vendredi 28 février 2014

un cœur qui reste froid...

« Ils [dix des fils de Jacob] remontèrent de l'Égypte, et ils arrivèrent dans le pays de Canaan, auprès de Jacob, leur père. Ils lui dirent : "Joseph vit encore, et même c'est lui qui gouverne tout le pays d'Égypte." Mais le cœur de Jacob resta froid, parce qu'il ne les croyait pas. » (Gn. 45:25-26)

Voilà une belle représentation de ce qui se passe lorsque que notre cœur demeure incrédule : le cœur reste froid. Le cœur de Jacob, ne croyant pas les paroles de ses dix fils qui, revenant de l'Égypte, lui disaient que son fils Joseph était encore en vie, resta froid, c'est-à-dire qu'il n'a eu aucune réaction ni émotive ni volitive devant la parole de ses fils. N'est-ce pas ce qui se produit aussi lorsque nous sommes incrédules envers la parole de Dieu ? Un cœur inerte face aux Écritures, c'est un cœur qui ne croit pas. 

Je ne sais pas pour vous, mais ça m'arrive assez fréquemment -- à ma honte ! -- que mon cœur demeure sans réaction devant la très sainte parole de mon Roi qui désire régner sur mon cœur qui, trop souvent, est esclave de mon idole de Passivité à la place d'être esclave de manière active face aux commandements, ordres et principes de mon Dieu.

Frères et sœurs, à la place d'avoir des cœurs qui restent froid devant les Écritures lors de nos cultes personnels ou encore lors d'une prédication ou encore lors d'une exhortation biblique d'un frère ou d'une sœur, ayons des cœurs qui brûlent à l'idée d'obéir par la foi aux paroles de notre Seigneur ! Je vous encourage à sonder vos cœur la prochaine fois que vous serez en contact avec Sa parole, pour voir s'il reste froid ou, si au contraire, votre cœur s'active par la foi en entendant ce que le Seigneur vous dit.

jeudi 27 février 2014

L'Écosystème Spirituel

« Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché; et le péché, étant consommé, produit la mort. » (Jaques 1:15)

Dans un écosystème terrestre nous avons divers espèces d'animaux, d'insectes qui cohabitent ensemble dans le même environnement. La particularité de chacun étant qu'ils se reproduisent tous selon leur espèce. Un poisson n'enfante que des poissons, pas des libellules. Un renard n'enfante pas des poissons, il enfante des renardeaux. Chaque espèce n'enfante qu'un seul type de progéniture.

Dans l'écosystème spirituel Jacques nous décrit que la convoitise enfante le péché et que par la suite, le péché lui-même enfante la mort. Comme le renard ne peux qu'enfanter des renardeaux, la convoitise, lorsqu'elle conçoit, ne peut qu'enfanter le péché. C'est la loi de la procréation. Comme il est impossible qu'un renard enfante une truite, il est impossible que la convoitise enfante l'obéissance. De même, le péché enfante la mort et rien que la mort.

Jacques veut absolument nous faire comprendre à quel point notre convoitise est responsable de notre chute dans le péché. Si nous ne combattons pas notre convoitise, si nous la laissons concevoir, elle enfantera inévitablement le péché. C'est tout ce qu'elle est capable d'enfanter.

Nous devons effectuer un travail d'exterminateur dans notre vie. Essayer d'exterminer le péché reviens à essayer d'exterminer les fourmis qui rentrent dans la maison. Peu importe combien nous en éliminons, il en rentrera toujours. Pour les exterminer, il faut supprimer la source, le nid des fourmis. Dans notre vie, nous devons aller au nid du péché, la convoitise. C'est elle que nous devons supprimer.

Samuel Deroy 

mercredi 26 février 2014

Nos fameuses portes de sortie !

Par portes de sortie, je fais référence à toutes ces précautions inutiles que nous prenons lorsque nous cherchons la volonté de Dieu pour nos vies... Nous aspirons sincèrement à nous soumettre à Sa direction,  à suivre Son plan joyeusement, mais, dans les faits, nous prévoyons la plupart du temps, voire très souvent des saufs-conduits au cas où... Au cas où Sa volonté ne serait pas la nôtre, au cas où l'Éternel demeurerait silencieux...

Pourtant, une réelle confiance en Dieu ne devrait pas inclure de sauf-conduit, de sortie de secours, d'alternative au cas où... Si notre confiance en l'Éternel se veut entière, nous serons convaincus quelque soit la situation... quelque soit la réponse... Nous aurons une confiance absolue, imperturbable, et ce même si les circonstances seront incompréhensibles... 
« Abraham était vieux, avancé en âge ; et l’Éternel avait béni Abraham en toute chose. Abraham dit à son serviteur, le plus ancien de sa maison, l’intendant de tous ses biens : Mets, je te prie, ta main sous ma cuisse ; et je te ferai jurer par l’Éternel, le Dieu du ciel et le Dieu de la terre, de ne pas prendre pour mon fils une femme parmi les filles des Cananéens au milieu desquels j’habite, mais d’aller dans mon pays et dans ma patrie prendre une femme pour mon fils Isaac. Le serviteur lui répondit : Peut-être la femme ne voudra-t-elle pas me suivre dans ce pays-ci ; devrai-je mener ton fils dans le pays d’où tu es sorti ? Abraham lui dit : Garde-toi d’y mener mon fils ! L’Éternel, le Dieu du ciel, qui m’a fait sortir de la maison de mon père et de ma patrie, qui m’a parlé et qui m’a juré, en disant : Je donnerai ce pays à ta postérité, lui-même enverra son ange devant toi ; et c’est de là que tu prendras une femme pour mon fils. Si la femme ne veut pas te suivre, tu seras dégagé de ce serment que je te fais faire. Seulement, tu n’y mèneras pas mon fils » (Genèse 24.1-8).
Dans ce récit, nous observons un homme pour qui les portes de sortie n'ont point leur place... Il n'y a pas de au cas où; il n'y a pas de sorties de secours; de plan B... Les directives sont claires; « si la femme ne veut pas te suivre », le serment du serviteur ne tient plus... Pensons-y un instant; n'aurions-nous pas prévu l'imprévu, le au cas où ? Dans notre quête de la volonté de Dieu, résistons aux portes de sortie !

Par Lui et pour Lui,
Benoit

mardi 25 février 2014

Le Syndrome Adam-Ève

« Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. » (Jaques 1:14)

Dans notre esprit le sujet de la tentation est intimement lié au sujet du tentateur. Nous nous disons que sans tentateur, il n'y a point de tentation. Pourtant Jacques ne semble pas faire ce lien. Il passe directement du fait que Dieu n'est pas l'auteur de la tentation au fait que la tentation trouve sa source dans la convoitise, dans notre propre convoitise. Où est passé le tentateur? En le faisait disparaître de l'équation, Jacques nous pousse à réfléchir d'avantage.

Est-ce nécessaire qu'il y ait un tentateur pour avoir une tentation? Selon Jacques, non. Notre convoitise suffit.

Faisons un exercice. Prenons un objet, n'importe lequel, ça peut être une chaise, un livre, une table, etc. Une fois que nous avons l'objet en main ou en face de nous, tentons avec le plus de conviction possible cet objet à commettre un meurtre ou à mentir ou à faire ce que nous voulons d'autre. Un petit conseil, assurez-vous d'être seul dans la pièce pour pas vous ramasser dans un asile de fous... Bon, peut-être que nous n'avons pas besoin d'aller aussi loin. L'objet ne commettra jamais ce que nous le tentons de faire. (Si oui, il serait peut-être temps de consulter pour hallucinations...) Peut importe à quel niveau se situe vos talent de tentation, il n'y a aucun risque l'objet face quoi que ce soit. La tentation ne dépend pas des talents du tentateur.

Nous ne sommes pas des objets. Nous réagissons. Nous avons une volonté propre. Nous convoitons. Et c'est là notre problème. Nous pouvons tenter de blâmer les autres ou le tentateur...mais au final, comme Adam et Ève dans le jardin, nous n'échapperons pas au jugement. Nous devons mettre en pratique l'exhortation de Paul aux galates : « Marchez selon l’Esprit, et vous n’accomplirez pas les désirs de la chair. » (Galates 5:16)


Samuel Deroy

lundi 24 février 2014

DIEU SOIT LOUÉ!

J’ai demandé au Seigneur dernièrement pour une doxologie. Je ne voulais pas juste instruire, mais tout simplement loué Dieu. Voici ce qu’il ma donné dans le psaume 35 verset 10 :

Tous mes os diront: …

Ceci me fait tellement penser à notre privilège. Tout notre vie est une adoration à Dieu. Tout en nous et dans nos vies peuvent être une source ou méthode de louer notre Père Céleste. Donc voici :

Merci Père pour les bons jours où est-ce que tout va bien et même au-delà de mes attentes!

Merci aussi pour les mauvais jours où tu me teste et me supporte dans la difficulté!


Je te loue lorsque tu semble réponde à tout mes prière et même au-delà de se que je pense ou de désir!

Je te loue lorsque tu refuse de me donner se que je veux parce que tu sais que c’est mauvais pour moi!


Je suis reconnaissant parce que je n’ai pas besoin de rituel ou sacrifices pour t’adorer, mais juste un cœur contrit!

Je suis aussi reconnaissant quand je semble être charnel et loin de Toi, parce que Tu ne me quitte jamais!


Ultimement je suis bouche bée parce que j’ai été transporté dans un monde t’intimité avec Celui qui est transcendant!

L’éternité n’est pas assez de temps pour pouvoir baigner dans ta personne!


Tout ce qui est en moi : esprit, âme, corps et surtout mes os te loue Éternel!

martin labonté



vendredi 21 février 2014

Rire ou craindre ? telle est la question

Après avoir entendu la promesse de Dieu d'avoir une postérité par l'entremise de Sara, « Abraham tomba sur sa face; il rit (hb -- tsachaq), et dit en son cœur : Naîtrait-il un fils à un homme de cent ans ? et Sara, âgée de quatre-vingt-dix ans, enfanterait-elle ? » (Ge. 17:17)

Après avoir entendu la promesse de l'Éternel que Sara aurait un fils, Sara « rit (hb -- tsachaq) en elle-même, en disant : "Maintenant que je suis vieille, aurais-je encore des désirs ? Mon seigneur aussi est vieux." L'Éternel dit à Abraham : Pourquoi donc Sara a-t-elle ri (hb -- tsachaq), en disant : "Est-ce que vraiment j'aurais un enfant, moi qui suis vieille ?" » (Ge. 18:12-13)

Après avoir entendu Lot qui, rapportant à ses gendres la parole de l'Éternel, à savoir que Celui-ci détruirait la ville Sodome et que ceux-ci devaient fuir s'ils voulaient échapper au jugement de Dieu, les gendres de Lot réagir comme suit : « Mais, aux yeux de ses gendres, il parut plaisanter (hb -- tsachaq) » (Ge. 19:14d)

Devant la parole de Dieu, il y a deux choix qui se proposent à nous. Soit nous rions, inconsciemment ou non, devant Ses Écritures, soit nous Le craignons dans ce qu'Il nous dit. En d'autres mots, soit nous considérons Dieu « comme paraissant plaisanter » dans ce qu'Il nous dit, soit nous Le prenons au sérieux avec crainte et tremblement. L'un amène la ruine spirituelle, comme ce le fut (mais dans l'aspect physique) pour les gendres qui sont demeurés en Sodome, alors que l'autre amène la bénédiction spirituelle quant aux promesses de Dieu.

Prendre à la légère Sa parole, c'est le contraire de craindre l'Éternel. Si vous vous dites : « Moi je ne prends pas jamais à la légère la parole de Dieu », alors posez-vous la question suivante : « Est-ce que j'obéis toujours lorsque Dieu me parle par Sa parole ? ». La mesure de notre obéissance face à Sa parole révélera à la fois notre mesure de légèreté et notre mesure de crainte face à celle-ci. Plus l'obéissance est présente, plus la crainte y est aussi; moins l'obéissance y est, plus alors il y a présence de légèreté dans notre cœur.    

jeudi 20 février 2014

Épreuves et Tentations

« Que personne, lorsqu’il est tenté, ne dise: C’est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne. » (Jaques 1:13)

Alors qu'en français nous avons les mots « tentation » et « épreuve » cela n'est pas le cas dans la langue d'écriture de Jacques. Jacques désire donc mettre au clair le rôle de Dieu. Il serait facile pour le lecteur de tirer des conclusions inadéquates sur la personne de Dieu sur la base d'une méprise du sujet duquel parle Jacques.

Quel est donc le rôle de Dieu face à l'épreuve et à la tentation?

Quoi de mieux que l'exemple du jardin d'Éden pour faire la distinction entre la tentation et l'épreuve! C'est Dieu qui a créé l'arbre du bien et du mal, c'est Lui qui le plaça dans le jardin, c'est Lui qui créa l'homme et la femme et les plaça dans le jardin, c'est Lui qui donna comme commandement à l'homme et à la femme de ne point en manger du fruit. Nous avons ici l'épreuve de l'obéissance d'Adam. C'est un test. Mais ce n'est pas Dieu qui a été voir l'homme et la femme pour les inciter à aller à l'encontre du commandement, c'est le serpent qui a tenté Ève. C'est le serpent qui a incité Ève à la désobéissance. La tentation ne venait pas de Dieu, l'épreuve oui.

L'épreuve à en vue l'établissement dans l'obéissance,
La tentation à en vue l'établissement dans la désobéissance.

C'est cela la distinction entre les deux. Dieu désire notre obéissance depuis le commencement. Il nous appel incessamment à l'obéissance dans Sa Parole Sainte. Allons-nous comme Ève trouver dans l'épreuve l'occasion pour succomber à la tentation ou allons-nous y trouver l'occasion d'obéir à Dieu? Le choix est entre nos mains.

Samuel Deroy

mercredi 19 février 2014

L'ingratitude, un sol fertile pour une multitude de péché !

 
Sommes-nous reconnaissants ? 
« Jésus, se rendant à Jérusalem, passait entre la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Se tenant à distance, ils élevèrent la voix, et dirent : Jésus, maître, aie pitié de nous ! Dès qu’il les eut vus, il leur dit : Allez vous montrer aux sacrificateurs. Et, pendant qu’ils y allaient, il arriva qu’ils furent guéris. L’un d’eux, se voyant guéri, revint sur ses pas, glorifiant Dieu à haute voix. Il tomba sur sa face aux pieds de Jésus, et lui rendit grâces. C’était un Samaritain. Jésus, prenant la parole, dit: Les dix n’ont-ils pas été guéris ? Et les neuf autres, où sont-ils » ? (Luc 17.11-17)

    • L'un d'entre-eux attendit pour voir si la guérison était réelle ! 
    • Un autre attendit pour voir si elle resterait !
    • Un autre se dit qu’il remercierait Jésus un plus tard !
    • Un autre affirma qu’il n’avait en réalité jamais eu la lèpre !
    • Un autre se dit que de toute façon, il aurait guérit tôt ou tard !
    • Un autre donna la gloire aux sacrificateurs plutôt qu’à Christ !
    • Un autre se dit qu’en fait, Jésus n’avait rien fait pour le guérir !
    • Un autre se dit que n’importe quel rabbi aurait pu le guérir !
    • Un autre se dit que son état s’améliorait déjà depuis quelques semaines !
Quelles raisons inventons-nous pour dissimuler notre ingratitude ? 

Par Lui et pour Lui, 
Benoit


 

mardi 18 février 2014

Le marathon de la foi

« Heureux l’homme qui supporte patiemment la tentation; car, après avoir été éprouvé, il recevra la couronne de vie, que le Seigneur a promise à ceux qui l’aiment. » (Jaques 1:12)

Jacques clarifie la pratique de la foi. Ici, au verset 12, se termine le premier bloc de l'épître, celui traitant des épreuves. Jacques termine ce bloc en définissant le fondement de la persévérance dans les épreuves.

Le fondement est simple. L'amour de Christ nous pousse à supporter patiemment l'épreuve. Pourtant combien avons-nous besoins de se le faire répéter! Dans notre conception humaine de la foi, nous imaginons que nous pouvons aimer Christ sans pour autant avoir à persévérer dans les épreuves. Jacques nous rappelle à l'ordre. Le manque ou l'absence de persévérance démontre clairement le manque ou l'absence d'amour pour Christ. Il n'y a pas d'ambiguïté.

Alors que dans les jeux olympiques il n'y a qu'une personne qui gagne la course et remporte l'or, dans le marathon de la foi, tous ceux qui terminent remporte la couronne de vie. Seul ceux qui aiment Christ, qui persévèrent dans les épreuves, pourront dire avec Paul : « j’ai achevé la course, j’ai gardé la foi. »

Samuel Deroy

lundi 17 février 2014

EST-CE QUE DIEU NOUS VEUX HEUREUX?

Je lisais ce matin dans les psaumes et encore une fois David parle d’être délivré de ses souffrances et adversaires. Combien de fois dans l’ancien testament qu’on lit à-propos de l’Éternel qui bénit quelqu’un et en retour cette personne le loue?

Je me suis souvent pausé la question : pourquoi est-ce qu’on s’attend plus a ce que Dieu va nous bénir selon nos désirs et qu’on va le louanger? Est-ce à cause de l’évangile de la prospérité? Pourtant Paul lui-même parle d’un Dieu qui veut nous bénir. Dans Colossiens 3 :17 ca dit :

Et quoi que vous fassiez, en parole ou en œuvre, faites tout au nom du Seigneur Jésus, en rendant par lui des actions de grâces à Dieu le Père.

L’œuvre en question est une action qui vient d’un désir ou une intention. Paul ne dit pas éliminé de votre cœur tous vos vouloirs. Il nous invite beaucoup plus à les tourner vers Dieu et Lui demandé si c’est sa volonté. Dans 1 Timothée chapitre 4 on retrouve encore la même idée :

Car tout ce que Dieu a créé est bon, et rien ne doit être rejeté, pourvu qu'on le prenne avec actions de grâces, parce que tout est sanctifié par la parole de Dieu et par la prière.

Il faut savoir mettre a mort les mauvais désirs, passions ou inclinaisons du cœur charnel, mais il faut savoir faire la part des choses. Je suis un fan des puritains et même j’ai des fortes inclinaisons vers le mode de vie monastique, mais je sais qu’on peut être débalancé. Je me trouve trop souvent, après beaucoup de dure combat avec de grande effort pour garder le monde au loin et Dieu très proche, avec un cœur froid et un fardeau sur les épaules. C’est comme si j’ai oublié de me réjouir en Dieu.

Qu’est-ce qu’on fait dans ces temps là? On se permet un petit quelque chose. Un petit nanan, comme on dit. Quand ont aurait dû apporter notre désir de faire cette activité, ou se permette ce fun, devant le Saint Trône.

Je crois qu’on doit aussi faire attention a cette tendance de dire faut juste s’assurer de le faire avec amour pour Dieu. Moi je ne suis pas capable de contrôler mon cœur comme ca, peut-être que vous l’êtes. À la place suivons l’exemple de David en se régalant des petits plaisir que Dieu met dans notre vie et s’attendant à un Père qui veut nous rendre heureux.


Merci Seigneur tu as enlevé un gros fardeau! 

vendredi 14 février 2014

Rapporteur d'ours morts

« Cham, père de Canaan, vit la nudité de son père [= Noé], et il le rapporta dehors à ses deux frères » (Gen. 9:22)

Comme il est plus facile de rapporter de mauvaises choses à propos d'une personne à la place d'en rapporter des bonnes ! Malheureusement, comme un frère l'a déjà dit, nous sommes plus enclin à rapporter aux autres l'ours mort que nous avons vu dans un champ à la place de rapporter les belles fleurs et la beauté du paysage que nous avons contemplé pendant des heures ! Que faire lorsque nous apprenons quelque chose qui pourrait compromettre la réputation d'une personne si nous le révélons à d'autres ? En bon québécois, « on doit s'la fermer ». Dieu nous donne ce commandement : « Honorez tout le monde » (1 Pie. 2:17a). Honorons-nous une personne lorsque nous médisons à son sujet ? Pire encore, honorons-nous le Seigneur lorsque nous déshonorons Ses propres enfants et frères ? S'il y a une chose que nous devons nous empresser de rapporter aux autres, c'est ce qu'il y a de positif dans la personne, soit le beau paysage que nous avons contemplé en elle. Évidemment, en de rares occasions, nous sommes dans l'obligation de révéler des aspects négatifs aux autres, à savoir les ours morts de l'individu. Seulement, ces rares occasions ne devraient avoir pour seul but d'édifier et de glorifier le Seigneur. Posons-nous la question. M'arrive-t-il souvent de révéler des ours morts ? Lorsque je le fais, est-ce uniquement dans le but de vraiment glorifier Jésus-Christ et d'édifier Son église ? Ou bien est-ce plutôt de la médisance gratuite qui, par hypocrisie, est souvent cachée sous le couvert de cette fameuse phrase : « ce n'est pas pour parler dans son dos que je veux te raconter ça, mais... » ?

jeudi 13 février 2014

Parure Éphémère

« Le soleil s’est levé avec sa chaleur ardente, il a desséché l’herbe, sa fleur est tombée, et la beauté de son aspect a disparu: ainsi le riche se flétrira dans ses entreprises. » (Jaques 1:11)

J'aime bien cet exemple que Jacques utilise. Elle est simple et universelle. Pourtant profonde.

Nous apprécions les fleurs pour leur beauté. Nous les cultivons et embellissons nos terrains avec elles. Pour les conserver belles, nous avons à nous battre contre la chaleur ardente du soleil. Nous devons les arroser pour les conserver en vies. Mais malgré nos tendres soins, elles ne survivent pas bien souvent à un seul été. Leur beauté est temporaire. Éphémère. Lorsqu'elle meurent, leur beauté fane. Faiblit. Disparaît.

La beauté des fleurs garantie l'appréciation que l'on en fait. Mais cette beauté ne peu rien pour les sauver de la mort certaine au bout du chemin. Peu importe combien belle une fleur a été dans sa vie, elle mourra. La beauté de la fleur ne peut rien pour elle.

C'est avec cela en tête que Jacques fait le lien avec les richesses qui, comme la beauté, ne peuvent rien pour celui qui la possède. Comme la beauté de la fleur ne garantie par leur vie. La richesse du riche ne garantie pas non plus sa vie. La fin du riche c'est la mort. Un jour, le soleil le desséchera et sa richesse ne pourra rien pour lui. Ses entreprises non plus. Peu importe combien de succès il a acquis dans cette vie, cela ne le sauvera pas de la mort.

Par cet exemple, Jacques veut amener les yeux du riche, mais également les yeux de tous, à contempler ce qui a de la vraie valeur en vertu de l'éternité. Nous sommes ici pour un temps. Nous sommes ici temporairement. Et nous n'emportons rien de ce que nous avons avec nous. Rien de ce que nous avons ici ne peut nous garantir la vie. Seul Christ, qui n'est pas de ce monde, peut nous garantir la vie hors de ce monde.

La réelle richesse c'est Christ.

Samuel Deroy

mercredi 12 février 2014

Prisonniers de sentiments chimériques !


« À celui qui est ferme dans ses sentiments Tu assures la paix, la paix,  
Parce qu’il se confie en toi » (Ésaïe 26.3)


Quand nos sentiments deviennent plus importants que notre foi, nous devenons par le fait même plus importants que Dieu, Lui-même ! Pourtant, ce que nous ressentons ne devrait jamais surpasser ce que Dieu dit ni ce qu'Il promet ! Hélas, c'est souvent le contraire qui prévaut; dominé par nos émotions, nous devenons rapidement prisonniers de ceux-ci... 

Ce qui est surprenant, c'est que tout au long de l'histoire de l'Église, les émotions ont   pour la plupart du temps été considérées avec une grande méfiance. Ce n'est que dans les derniers siècles que ceux-ci ont pris une place plus prépondérante, voire exagérée... Cela étant dit, ce n'est pas à dire qu'ils n'ont point leur importance, mais qu'ils doivent demeurer assujettis à la Parole immuable de Dieu... 

Si malheureusement nous abaissons Dieu au niveau de nos sentiments, Celui-ci n'aura jamais à nos yeux que l'importance qu'on Lui accordera !

Soyons prisonniers de Sa Parole et de Ses promesses et non de nos sentiments !

Par Lui et pour Lui !
Benoit

mardi 11 février 2014

Richesse Vaine, Salut Précieux

« Que le riche, au contraire, se glorifie de son humiliation; car il passera comme la fleur de l’herbe. » (Jaques 1:10)

Jacques à des paroles qui peuvent sembler dures pour les riches tout au  long de son épître. Mais celles-ci se résument à l'idée du verset 10 : Le riche ne doit pas se confier dans ses richesses. Il doit se confier en Dieu!

Ce n'est pas les richesses qui sont le problème, mais le coeur de celui qui les possèdent...

Le riche ne doit pas se confier dans ses richesses car celles-ci sont éphémères. Elles ne durent pas plus longtemps que dure la beauté d'une fleur. Celui qui se confie dans son argent se retrouvera humilié lorsque celle-ci viendra à lui manquer.

Il y a toutefois du bien dans l'idée d'être humilié face à l'argent. Celui qui perd ce en quoi il s'appuie apprend à mieux apprécier la valeur de la réel richesse qu'il possède, celle d'être fils de Dieu. Même si le riche perd tout ce qu'il possède maintenant, même s'il est humilié à l'extrême, qu'est-ce que cela? Il est riche en Christ!

Quand bien même je posséderais la terre.
Je n'ais rien sans la vie en Christ.
Quand bien même je perdrais la terre.
Je n'ais rien perdu car j'ai la vie en Christ.

Peut importe notre situation actuelle, tel devrait être notre désir et notre prière.

Samuel Deroy

lundi 10 février 2014

OÙ ES-TU SEIGNEUR?

Voici une question qu’on se pause très souvent n’est-ce pas? Pourtant nous savons que l’Éternel nous ne quittera jamais. Peut importe comment ont se sent, Dieu ne s’éloigne jamais de nous. C’est un fait Biblique.

Mais comment expliquer cette sensation d’éloignement qu’on revoit si constamment dans la Bible? Comme ont le lit régulièrement dans les psaumes, surtout ceux de David :

Ps 25 :15-17 Je tourne constamment les yeux vers l'Éternel, Car il fera sortir mes pieds du filet. Regarde-moi et aie pitié de moi, Car je suis abandonné et malheureux. Les angoisses de mon cœur augmentent; Tire-moi de ma détresse.
Ps 27 :7-9 Éternel! Écoute ma voix, je t'invoque: Aie pitié de moi et exauce-moi! Mon cœur dit de ta part: Cherchez ma face! Je cherche ta face, ô Éternel! Ne me cache point ta face, Ne repousse pas avec colère ton serviteur! Tu es mon secours, ne me laisse pas, ne m'abandonne pas, Dieu de mon salut!

Les paroles d’Esaïe dans le verset 17 du chapitre 63, sont encore plus frappante :
Pourquoi, ô Éternel, nous fais-tu errer loin de tes voies, Et endurcis-tu notre cœur contre ta crainte? Reviens, pour l'amour de tes serviteurs, Des tribus de ton héritage!

Avant de crier: Dieu n’est pas l’auteur du péché et il n’endurcit pas les cœurs! Pensons plus a pourquoi Il permet (si vous voulez) qu’on se sente comme ça?

Ma réponse est simple, pour qu’on le cherche. C’est ce qu’on retrouve dans les psaumes de David et la vie de Paul :
2 Corinthiens 1 :8-11 Nous ne voulons pas, en effet, vous laisser ignorer, frères, au sujet de la tribulation qui nous est survenue en Asie, que nous avons été excessivement accablés, au delà de nos forces, de telle sorte que nous désespérions même de conserver la vie. Et nous regardions comme certain notre arrêt de mort, afin de ne pas placer notre confiance en nous-mêmes, mais de la placer en Dieu, qui ressuscite les morts. C'est lui qui nous a délivrés et qui nous délivrera d'une telle mort, lui de qui nous espérons qu'il nous délivrera encore, vous-mêmes aussi nous assistant de vos prières, afin que la grâce obtenue pour nous par plusieurs soit pour plusieurs une occasion de rendre grâces à notre sujet.

Lorsqu’on se sent loin de Lui ont est supposé s’efforcer de le retrouver, comme un petit enfant qui a perdu ses parents dans une place publique. Tout les efforts doivent être fait immédiatement pour retrouver les parents.

On vie tellement bien en Amérique du nord. On travail et peut utiliser le crédit, donc pas besoin du pain quotidien. On travail 5 ou même 6 jours par semaine, donc on c’est ce qu’on doit faire a tout les jours. Il y a des réunions établit, donc ont c’est quand ce réunir.

Tout ça pour dire on n'a pas besoin de l’aide ou la direction du Seigneur, sauf pour les grandes décisions. Comme qui marier ou quel étude faire. On vient à Lui quand ça va pas, donc Il doit nous provoquer a le chercher par ce sentiment d’éloignement.

Considéré cette sensation comme un système d’alarme et réagissez. Mettez-vous à le chercher sérieusement, comme David et Paul. Votre vie en dépend.

Gloire à Dieu!




vendredi 7 février 2014

il raconta en détail...

« Après les avoir salués, il raconta en détail ce que Dieu avait fait au milieu des païens par son ministère. » (Act. 21:19)

Je suis un expert dans l'art de raconter des événements avec le moins de détail possible. Il m'arrive souvent aussi de négliger un aspect très important : Dieu désire que je le loue en racontant ce qu'Il a fait et ce qu'Il fait présentement dans ma vie, comme dans celle des autres. Par crainte de m'enorgueillir, je néglige souvent le fait de témoigner de Ses œuvres qu'Il a opéré au travers de moi. Mais cela est un non sens. En effet, si je disais : « regardez ! j'ai fait ceci et j'ai fait cela ! », là j'aurais raison de craindre de me glorifier. Si, au contraire, je disais : « regardez ! Dieu a fait ceci et Dieu a fait cela ! », là j'aurais plutôt raison de me glorifier en Lui; et du même coup, les autres Le glorifierait en entendant les merveilles de Dieu. N'est-ce pas d'ailleurs ce qui s'est produit tout de suite après que Paul ait raconté « en détail ce que Dieu avait fait au milieu des païens par son ministère » ? Effectivement, « quand ils l'eurent entendu, ils glorifièrent Dieu » (Act. 21:20a).

Frères et sœurs, apprenons de jour en jour à glorifier Dieu en témoignant en détail de Ses œuvres qu'Il a opérées dans notre vie, comme dans celles de nos frères et sœurs !

jeudi 6 février 2014

Opulente pauvreté

« Que le frère de condition humble se glorifie de son élévation. » (Jaques 1:9)

Deux choses nous frappes dans ce verset. D'une part, il y a matière à se glorifier pour le frère de condition humble? De l'autre, quel est cette idée de se glorifier? Les Écritures ne parlent-elles pas contre l'orgueil?

Quelle est cette élévation? Au travers du contexte (vv. 9-11) nous pouvons comprendre que c'est l'élévation obtenue en Christ et qui découle du salut. De manière simple, le pauvre est toujours pauvre, de manière terrestre, temporaire. Dans la sphère spirituelle le croyant est en Christ ce qui lui procure une position élevée. Même si sur terre il vit dans un tas de bouse, en Christ il est fils de Dieu (cf. Romains 8:14). Il est loin d'être pauvre spirituellement!

Le croyant pauvre doit se voir tel que Dieu le voit : riche en Christ!

Maintenant, quelle est cette glorification de son état? C'est l'idée de « parler fort, » d'avoir une « langue bruyante. » Et donc... oui... c'est bien proche d'être fier, de se vanter. C'est même dans ce sens que l'utilise Jacques plus loin dans son épître! (cf. 4:16) Sauf que ceux qui se vante dans le second passage le font en relation avec eux-mêmes, pas avec Dieu. Ils se vantent de leur contrôle des situations...contrôle qui n'appartient qu'à Dieu!

Devons-nous donc être fier de notre position en Christ? Certainement! Nous ne sommes pas appelés à avoir honte de notre Père Céleste! Imaginons qu'une personne qu'on connais bien devienne du jour au lendemain le fils adoptif de sa vedette mondiale préférée. Allons-nous en entendre parler?

Samuel Deroy

mercredi 5 février 2014

Jésus, tu es différent !

Jésus, tu es différent !
Tu as défendu la femme adultère… Alors que tous s’éloignaient d’elle.
Tu es entré chez le péager… Alors que tous s’indignaient à son sujet.
Tu as appelé les enfants à Toi… Alors que tous voulaient les renvoyer.
Tu as pardonné à Pierre… Alors qu’il se couvrait de malédiction.
Tu as loué la veuve pour son offrande… Alors que tous l’ignoraient.
Tu as chassé le diable… Alors que tous succombaient à ses artifices.
Tu as promis le Royaume au brigand… Alors que tous souhaitaient le voir en enfer .
Tu as appelé Paul à Te suivre… Alors que tous le craignaient comme persécuteur.
Tu as refusé la gloire et l’honneur… Alors que tous voulaient te faire Roi.
Tu as aimé les pauvres… Alors que tous aspiraient aux richesses.
Tu as guéri les malades… Alors que tous avaient renoncé à le faire.
Tu t’es tu… Alors que tous t’accusaient, se moquaient de Toi et Te fouettaient.
Tu es mort sur la croix… Alors que tous célébraient la pâque.
Tu T’es chargé du péché… Alors que tous se lavaient les mains dans l’innocence.
Tu es ressuscité… Alors que tous croyaient que tout était fini...
Oh ! Seigneur, rends-moi comme Toi !

                                                                                        Anonyme 


mardi 4 février 2014

Schizophrénie Spirituelle

« c’est un homme irrésolu, inconstant dans toutes ses voies. » (Jaques 1:8)

L'homme duquel Jacques parle est irrésolu. Ce mot est abstrait pour nous. Parlant d'un manque de résolution, d'une absence de décision. Toutefois, pour Jacques, et les lecteurs de l'épître en grec, le mot possède une belle image concrète : « deux esprits. »

On peut facilement imaginer la situation de l'individu. Constamment tiré d'un bord comme de l'autre. Incapable de prendre une décision. Chaque fois qu'il pense avoir pris sa décision, une petite voie dans sa tête là remet en doute! Une vraie schizophrénie! Quelle vie exécrable! Comme l'exprime William James, le philosophe pragmatique :

« Il n'y a pas d'homme plus malheureux que celui chez qui l'indécision est une habitude. »

Heureusement Dieu ne nous appelle pas à cette vie! Dieu nous appelle à vivre une vie centrée sur Lui. À être d'un seul esprit. À être rempli de Son Esprit!

Cela à un effet pratique visible. L'homme irrésolu est caractérisé par le fait qu'il est inconstant dans toutes ses voies. À l'inverse, lorsque d'un seul esprit, nous sommes caractérisé par une constance dans toutes nos voies.

Jacques nous ramènes toujours la réalité spirituelle à sa dimension pratique. Impossible d'être indifférent à son pragmatisme. Impossible d'échapper à l'acuité de son diagnostique...

Quel est donc la caractéristique de notre voie? Quel type d'esprit possédons-nous?

Samuel Deroy

lundi 3 février 2014

MAIS QUOI DIRE?

Ça c'est la question que je me suis pausé toute la semaine passé en cherchant un sujet de blog pour aujourd'hui. Après plusieurs heures de prières et réflexions je n'ai rien sauf cette idée: de quoi est-ce qu'on parle ensemble.

Le blog est supposé être une expression de ce que Dieu nous montre et que nous voulons partager avec vous. Mais je me demande si nous avons cette sorte d'attitude lors qu'on se voit?

Je veux dire que c'est facile pour moi de vous partager un texte et une petite dévotion, mais est-ce que je vais ceci lorsque je vois mes frères et sœurs en personne? Ma réponse est tristement non.

Je me trouve plus souvent qu'autrement entrain de parler de pluie et du beau temps ou niaiser. Pourtant la Bible est claire sur ce sujet nos conversations sont supposé être ÉDIFIANTE.

Ça semble être facile pour nous de dire que colossiens 3:16, et d'autre passage comme ça, nous rappel l'importance d'avoir de l'adoration théologique. Ont va rapidement s'attaquer aux mouvements chrétien qui sortent de la musique supposément mondaine. Ont se dit qu'ils ne comprennent pas l'importance d'être biblique dans leur dévotion musical.

Mais est-ce qu'on comprend le besoin de se réunir pour s’améliorer pas s'empirer? Que ce verset nous oblige surtout à avoir des temps ensemble qui instruit et exhorte. Que si j'ai une à trois heures avec des chrétiens (les réunions officiels) et passe ce temps en fessant des farces ou parler de rien, je vais grandir comment? Ont est supposer s'encourager au bien et pas au mal. Notre temps ensemble devrait nous provoquer a mieux vivre avec Christ, pas nous pousser plus vers le monde. Tristement j'avoue que je ne pratique pas ce que je prêche, mais je doit le prêcher quand même.

en conclusion, je sais que certain vont dire: ah, mais faut pas juste être spirituel! ou, faut pas exagéré ont peut parler de tout puis de rien pour apprendre a ce que connaître.

Mais je suis maintenant un être spirituel ou je suis mort et Christ est ma vie. c'est vraiment d'examiner nos cœurs et se demander est-ce que c'est vrai que de l'abondance du cœur le bouche parle? Parce que si oui, il faudrait peut-être faire nettoyer nos cœurs ou qu'ils reçoivent une bonne d’ose de Dieu.

à Dieu seul la gloire!