a aimé en premier va nous pousser à le servir avec passion. Mais plus encore Il est celui qui fait jaillir notre passion même. N'oublié jamais que si vous prier avec intensité ou voulez évangélisé avec tout les gens que vous rencontrer ou désiré étudier les puritains c'est première à cause de Lui. Il faut le servir avec une amour sincère, mais cette amour c'est Lui qui la produit.

En méditant sur ce ceci mon cœur a déchiré en deux et j'ai prié avec beaucoup de larmes ce matin. Autant je ressentant ma petitesse que je le louais passionnément. Je peux qu'espéré que ca va produire la même réaction en vous.

À Dieu soit la gloire aux siècles des siècles amen!

martin labonté

vendredi 7 mars 2014

Murmures...

**CE TEXTE QUI VA SUIVRE N'EST PAS CE QUI SE PASSE  DANS MA VIE PRÉSENTEMENT, MAIS CE QUI SE PASSAIT DANS MON CŒUR EN FIN FÉVRIER, APRÈS UN MOIS ET DEMI DE MALADIE CHRONIQUE

« Et toute l'assemblée des enfants d'Israël murmura dans le désert contre Moïse et Aaron... Il [= l'Éternel] a entendu vos murmures contre l'Éternel; car que sommes-nous, pour que vous murmuriez contre nous ?... l'Éternel a entendu les murmures que vous avez proférées contre Lui; car que sommes-nous ? Ce n'est pas contre nous que sont vos murmures, c'est contre l'Éternel. » (Ex. 16:2, 7b, 8b)

Les enfants d'Israël se plaignaient parce qu'ils n'avaient pas de nourriture dans le désert (Ex. 16:3)... Ils se plaignaient en raison d'une circonstance qui ne leur plaisaient pas du tout...

Or, ce dernier mois et demi, je suis sans cesse malade : douleur intense à l'estomac, nausée, reflux d’œuf pourri dans l’œsophage, ballonnement intense, vomissement et diarrhée, vomissement de ma bile, restriction dans ma nourriture de telle sorte que je ne mange à peu près plus rien sinon de la nourriture sans saveur, sans épice, sans condiment, sans sauce, sans vinaigrette, sans acidité, etc., et sans compter qu'aucun médecin ne sait ce que j'ai comme problème, donc je suis dans le brouillard et tout s'empire de jour en jour......... et plus je fais attention, plus je suis malade, faible, fatiguée....... en un mot : je suis ÉCŒURÉ ! Voilà ce qui se passe dans mon cœur de vieil homme.

Je n'écris pas ces choses pour me plaindre. Je les écris plutôt pour vous confesser mon péché...

En effet, alors que je murmurais contre ma situation, j'ai lu ce passage dans Exode. Dieu m'a clairement parlé en me montrant du doigt que, comme les enfants d'Israël, je ne murmurais pas contre ma situation (= contre Moïse et Aaron), mais contre l'Éternel Lui-même !

C'est Lui qui, par Sa grâce, me place dans cette situation. Si je me plains, c'est donc contre Lui seul que je me plains... Quelle honte !

À l'occasion (rarement), je le loue pour cette situation; mais dans d'autres occasions (plus souvent), je suis bien plus mécontent qu'autres choses... mécontent non envers ma situation, mais envers l'Éternel seul... Je ne m'en rend peut-être pas toujours compte de manière consciente que je murmure contre Lui lorsque je suis insatisfait de la situation dans laquelle Il me place, mais il n'en demeure pas moins que c'est la triste réalité !

Oh Éternel ! Que Tu me donnes un cœur qui te rend grâces pour toutes choses en tout temps, à la place de mon cœur mauvais qui se plaint lorsque mes circonstances ne font pas mon affaire !


jeudi 6 mars 2014

La Constance Crée La Confiance

« Toute grâce excellente et tout don parfait descendent d’en haut, du Père des lumières, chez lequel il n’y a ni changement ni ombre de variation. » (Jaques 1:17)

Après avoir établit ce qui ne vient pas de Dieu, c'est-à-dire les tentations, Jacques établit maintenant ce qui provient de Dieu, c'est-à-dire toute grâce excellente et tout don parfait. Il est intéressant de noter que Jacques lie autant ce qui ne vient pas de Dieu que ce qui vient de Dieu dans la nature même de Dieu.

Dieu n'est pas l'auteur de la tentation, parce Dieu dans Sa nature parfaite ne peut pas être Lui-même tenté par le mal et ne tente personne à faire le mal, cela étant entièrement contraire à Sa nature. Par contre, Dieu est l'auteur de toute grâce excellente et de tout don parfait parce cela est selon Sa nature.

S'arrêter ici minimiserait un autre élément important de la nature de Dieu. Un élément sur lequel Jacques se base pour établir la confiance du croyant en Dieu. Cet élément est l'absence de changement et de variation dans la nature même de Dieu. Au-delà de chacun des éléments qui composent la nature de Dieu, la bonté, la miséricorde, la souveraineté, etc, la constance est nécessaire  en ce qu'elle constitue le fondement de la confiance du croyant.

L'absence de changement dans la nature de Dieu crée la confiance, parce que nous sommes convaincu que Dieu restera comme Il est. Qui voudrait faire confiance à un Dieu bon qui devient mauvais l'instant d'après? Heureusement pour nous, Dieu est immuable, bon, parfait.

Louons-le pour Ses perfections immuables.

Samuel Deroy

mercredi 5 mars 2014

Sommes-nous des réalistes convaincus !

« Mais en toi je me confie, ô Éternel ! Je dis : Tu es mon Dieu » ! (Psaumes 31.15)

Tandis que certains hommes se dépeignent comme étant des idéalistes sceptiques, d'autres se distinguent comme étant des pragmatiques optimistes... Alors que le premier groupe bouillonne souvent d'idées illusoires et quelquefois farfelues, le deuxième groupe est marqué d'opportunisme et d'empirisme; seuls les résultats et le succès font foi de tout. Cela étant dit, autant les idéalistes sceptiques que les pragmatiques optimistes demeurent éloignés de la réelle nature spirituelle que l'Éternel nous appelle à revêtir...

« Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous 
quand je vous parlerai des choses célestes » ? (Jean 3.12)

Mes très chers frères et sœurs, ne soyons ni des idéalistes incrédules ni des pragmatiques confiants, mais plutôt des réalistes convaincus... Des hommes et des femmes qui croient fermement que Dieu est réellement ce qu'Il prétend être, ni moins ni plus... Des hommes et des femmes qui prennent l'Éternel au pied de la lettre, qui ne se cachent point derrière les époques ou les changements culturels... Des hommes et des femmes qui souscrivent entièrement à tout ce que la Bible révèle de la personne de Dieu et de Son plan parfait pour chacune de nos vies... Je crois sincèrement que notre Grand Dieu désire que nous endossions pleinement, qui Il est et bien-sûr tout ce qu'Il nous dit !

« Que votre cœur ne se trouble point. Croyez en Dieu, et croyez en moi ». (Jean 14.1)

Chers frères et sœurs, pour une dernière fois; sommes-nous des réalistes convaincus ?

Par Lui et pour Lui,

Benoit

mardi 4 mars 2014

Connaître la Vérité

« Ne vous y trompez pas, mes frères bien-aimés: » (Jaques 1:16)

Nous ne sommes point dupes, nous vivons dans un monde qui tente par tout les moyens de nous détourner de la vérité. De nous faire croire que le bien est mal et que le mal est bien. Nous savons qui est derrière tout cela, le père du mensonge, le prince de ce monde de ténèbres, Satan. Son but est clair, ruiner à tout prix le peuple de Dieu.

Jacques exhorte donc ses lecteurs à ne point être séduit. Face à quoi? Face au fait que le mal ne vient point de Dieu comme il l'explique dans les versets précédents. Mais également, face au fait que le bien provient de Dieu comme il l'expliquera dans les versets suivant. Son exhortation étant le point charnière de son discours.

Satan tente par tout les moyens de troubler cette compréhension de la provenance du bien et du mal. Il désire que l'on croit que la tentation provient de Dieu. Il désire que l'on croit que le bien provient de nos propres bonnes actions. Il désire nous éloigner de Dieu autant que possible.

Jacques nous appelle à prendre conscience de la vérité. À la connaître. À être sur nos garde face aux mensonges du diable. À les voir venir.

Dieu ne nous appelle pas à vivre dans le mensonge, mais dans la vérité. Il nous a donné Sa Parole Sainte et avec elle la responsabilité de connaître la vérité. À nous d'obéir.

Samuel Deroy

lundi 3 mars 2014

COMMUNION AVEC DIEU

Je suis dans le processus de me régaler de monsieur John Owen COMMUNION WITH GOD (communion avec Dieu). Et juste les premiers mots mon lancer avec un désire de vous les partager.
L’idée de communion peut être comprise dans certaine sphère ou de certaine façon :
  1. Une relation avec quelqu’un. Exemple : Israël partageait les bons moments et les mauvais étant une famille ou une nation.
  2. Une interaction. Exemple : Christ qui parle avec les deux larrons sur des croix.
  3. Une interaction dans une œuvre commune. Exemple : une réunion d’adoration.
Notre relation avec Dieu combine ces trois choses et les transcende. Notre relation avec Lui est plus qu’une interaction ou même une union dans Son œuvre. C’est plus que de juste interagir avec Sa providence ou de communier avec Ses interventions dans notre vie. L’idée de communier avec le Créateur n’est pas pleinement explicable ou définissable. C’est plus que juste dire : Il nous parle dans Sa parole et ont Lui parle dans la prière. Ça va au-delà que de faire certaine activité spirituel, mais ce n'exclus aucune des ces choses. C’est personnel et individuel, tout en étant partager avec nos frères et sœurs.
Cette relation commence avec le fait que Celui qui est parfait veut rentrer en communion avec nous. Ça continue par une interaction du Dieu trinitaire avec des créatures limitées comme nous. En gros, monsieur Owen cherche, par son livre, a nous montrer que notre relation est avec et par chaque membre de la trinité. Mais désolé je ne suis pas encore rendu a ce point dans ma lecture.
Pour maintenant je veux vous encourager d’aller plus loin que votre idée et conception relationnel avec le Tout Puissant. De réalisé que par l’Esprit nous somme motivé et aidé à rentré en communion. Dans le Fils nous avons cet accès privilégié. Et finalement nous baignons dans l’amour du Père qui veut être en communion avec nous.
Le tout commence par une soumission envers la Source de tout ce qui est saint, juste et parfait. Parce qu’Il est la Source ont peut Lui faire entièrement confiance et s’abandonner totalement a Ses demandes.
Notre relation avec Lui commence par Sa main qui descend et nos cœurs qui se soumettent sous cette puissante main.
La prochaine fois j’aurais plus à vous dire sur ce sujet m’ayant plus avancé dans ma lecture.

Martin Labonté