mercredi 30 avril 2014

Le créationnisme biblique, une vision à adopter !

Que l’on veuille ou non, notre conception des origines est grandement influencée par notre compréhension de la Parole de Dieu dans son ensemble. Lors de la régénération, le nouveau croyant vient à Dieu avec toutes sortes d’idées préconçues qu’il a adoptées tout au long de son existence antérieure. Pourtant, dès le salut, sa vision du monde est transformée graduellement pour devenir de plus en plus conforme à celle de la Parole de Dieu. Au cours de ce processus de sanctification ou si vous préférez, de conformité, l’Esprit Saint illumine le cœur du croyant et renouvelle progressivement son intelligence.

 « C’est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu’on voit n’a pas été fait de choses visibles »  (Hébreux 11.3)

Puisque notre vision du monde est, dès le salut, graduellement endoctriné par la  Parole de Dieu,  notre entendement de la création biblique doit, elle aussi, être influencée par notre nouvelle vision théocentrique du monde. Par ailleurs, faut-il noter que notre conception du créationnisme influence, elle aussi, notre vision du monde. Ainsi, si notre but ultime est de posséder une vision théocentrique du monde, il nous faut embraser pleinement la pensée du Dieu trinitaire quant aux origines de la terre. Si l’Éternel se délecte de Son œuvre supra-naturelle accomplie lors de la création et si, ce pour quoi Il se délecte est digne de notre attention, il faut, de la même manière, que Son activité créatrice nous délecte aussi.

Par conséquent, ce qui est digne de Son affection doit aussi être digne de notre affection; ce qu’Il chérit doit inévitablement être ce que nous chérissons. À ce propos,  le récit de la Genèse démontre clairement que le Dieu trinitaire se réjouit dans l’œuvre de Sa création. Chaque jour est virtuellement marqué de Son appréciation ainsi que de Sa délectation; « Dieu vit tout ce qu’il avait fait et voici, cela était très bon » (1.31a).  En définitive, le créationnisme biblique est à coup sûr une perspective qu’il nous faut absolument étudier et adopter, puisque nous désirons plus que tout chérir ce que notre grand et majestueux Dieu chérit, Lui-même.

En résumé, puisque nous avons une tendance naturelle à nous conformer à ce que nous affectionnons; si nous affections ce que Dieu affectionne, nous devenons, par le fait même de plus en plus conforme à la personne de Dieu, Lui-même. « Or nous tous, contemplant à face découverte la gloire de Seigneur, nous sommes transformés en la même image, de gloire en gloire, par le Seigneur en Esprit » (2 Corinthiens 3.18/Darby). Piper commente : « Contempler est une manière de devenir semblable. Par conséquent, si les plaisirs de Dieu sont la marque de son excellence ou de sa gloire, alors le fait de méditer sur ces plaisirs nous permet d’espérer être transformés à sa ressemblance. La valeur et l’excellence d’une âme se mesure à la lumière de l’objet de son amour».

Par Lui et pour Lui,

Benoit

mardi 29 avril 2014

La Richesse De Notre Héritage

« Ecoutez, mes frères bien-aimés: Dieu n'a-t-il pas choisi les pauvres aux yeux du monde, pour qu'ils soient riches en la foi, et héritiers du royaume qu'il a promis à ceux qui l'aiment? » (Jacques 2:5)

Ce n'est pas a dire que Dieu n'a pas choisit de riches ou que Dieu est entièrement contre la richesse, loin de là! La démarche argumentative de Jacques est axée sur le fait que les pauvres sont mit de cote alors qu'ils ne le devraient pas! Il faut éviter d'y voir une condamnation des riches ou l'absence de ceux-ci dans le plan de Dieu. 

Jacques focalise sur deux choses que l'on associe habituellement avec le fait d'être riche pour démontrer l'importance de ne pas négliger les croyants pauvres au profit des riches : la richesse et l'héritage.

Alors que tous savent que les riches sont riches, il est plus difficile de voir que les pauvres sont riches, mais ils le sont! La source de leurs richesses n'ait pas fondée sur les biens matériels, mais se trouve en Dieu. D'une part, les pauvres croyant possède la foi, ce qui est une richesse éternelle. De l'autre, ils sont riches par la foi, en ce qu'elle prend possession des bénédictions que Dieu donne a Ses enfants. Les richesses terrestres promettent un bel héritage a celui qui les possèdent, mais le croyant pauvre trouve en Dieu sont héritage, et quel héritage! Celui d'avoir une part dans le royaume de Dieu! 

Le pauvre est plus riche que n'importe quel riche sur la Terre, en ce que sa richesse se trouve en Dieu! Ne soyons pas séduits par la valeur trompeuses des apparences!

Samuel Deroy

lundi 28 avril 2014

COMMUNION AVEC DIEU (FINAL)

Ce matin nous terminons en rentrant en communion avec l’Esprit. Ne vous inquiétez pas ça ne viendra pas de théorie sortit de l’imagination chrétienne, mais des versets biblique. Monsieur Owen présente une idée venant de quelques passages et vérités biblique que je voulais vous mentionner. Il en dit plus dans son livre, mais ceci ma plus touché.

1 Corinthiens 12 :11
Un seul et même Esprit opère toutes ces choses, les distribuant à chacun en particulier comme il veut.

Dans ce verset Paul nous dit clairement que ca dépend de Sa volonté, qu’est-ce que le croyant reçoit. Sur cette base ont doit réaliser que tout l’œuvre de l’Esprit dépend de Sa volonté et non nos efforts. Si le salut est par grâce et vient de Celui qui décide, Dieu, pourquoi est-ce qu’on pense être remplit de l’Esprit par nos efforts? Si nous croyons à la trinité? Nous devons acceptez que Dieu ne change pas d’une personne à l’autre de la trinité. Si le Père et le Fils font se qu’ils veulent sans que sa dépende de nous, c’est la même chose pour le Saint-Esprit. Ceci veut dire que Ses fonctions sont aussi dépendantes de Sa volonté. Je parle ici de la consolation et du fruit.

Il nous à été promis comme Le Consolateur. C’est certain que ce réconfort ce trouve dans Son œuvre de nous rappeler la Parole. Mais fessons attention de croire que si j’étudie, lis, mémorise et surtout médite la Parole je vais être consolé. Dieu demande une soumission et un abandon de toutes nos capacités. Il veut qu’on crie à Lui pour Son aide et qu’Il soit la source qui produit toutes bonne choses. Plus encore, c’est vraiment l’Esprit qui décide si nous allons être consolés ou non. Je sais que sa peut nous déranger, mais Dieu est souverain sur nos vies. Comme notre frère nous partager il y a quelques vendredi : Dieu fait se qu’Il veut quand il veut comme il veut.

Son fruit vient aussi de Sa volonté propre et pas de nos grands efforts chrétiens. Ce n’est pas nos pratiques impeccables des règles chrétiennes, que l’Esprit doit nous bénir. Ce n’est pas non plus parce que je suis bien disposé ou fidèle qu’Il va automatiquement produire Son fruit en nous. Il désir certainement les meilleures conditions, soumission et fidélité, mais il n’est pas dépendant de nous ou obligé d’agir. Ceci doit produire encore plus de reconnaissance lorsqu’on ressent cette paix ou joie dans l’affliction. Parce que ce n’est pas du tout mon œuvre, mais le sien.

Pour ceux qui se sentent un peu écrasé ou attristé par mes paroles, voici un beau réconfort. Cette troisième personne de la trinité a choisi volontaire de venir habiter en nous comme Consolateur. Il a choisi d’être notre lien avec le Divin. Il a choisi de nous faire connaitre l’amour du Père et Fils en se déversant en nous. Pensez a cette sorte d’amour qui peut couler dans nos vienne spirituel à cause que Dieu les Saint-Esprit choisi d’habité en nous.


Martin Labonté

vendredi 25 avril 2014

Jésus sauve parfaitement ceux qui prient

« Mais Lui, parce qu'Il demeure éternellement, possède un sacerdoce qui n'est pas transmissible. C'est aussi pour cela qu'Il peut sauver parfaitement ceux qui s'approchent de Dieu par Lui, étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hb. 9:24-25).

Jacques, en parlant à des croyants déjà sauvés, dit : : « la parole... qui peut sauver vos âmes » (Jc. 1:21b). C'est en effet par la Parole de Dieu que nous avons été sauvés, et c'est encore par Elle que nous pouvons être sanctifié progressivement dans notre salut.

Toutefois, mon point ici est davantage à propos de la citation d'Hébreux 9:24-25. Il nous est dit que Jésus, en tant que Souverain sacrificateur ressuscité, peut sauver, tout comme le fait la Parole de Dieu, ceux qui s'approchent de Dieu par Lui-même. Ainsi, c'est en s'approchant de Dieu dans la prière par Jésus que Jésus, par la Parole de Dieu, transforme nos âmes. Sans prière, il ne peut y avoir de progression dans le salut, et ce, même si nous faisons tous les efforts du monde pour mettre en pratique la Parole de Dieu qui peut sauver nos âmes. Nous avons donc un profond besoin de sans cesse demander grâce à Dieu pour qu'Il nous accorde de sauver nos âmes, par la sanctification progressive, en mettant en pratique Sa Parole.

Paul nous dit que, « en Lui nous avons, par la foi en Lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance » (Ep. 3:12). Deux versets plus loin, Paul nous montre un exemple de ce qu'il vient tout juste de dire en « fléchissant [lui-même] les genoux devant le Père » (v. 14). Mais pourquoi fléchit-il les genoux devant le Père ? C'est tout simplement parce qu'en priant « à Celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au-delà de tout ce que nous demandons ou pensons » (v. 20), Paul peut avec assurance demander au Père à ce que les croyants soient à un tel point sanctifiés qu'ils en viennent à  le devenir parfaitement en étant « puissamment fortifiés par Son Esprit dans l'homme intérieur, en sorte que Christ habite dans vos cœurs par la foi... en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude de Dieu » (vv. 16-19).

Ainsi, ce n'est que sur la base de la prière effectuée par l'Esprit qui intercède en nous et pour nous que la Parole de Dieu peut sauver nos âmes. C'est d'ailleurs pour cette raison que Jésus ne « peut sauver parfaitement [que] ceux qui s'approchent de Dieu par Lui ["l'Esprit d'adoption, par Lequel nous crions : Abba! Père!" (Rm. 8:15b)], étant toujours vivant pour intercéder en leur faveur » (Hb. 9:25).

Joël Labrecque

jeudi 24 avril 2014

Distinguer Les Distinctions

« ne faites-vous pas en vous-mêmes une distinction, et n’êtes-vous pas des juges aux pensées mauvaises? » (Jacques 2:4)

Alors qu'il y a des distinctions qui sont nécessaires dans la vie du croyant, comme distinguer ce qui est bon de ce qui est mauvais, ce qui est bénéfique de ce qui est inutile, ce qui construit de ce qui détruit, il y a d'autres distinctions qui ne mène à rien de bon, comme celle de distinguer le riche au détriment du pauvre.

C'est une distinction qui, selon Jacques, nous montre une partie de nous-mêmes. Elle révèle le fond de notre pensée. Elle démontre que les balises de notre jugement sont faussées.

Face à cette révélation sur nous-mêmes, nous pouvons faire deux choses : l'ignorer et être un auditeur oublieux... ou la prendre en considération et apporter les modifications nécessaires à cette situation.

Comment transformer notre perception faussée? En considérant les choses sous la perspective de Christ. Si nous regardons les gens comme ils sont en Christ, nous les verrons d'une toute autre manière. Nous ne verrons plus l'apparence extérieure. À la place, nous verrons l'apparence intérieure qui est transformée par Christ. Nous verrons les individus comme étant des membres importants, autant l'un que l'autre, du corps de Christ. Nous verrons leur nécessité dans ce corps. Et nous commenceront à les apprécier à leur juste valeur.

Que Dieu enseigne à distinguer ce qu'Il désire que nous distinguions plutôt que ce que nous pensons qu'il faille distinguer.

Samuel Deroy 

mercredi 23 avril 2014

C'est TOUT ou bien c'est RIEN ! (suite)

Comme promis, voici (12) caractéristiques d'un coeur froid !
  1. Une recherche d’approbation et d’acceptation d’autrui !
    1. Luc 6.26
    2. Galates 1.10
  2. Un manque drastique de courage !
    1. Jacques 4.17
    2. Romains 12.2
  3. Une poursuite du minimum !
    1. Luc 9.23; 14.33
    2. Jean 12.25
  4. Une vie d’incrédulité !
    1. 2 Corinthiens 5.7
    2. Galates 2.20
  5. Une absence d’engagement, de consécration !
    1. 2 Corinthiens 8.5
    2. Actes 20.24
  6. Une perte (manque) d’émerveillement !
    1. Néhémie 9.17
    2. Psaumes 106.13, 21
  7. Un amour trop souvent sélectif !
    1. 1 Jean 4.10
    2. Matthieu 5.43-46
  8. Une vie marquée de formalisme et d’automatisme !
    1. Ésaïe 29.13
    2. Amos 6.1
  9. Une affection démesurée pour les choses d’en bas !
    1. Colossiens 3.1-2
    2. Psaumes 119.37
  10. Un goût de plus en plus marqué pour l’indépendance !
    1. Psaumes 133.1
    2. 1 Jean 3.14
  11. Une carence marquée de crainte à l’égard de Dieu !
    1. Proverbes 28.14
    2. 2 Chroniques 19.7, 9
  12. Un cœur de plus en plus tolérant face au péché !
    1. Psaumes 97.10
    2. Romains 12.9

mardi 22 avril 2014

Égaux En Christ

« si, tournant vos regards vers celui qui porte l’habit magnifique, vous lui dites: Toi, assieds-toi ici à cette place d’honneur! et si vous dites au pauvre: Toi, tiens-toi là debout! ou bien: Assieds-toi au-dessous de mon marchepied! » (Jacques 2:3)

C'est une chose que de distinguer mentalement entre celui qui est riche et celui qui est pauvre à partit de son apparence extérieure. C'est une tout autre chose que de privilégier le riche au détriment du pauvre. L'un comme l'autre sont des créatures de Dieu. Ils ont les mêmes droits en vertu de cela. Le pauvre n'est pas une créature de seconde classe pour cela, pas plus que le riche doit être mit de l'avant pour sa richesse. Comme Jacques le mentionne dans le chapitre 1, la richesse est passagère, elle est terrestre. En vertu de la réalité céleste, nous n'avons pas à faire de distinction basée sur la réalité physique. Même s'il y a souvent un avantage terrestre à prioriser le riche ici-bas, cela ne nous amène aucun avantage spirituel. Le riche comme le pauvre ont un avantage spirituel, non en vertu de leurs possessions physiques, mais en vertu de leur possession spirituelle, Christ. Étant, tous deux, membres du corps de Christ, ils doivent être traités d'une manière égale, puisqu'ils sont égaux en Christ! De même, l'avantage qu'ils apportent à l'assemblée ne dépend pas de leur situation physique, mais spirituelle! L'assemblée locale étant premièrement une réalité spirituelle, avec une dimension physique, nous devons prioriser le domaine spirituel au-delà du domaine physique.

Que Dieu illumine nos coeurs sur la supériorité des choses spirituelles faces à celles physiques!

Samuel Deroy

lundi 21 avril 2014

COMMUNION AVEC DIEU 8

Ce matin frères et sœurs bien aimé nous allons nous concentrer sur le Seigneur.
Je viens de lire dans COMMUNION AVEC DIEU de si belle et simple vérités sur Son attitude envers nous que je devais vous le partager. La dernière fois j’ais discuté du désir de Dieu de mieux nous connaitre. Nous allons approfondir ce merveilleux point, d’une certaine façon. En discutant de Sa patience et compassion envers nous.
  1. Habituellement ont comprend Sa patience comme celle d’un père qui supporte un enfant désobéissant. Nous le voyons comme supportant nos nombreuses rébellions et retenant sa colère. C’est normal, la Bible présente sa longanimité comme ça. Sauf que j’aimerais dévoiler un autre aspect de cette même patience, celle d’un berger envers des brebis. Quand Jacob fait ses retrouvailles avec son frère, Ésaü, il choisi de ne pas le suivre jusqu’à la maison. La raison qu’il donne c’est qu’il ne veut pas brusquer les nouveau né dans le troupeau de peur de les perde. Notre souverain Berger est pareil. Il sait notre vitesse et ne veut pas nous brusquer. Il pourrait nous trainer jusqu’au vert pâturage, ça serait pour notre mieux. Il pourrait nous mettre toute de suite dans le feu le plus chaud et puissant; dès que nous somme sauvé dans le but de nous perfection toute de suite. Encore ça serait pour notre mieux, nous voulons tous être changer rapidement. Mais Il prend son temps et avance à notre rythme. Déjà ca devrait produire en nos cœurs de la reconnaissance. Il est si doux et patient envers nous, les brebis faible et rebelle.
  2. Le livre d’hébreux nous montre la supériorité de Christ dans plusieurs domaines comme celui de prêtre médiateur. Les sacrificateurs devaient être pris du peuple pour pouvoir compatir avec eux. Ils devaient pouvoir réaliser leur propre imperfection et par cela mieux compatir avec ceux du peuple. Tristement les pharisiens, et certain chrétiens, ont oublié ceci. Christ, pour sa part, était Ce médiateur parfait. Pour le devenir il a dû venir se revêtir d’humanité. La Bible nous enseigne que par cela Il a appris s’était quoi d’être un homme. Pensez au fait que Celui qui connait toutes choses a choisi de venir ressentir la réalité humain pour l’expérimenté pour Lui-même. L’une des raisons pourquoi était de pouvoir compatir avec nous. Par cela il devient Ce meilleur ami qui sait exactement comment nous aider. Il devient Cet époux, ou épouse, qui semble souffrir avec nous. J’espère que vous avez la bénédiction de comprendre se que je veux dire. Lorsque cette personne a nos cotés peut réellement nous comprendre, même des fois mieux que nous même. Cette même personne devient notre aide semblable. Quand hébreux nous parle de Christ qui compatisse avec nous ça veux dire beaucoup. C’est plus qu’un supérieur qui nous dit : je sais que c’est difficile je l’ai déjà vécu, maintenant relève toi et continue. C’est plus qu’une petite voix derrière nous qui nous dit : je t’aime. Il nous encourage de jeter tout fardeau à ses pieds. Il se place sous notre épaule pour nous garder debout. Il souffre avec nous. Permettez-moi de finir ce point avec une image donnée par John Piper.
Imaginez-vous comme un enfant qui doit subir une chirurgie très douloureuse et seulement avec une anesthésie locale. Pendant que le docteur nous fait souffrir pour notre bien, notre père céleste doit nous retenir pour pas qu’on bouge. Nous versons beaucoup de larmes en regardant directement dans ses yeux. Ont Lui demande pourquoi Il permet cette douleur. La vraie compassion de Dieu nous dit que son cœur est en mille miettes de nous voir dans cet état.
Dans ma grande connaissance théologique je perds de vue trop souvent la simplicité que Dieu nous aime comme un père. Que Son cœur brise de nous voir souffrir et qu’Il cherche à agir avec la plus grande douceur ou patience. Si je peux vous exhortez : ne laissez pas votre connaissance vous distraire de la simplicité de Sa tendre amour patiente et compatissante pour vous.

Martin Labonté


vendredi 18 avril 2014

"La Règle d'or" devenue "La Règle de platine"

« Tout ce que vous voulez que les hommes fassent pour vous, faites-le de même pour eux » (Mt. 7:12).

Jésus, en disant cela, nous explique littéralement et pratiquement ce que signifie d'aimer son prochain comme soi-même. Faites aux autres ce que vous aimeriez que les autres vous fasse. Prenez soin des autres comme vous voudriez qu'ils prennent soin de vous. Servez les autres comme vous aimeriez qu'ils vous servent. Bref, faites aux autres ce que vous feriez à vous-mêmes.

Or, à la veille de Sa mort, Jésus a amplifié le commandement : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même » en disant : « Aimez-vous les uns les autres; comme Je vous ai aimés, vous aussi, aimez-vous les uns les autres ». Si nous appliquons ce commandement à la manière que Jésus l'a fait pour l'autre, alors nous pourrions dire : « Tout ce que Jésus a faite pour vous, faites-le de même aux autres ». Prenez soin des autres comme Jésus prend soin de vous. Servez les autres comme Jésus vous a servi jusqu'à mourir pour vous. Ou comme Jean le dit si bien : « Nous avons connu l'amour en ce qu'Il a donné Sa vie pour nous; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères » (1 Jn. 3:16).

Apprenons à connaître l'amour que Jésus a pour nous, et nous apprendrons ainsi à aimer les autres -- en L'imitant !

jeudi 17 avril 2014

Au-Delà Des Apparences

« Supposez, en effet, qu’il entre dans votre assemblée un homme avec un anneau d’or et un habit magnifique, et qu’il y entre aussi un pauvre misérablement vêtu; » (Jacques 2:2)

Il est facile de souscrire intellectuellement à une idée, mais c'est une toute autre chose que d'y tenir dans la pratique. Nous pouvons adhérer à l'absence de favoritisme, mais vivre, consciemment ou non, en favorisant certaines personnes. L'exemple de Jacques est flagrante. Tellement évidente qu'elle ne constitue pas en elle même le message qu'il désire passer. Dire que la foi soit exempte de favoritisme est suffisant pour accomplir la tâche. L'exemple en soit est un préambule à un enseignement plus profond que celui de ne pas faire de favoritisme. Il y a un lien à faire avec ce qui suit et ce qui précède l'exemple.

D'une part, en relation avec ce qui précède, l'apparence extérieure n'est en aucun cas garant d'une réalité intérieure. La vraie religion n'est pas celle qui frappe l'œil. La vraie religion est discrète et efficace. La religion inutile est vocale et, malgré les apparences, inefficace.

D'aurtre part, la vraie richesse non plus n'est pas celle qui frappe l'œil. La réelle richesse c'est de connaître Christ, c'est d'être héritiers du royaume promis à ceux qui l'aiment.

En tant que croyant nous devons voir au-delà des apparences. Nous devons avoir une perspective qui prend en considération la réalité spirituelle, réalité qui est d'une plus grande importance que la réalité physique, actuelle, passagère.

Samuel Deroy

mercredi 16 avril 2014

C'est TOUT ou bien c'est RIEN !

« Écris à l’ange de l’Église de Laodicée : 
Voici ce que dit l’Amen, le témoin fidèle et véritable, l’auteur de la création de Dieu :
Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Si seulement tu étais froid ou bouillant ! Ainsi, parce que tu es tiède et que tu n’es ni froid ni bouillant, je vais te vomir de ma bouche »...

Soyons clairs et concis, le verbe grec « εμεω / vomir » que l'apôtre Jean emploie dans ce verset n'a rien de bien délicat, il évoque carrément l'idée d'un haut de coeur qui rapidement engendre un rejet violent de ce qui l'a originalement causé... Ainsi donc, la question qu'il nous faut absolument nous poser est la suivante : Lorsque Jésus, le Témoin fidèle s'adresse à l'église de Laodicée, parle-t-Il à de véritables croyants ? Plusieurs le prétendent, pourtant, cette conclusion semble tout à fait improbable, voilà pourquoi !

  • Que Jésus appelle malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu Ses enfants, est-ce raisonnable ?
  • Que Jésus conseille à Ses soi-disant enfants d'acheter des vêtements blancs afin qu'ils soient vêtus et que leur nudité de paraisse pas, est-ce là le genre de recommandation que Dieu ferait à des rachetés ?

Assurément, dans les (2) cas, la réponse est catégorique; NON ! Bien sûr que non... Les croyants sont revêtus du sang de Christ, ils sont déjà blanc plus blanc que neige... Loin d'être malheureux, misérables et aveugles, ils jouissent d'une espérance et d'une joie qui ne s'expliquent pas... Cela étant dit, que doit-on donc comprendre de ce passage ? Que l'engagement auquel Jésus nous appelle est sans équivoque; c'est tout ou bien c'est rien...Il n'y a pas de demi-mesure, de compromis à faire... Il n'y a pas de tiédeur possible, c'est ou bien froid ou bien bouillant ! 

« Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n’entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux ». (Matthieu 7.21)

La semaine prochaine, je vous reviens avec (12) caractéristiques qui n'ont rien qu'un coeur bouillant pour Christ !

Par Lui et pour Lui,
Benoit

*** L'idée générale de cette article tire son origine du livre Crazy Love de Francis Chan***

mardi 15 avril 2014

Foi Sans Favoritisme

« Mes frères, que votre foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ soit exempte de tout favoritisme. » (Jacques 2:1)

La foi et l'acceptation de personne sont deux choses incompatibles. Dieu n'ayant pas cette approche avec nous, pourquoi l'aurions-nous avec les autres? Envers qui est-ce que le Seigneur a démontré du favoritisme? N'est-Il pas celui qui a autant partagé un repas avec les publicains et les gens de mauvaises vie, qu'avec les pharisiens? N'a-t-il pas guérit le serviteur d'un centurion romain, d'un païen, mais également la fille d'un chef de synagogue? N'a-t-il pas annoncé la venu du royaume de Dieu autant aux foules composés des gens du peuple, qu'au chefs religieux de celui-ci? N'a-t-il pas proclamé la nécessité de la repentance pour tous, sans égard à leur condition terrestre? Pourquoi ferions-nous des distinctions où Celui que nous appelons notre Seigneur n'en a pas fait?

Samuel Deroy

lundi 14 avril 2014

COMMUNION AVEC DIEU 7

Bonjour frères et sœurs
Ce matin j’aurais un sujet qui ressemble plus à des idées qu’on trouverait dans un livre de John Piper. Mais avant Piper il y avait Owen et avant ça il y avait la Bible. Dans des passages comme le livre de Cantique des cantiques ont trouve le sujet des délices de l’Éternel. Ce délice se retrouve en grand majorité dans cette communion qu’Il a avec nous. Nous avons aussi ce même délice dans cette communion avec Lui. Ce délice pourrait être séparé en deux aspects rattaché à la connaissance. Nous pouvons connaître Dieu et Il veut nous connaître
  1. Première arrêtez-vous un moment et réalisez que vous pouvez maintenant connaître Dieu. Le monde avec leur raisonnement humain ou leur religion cherche à le connaître et comprendre, puis Il c’est fait connaître à nous. Dans 1 Corinthiens 4, Paul nous enseigne que l’homme charnel ne peut pas connaître Dieu. Sauf que par l’Esprit nous, les élues, pouvons connaître Ses pensées. Comprenez-vous l’implication. Le Créateur, Celui qui est transcendant, nous permet et invite de rentrer dans Ça tête. Nous des êtres limités peuvent connaître l’illimité. Ça en soi devrait faire exploser nos cervelles et  nos cœurs. Le monde nous trouve fou à cause de la façon que nous voulons vivre maintenant. Ils ne comprennent pas l’idée de vivre par la foi ou de devoir être éprouvé pour être perfectionné. Que tout ceci nous appelons ça de l’amour divine. Mais pour nous c’est majestueux parce que nous avons tous faite une incroyable rencontre avec le Fils de Dieu. Parce que Son Esprit nous as fait pénétré dans le lieu très saint et que nous avons pu contempler le Seigneur dans Sa splendeur. Le fait qu’on peu le connaître comme ça maintenant, c’est qu’est-ce qui nous motive à vouloir plus le connaître
  2. Deuxièmement, vous devez saisir que Dieu veut vous connaître. Dans cantique des cantiques, un livre qui présente l’image de Christ et Son église, l’époux veut rentrer dans le jardin barré de sa bien-aimée. Il veut se délecter de tous les fruits contenus à l’intérieur. N’est-ce pas une belle image? Dans romain 8 ont apprend que l’Esprit nous aide à crier et partager nos soupires inexprimable. Pensez aux fait que Dieu veut connaître nos soupires. Il veut qu’on vide nos cœurs devant son trône. Il veut qu’on vienne pleurer sur son épaule. Il n’est pas répugné, mais sa réjouit et même le provoque en nous. Oui ultimement le Seigneur se réjouit avant tout dans sa propre gloire, mais sommes-nous pas créé à Sa gloire? Le Salut c’est Lui qui nous régénère pour qu’on puisse devenir plus comme Son Fils. De nous récréé à Son image parfait. Abandonnez-vous dans l’idée que Dieu veut et aime apprendre a vous connaît
Je ne sais pas pour vous, mais quand j’ai arrêté et médité sur ces deux fait j'ai loué Dieu. Mon cœur c’est enflé d’amour et reconnaissance envers Ce grand Dieu. De réaliser que nous avons fait la rencontre du Créateur est assez pour nous jeter a nos genoux. C’est a ce moment qu’Il nous dit parle moi de toi et montre moi ton cœur je veux m’intoxiquer de toi.


Matin Labonté

vendredi 11 avril 2014

La loi de Christ

« Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ » (Ga. 6:2)

Aujourd'hui, ce ne sera pas très long et compliqué. En effet, la loi de Christ n'est pas compliquée, car elle consiste en ce que nous devons simplement faire tout ce que Christ a fait ou ferait. Ainsi, nous devons portez les fardeaux les uns des autres comme Lui-même les a porter pour nous à la croix du Calvaire (Ga. 6:1-2; cp. Jn. 13:14-15). Nous devons marcher dans les traces de Christ (1 Pie. 2:21) et marcher « dans l'amour à l'exemple de Christ, qui nous a aimés, et qui s'est livré Lui-même à Dieu pour nous comme une offrande et un sacrifice de bonne odeur » (Ep. 5:2). Nous devons aimer les autres comme Lui nous a aimé (Jn. 13:34). Nous devons L'imiter en tout point (1 Cor. 11:1b). Nous devons « marcher aussi comme Il a marché Lui-même » (1 Jn. 2:6). Etc.

Certes, la loi de Christ est très simple à comprendre. Mais qu'en est-il de son accomplissement ? Avons-nous autant de faciliter à comprendre Sa loi qu'à la faire ? Heureusement, cet accomplissement ne repose pas sur nos épaules, mais sur la grâce de Dieu. C'est Dieu qui accomplit cette loi en nous pas le moyen de Son Saint-Esprit. Car « le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bienveillance, la foi, la douceur, la maîtrise de soi » (Ga. 5:22).

Joël Labrecque

jeudi 10 avril 2014

La Religion Utile

« La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde. » (Jaques 1:27)

Après nous avoir dit ce que la religion utile n'était pas, Jacques nous dit maintenant ce qu'elle est. Il mentionne deux éléments : visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, se préserver des souillures du monde. Ce n'est pas une liste exhaustive bien entendue, mais elle démontre le point de Jacques: La religion extérieure n'est pas celle qui frappe les yeux.

Les orphelins et les veuves sont les personnes délaissées de la société. Elles n'ont plus personne pour s'occuper d'eux, ce qui est une occasion de service pour le croyant. L'idée de visiter dépasse le simple fait d'aller prendre un café... C'est l'idée d'aider concrètement dans leurs besoins ces personnes.

Comme le croyant se doit d'être parmi le monde sans être du monde, cela va de soi qu'il est nécessaire pour celui-ci de se garder du monde et de ses influences.

Avant de nommer ces deux éléments, Jacques met une emphase importante qui explique d'avantage ce qu'est la religion utile: la vraie religion se trouve devant Dieu notre Père. Elle ne se trouve pas dans les démonstrations pompeuses qui frappent nos yeux. Le but de la religion utile n'est pas d'impressionner les autres, mais d'obéir à Dieu. Il voit ce que les autres ne voient pas. Nous ne devons pas chercher à nous plaire. Nous ne devons pas chercher à plaire aux autres. Nous devons chercher à Lui plaire.

Samuel Deroy

mercredi 9 avril 2014

Lorsqu'il y a un trop-plein !

« Déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car il prend soin de vous » (1 Pierre 5.7)

Cette idée de se décharger que l'apôtre Pierre nous présente dans ce verset désigne plus précisément l’action de « lancer » en direction du Seigneur Jésus-Christ tous nos soucis, de s’en départir, de les jeter à Ses pieds. Cette notion de se décharger, de lancer nos soucis est exactement la même qui est employée par David dans le Psaume 55.22; et le verbe « remettre » dans ce verset est précisément le même (LXX) qui est employé par le Seigneur, Lui-même dans Luc 23.46. L’idée est celle de confier, de présenter, de remettre une charge à quelqu’un… Dans le contexte immédiat de ce passage, Christ remet toutes choses entre les mains du Père. Il délaisse tout contrôle, Il abandonne toute emprise au profit du Père. Ainsi donc, lorsque l'apôtre Pierre expose l'idée de se décharger, il communique clairement la notion de remettre toutes choses entre les mains de Dieu. De littéralement lâcher prise sur tous fardeaux qui nous accablent...

Toutefois, avec le temps, mais surtout en raison de notre désobéissance, nous portons sur nos épaules plusieurs fardeaux qui ne devraient jamais être nôtres… Nous croyons à tort que nous sommes en mesure de passer à travers les difficultés, que nous sommes en mesure de tout supporter … que nos épaules chancelantes sont fermes et solides… Nous en avons vu d’autres après tout… Nous allons passer au travers comme les autres fois… Pourtant, la réalité, c’est qu’un jour ou l’autre, tous ces fardeaux que nous portons deviennent rapidement trop lourds, voire même insupportables… Il y a ce qu'on appelle, un trop-plein... Et là, à ce moment précis, nous sommes en proie à l'abandon et nous retrouvons sur notre route, doute et questionnement... Dieu est-Il réellement bon ? Est-Il réellement fidèle et souverain ? Pourquoi ne vient-Il pas à mon secours ? 

Ironiquement, toutes ces questions trouvent leurs réponses dans la deuxième portion du verset; oui, Il prend soin de nous... Chers frères et sœurs, n'attendons pas qu'il y ait un trop-plein, soyons obéissants et déchargeons-nous sur le Dieu qui prend soin de nous !

Par Lui et pour Lui,
Benoit


mardi 8 avril 2014

La Religion Inutile

« Si quelqu'un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son cœur, la religion de cet homme est vaine. » (Jaques 1:26)

Encore une fois, Jacques fait nous déclare très concrètement la réalité de ce qui doit être notre perspective sur la vie que doit mener le croyant. Étant des créatures aux prises avec la séduction du péché nous devons en tout temps regarder dans le miroir de la Parole, afin de voir quel est l'état dans lequel nous sommes, pour y apporter les changements nécessaires selon ce que la Parole nous montre.

Une petite déviation peut nous mener rapidement très loin d'où nous devrions être. C'est comme dans les compétitions de tir aux olympiques, lorsque les tireurs vont viser la cible ils ont peu de temps pour effectuer un tir sinon leur battement de coeur va venir faire bouger leur arme de poing. Un petit battement de coeur fait la différence entre un trou dans le milieu de la cible et une balle perdue.

Jacques  nous déclare que le fait de ne pas tenir sa langue en bride est une déviation. C'est une déviation qui nous mène à penser que nous sommes correct, que nous sommes dans le bon chemin, alors qu'en réalité nous en sommes loin. Nous avons dévié. Nous avons séduit notre propre coeur. Nous nous retrouvons avec une religion inutile, vaine, sans force.

Alors que dans le prochain verset, Jacques nous dit ce qu'est la religion utile de manière positive, dans ce verset nous avons la vue négative de ce qu'est la religion utile ou plutôt ce qu'elle n'est pas. Elle n'est pas un manque de contrôle de ses paroles. Comment pouvons nous faire cela? Jacques nous le dit au verset 19 : « Ainsi, que tout homme soit prompt à écouter, lent à parler, lent à se mettre en colère »

Samuel Deroy

lundi 7 avril 2014

COMMUNION AVEC DIEU 6

Bonjour frères et sœurs,

Ce matin mon partage est cours et simple. C’est un rappel qu’on connaît le Père que par le Fils. Pensez-y comme il faut! Ont peu connaître des choses sur Dieu et nous même (l’homme), mais c’est le Fils qui les rend tous tangible.
  1. Je peux étudier sur l’amour de Dieu devenant un expert capable d’écrire un livre. Je peux expliquer la signification des mots grecs et sortir tout les bons passages, mais c’est le Fils qui nous la fait connaître. Sa vie était une manifestation de Sa bonté, tendresse et amour. C’est Lui qui nous as montré jusqu’à quel point Dieu veut s’occupé des souffrants. Sa mort est l’action décisive qui présente l’éclat de Son amour envers des pécheurs imméritants.
  2. La conscience me condamne quand je vais le mal. La loi ajoute un énorme fardeau de culpabilité. Sauf  que c’est la croix qui nous fait comprendre à quel que Dieu haï le péché. Seulement le fait que Christ à été séparé de Son Père en portant nos péchés, qui nous fait réaliser notre vraie laideur.
Maintenant de réalisé que le Fils nous révèle le Père est de grande importance, mais seulement la première étape. La deuxième est de communier avec le Père par le Fils. Désolé ici je n’ai pas de réponse full théologique ou profonde. Je continue moi-même à découvrir qu’est-ce que ca veux dire. Si vous avez la réponse s’il vous plait dite la moi. Si non commençons au moins par comprendre que le Fils révèle le Père.


Martin Labonté

vendredi 4 avril 2014

L'autruche

« L'autruche abandonne ses œufs à la terre, et les fait chauffer sur la poussière; elle oublie que le pied peut les écraser, qu'une bête des champs peut les fouler. Elle est dure envers ses petits comme s'ils n'étaient point à elle; elle ne s'inquiète pas de l'inutilité de son enfantement. Car Dieu lui a refusé la sagesse, Il ne lui a pas donné l'intelligence en partage. » (Job 39:17-20)


L'autruche est sans contredit l'un des animaux les plus stupides de la planète. Elle ne réfléchit pas au fait que n'importe qui peut facilement écraser ou dévorer Ses œufs, du fait qu'elle ne les couvent même pas comme ferait n'importe quel autre oiseau !


Aussi, l'expression « se mettre la tête dans le sable » vient de l'acte effectué par l'autruche. En effet, lorsqu'elle ressent un danger quelconque, elle se met la tête dans le sable, pensant que, parce qu'elle ne voit plus rien – sa tête étant enfoui dans le sable –, tout son corps est donc caché des prédateurs et protégé du danger ! Quelle stupidité !


Or, Dieu nous donne la raison de son manque d'intelligence évident, c'est que « Dieu lui a refusé la sagesse, Il ne lui a pas donné l'intelligence en partage » au moment où Il a décidé dans Sa souveraineté de créer cet animal. Pourquoi Dieu lui a-t-il donné un tel handicap ? Tout simplement parce qu'Il est souverain et qu'Il fait ce qu'Il veut, comme Il le veut.


Dans ma propre vie, j'ai certains handicaps qui m'ont déjà dans le passé frustré à plusieurs reprises. Par exemple, le sommeil. Pourquoi Dieu m'a formé un corps qui a besoin d'autant de sommeil comparativement aux autre humains normaux ? Pourquoi ai-je besoin de 10h par jour de sommeil, lorsque je vois tout plein de gens qui sont capable de très bien fonctionné avec 8h, 6h, ou même 5h de sommeil dans le corps ? Pourquoi Dieu me donne-t-Il cet handicap (comptez-le : en 365 jours, combien d'heures que j'ai de moins que les autres pour faire tout ce que j'ai à faire !) ? La raison est simple, Dieu est souverain et Il fait ce qu'Il veut. Je dois simplement m'y soumettre avec joie.


Un autre exemple, pourquoi m'a-t-il doté dès ma naissance d'un trouble de déficit de l'attention aiguë (pour ceux qui ne savent pas c'est quoi, ça l'engendre plus de problème que vous pouvez l'imaginez) ? Pourquoi Dieu me donne un handicap comme celui-là ? Tout simplement parce qu'Il est souverain et que, dans Son décret de toute éternité, Il a choisi de me former dans le sein de ma mère avec ce problème neurologique. Je dois l'accepter avec joie, car c'est Son plan de m'utiliser dans Son oeuvre avec un tel handicap.


Plusieurs autres exemples pourraient être nommés en ce qui concerne des handicaps que j'ai dans ma vie.


Ce n'est pas grand chose, vous me direz, mais je suis persuadé que vous qui me lisez, vous avez vous aussi des handicaps qui vous irritent quelquefois.


Mais Dieu est merveilleux. Si, dans Sa souveraineté, Il donne des handicaps, Il dote aussi de dons naturels qui donne à une personne de plus grandes capacités que d'autres.


L'autruche, par exemple, après que Dieu ait parlé de Son inintelligence dans les versets 17 à 20, Il poursuit en disant : « [mais] quand elle se lève et prend sa course, elle se rit du cheval et de son cavalier » (Job 39:21).


Selon Wikipédia, en effet, l'autruche est le 5e animal qui cours le plus vite du monde (les quatre premier sont le guépard, la gazelle, le chevreuil et le cerf).


L'autruche cours en moyenne une vitesse de 75 km/h, et peut atteindre jusqu'à un maximum 100 km/h !


De son côté, le cheval de course (donc les chevaux les plus rapide du monde) ne cours en moyenne que 64 km/h, et ne peut atteindre qu'un maximum de 88 km/h.


Dieu a doté l'autruche d'un handicap en ce qu'elle est absolument stupide, mais Il l'a aussi doté d'une très grande capacité, à savoir sa vitesse fulgurante qui surpasse celle du cheval !


Ainsi en est-il de nous, chers frères et sœurs. Nous avons tous des forces et des faiblesses que Dieu nous a données dans Sa souveraineté. Nous pouvons donc Le louer pour nos faiblesses ainsi que pour nos forces, étant donné qu'autant le premier que le second est une grâce de Sa part !


Merci Seigneur pour mes handicaps, et merci Seigneur pour les capacités que Tu me donnes !


Sois béni en toutes choses ! Amen !



Joël Labrecque

jeudi 3 avril 2014

Le Miroir - Partie 3

« Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre, celui-là sera heureux dans son activité. » (Jaques 1:25)

Après avoir défini la mauvaise réponse à l'importance de la Parole de Dieu, Jacques continue avec la réponse qui devrait tous nous caractériser en tant que croyant. Il y a principalement trois choses que Jacques met de l'avant : L'exposition aux Écritures, la persévérance, ainsi que la pratique.

Comme nous l'avons vus précédemment, les deux auditeurs s'exposent aux Écritures. Toutefois, il y a une nuance importante dans l'exposition du croyant, il plonge les regards, littéralement, il approche son visage pour mieux voir. Il n'est pas passif dans son exposition mais actif. Dès le début, il démontre un intérêt qui ne caractérise pas l'auditeur oublieux. Notre attitude face aux Écritures commence dès notre exposition. Ne soyons pas surpris de ne pas persévérer lorsque nous ne sommes même pas prêt à fournir les efforts nécessaires, à plonger, dès le début!

Se mettant à l'oeuvre, pour faire quoi? Pour apporter les changements nécessaires aux défauts que le miroir a révélé! L'auditeur oublieux a commencé avec une attitude désinvolte face à la Parole, ce n'est pas surprenant qu'il continue dans cette voie. Le croyant, par contre, réalise l'importance de la Parole, ce qui le rend prêt à obéir à celle-ci. Cette obéissance n'est point sans bénéfice, elle amène la joie. Malgré ce que le monde tente de nous faire croire par tous les moyens, la réel joie se trouve dans l'obéissance à Dieu.

Samuel Deroy

mercredi 2 avril 2014

Un passage obligé !

« Toutes les grottes bien sombres dans lesquelles nous plongent les épreuves sont en réalité des tunnels qui débouchent sur des champs de joie. Du moins, pour ceux qui ne s’asseyent pas dans le noir en éteignant la chandelle de la foi » (John Piper)

Dans l’épreuve et par les épreuves, Christ nous forme à l’image de Son Fils; Il nous transforme de gloire en gloire; Il achève l’œuvre qu’Il a commencée en nous quoiqu'il arrive… Jamais, Il ne se lasse ! Non seulement, Son œuvre, mais aussi le processus qu’Il utilise pour accomplir Son œuvre est parfait, sans aucune faille… Jamais, l’Éternel n’exagère… Jamais, Il ne va trop loin… On doit sans cesse se rappeler. Dans les faits, on ne doute pas que Dieu achèvera Son œuvre; ce qui nous contrarie certaines fois, c’est le processus qu’Il utilise pour l’achever… Ce processus est épuisant… Il dure longtemps… Il nous semble interminable… Mais, ce processus est indispensable, il se veut un passage obligé afin de transformer notre caractère à l’image de Christ… 
« Mes frères, quand vous passez par toutes sortes d’épreuves, considérez-vous comme heureux »                                                                                                                                                         (Jacques 1.2)

Jacques déclare que nous devrions considérer « comme un sujet de joie complète » les difficultés auxquelles nous sommes confrontés. Il ne s’agit pas ici d’une forme pervertie de masochisme chrétien, mais d’une réaction tout à fait appropriée. À l’instant même où nous réalisons les objectifs de Dieu pour nos vies, on est en mesure de réagir avec joie devant les difficultés. Si toutefois, nous avons pour objectif suprême le confort et le bonheur terrestre, cette exhortation est tout à fait incompréhensible. En revanche, si notre but est d’être transformé à l’image de Christ, les paroles de Jacques prennent tout leur sens. Lorsqu’on voit le résultat final, on accepte assurément mieux le processus…

Il existe plusieurs attitudes possibles à adopter devant les difficultés… On peut se rebeller contre elles. On peut perdre courage ou renoncer sous leur poids. On peut questionner leur validité et même se demander si le Seigneur prend soin de nous. On peut aussi murmurer et se plaindre au milieu d’elles. On peut s’apitoyer sur nous-mêmes, ne penser qu’à nous et essayer d’obtenir de la compassion des autres. Mais, on peut aussi les accepter avec joie et se laisser former, transformer par elles. C’est ce que Jacques recommande est clair; ne vous rebellez pas ! Ne vous découragez pas ! Ne vous détournez pas, ne murmurez pas, mais réjouissez-vous d’une joie suprême et considérez ces difficultés comme des opportunités d’être changé toujours plus à l'image du Seigneur Jésus.

Merci Seigneur pour tous ces passages obligés !

Par Lui et pour Lui !
Benoit

mardi 1 avril 2014

Le Miroir - Partie 2

« et qui, après s’être regardé, s’en va, et oublie aussitôt comment il était. » (Jaques 1:24)

Jacques continue dans les effets du faux raisonnement que l'on se donne pour se tromper soi-même. Ce raisonnement équivaut à se regarder dans un miroir, c'est déjà une bonne chose! Mais c'est dans la suite que ça se corse... puis à s'en aller en oubliant aussitôt tout ce que l'on vient de voir! Quel bénéfice cela nous a-t-il donné de se regarder dans le miroir? Aucun! Ce fût une perte lamentable de temps! Il y a deux raisons pour lesquelles l'on se regarde dans un miroir, voici la deuxième :

Pour être en mesure de changer notre apparence. Si, durant notre contemplation de soi dans le miroir, nous voyons une grosse tâche de moutarde dans notre front. Qu'allons-nous faire? L'oublier? Paniquer? S'évanouir? La nettoyer? Lui ajouter du Ketchup? Les probabilités sont, si notre âge est supérieure à 5 ans, que nous allons la nettoyer. Dans le cas contraire, on risque de l'oublier...

Le fait est que lorsque l'on se place devant le miroir de la Parole, nous apprenons ce à quoi nous ressemblons vraiment. Nous pouvons faire comme les enfants de moins de 5 ans et se détourner en riant ou nous pouvons agir en individu mature et prendre les actions qui s'imposent. Quelle est notre plage d'âge dans le domaine spirituel? Nous ne devrions pas être dans les 5 ans et moins...

Samuel Deroy