- Bonjour frère et sœur,
-
- Je viens de lire Matthieu le chapitre 8 et j'ai constaté une pendule d'enseignement sur la Foi que je devais vous partager. Ne vous inquiétez pas je ne vais pas exposer tout le chapitre, mais seulement vous partager quelques idées.
-
- Mon idée principale c'est de voir comment le chapitre ouvre et enchaîne avec des actes de foi extraordinaires et termine avec du doute très charnel.
-
- Le tout commence avec l'histoire du lépreux qui veut être guérit. Il ne fait même pas une requête au Seigneur, mais s'abandonne à sa volonté. Lui disant : Seigneur, si tu le veux, tu peux me rendre pur. Quel soumission, de Lui dire sa dépend de ta volonté. Nous parlons souvent de la soumission du Fils qui accepte la coupe du Père dans le jardin de Gethsémané. Mais considérons aussi celle de ce lépreux, un faible pécheur comme nous. Il avait tellement besoin d'être guérit. Considérant qu'un lépreux était rejeté par la société et qu'il n'attendait qu'à mourir. Pourtant il dit aussi, comme Christ, ta volonté sois fait.
-
- Notre prochaine histoire c'est celle du centenier avec la grande foi. Les mots qui mon plus frappé sont la réponse de Jésus face à sa foi : Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Ces paroles me font peur. Je ne connais pas votre foi, mais je connais la mienne. Si Dieu répondrait à mes prières selon ma foi, je n'aurais presqu'aucune requête répondu. Il y des moments où est-ce que Son Esprit nous convaincre de ne pas prier ou arrêter de demander. Justement trop souvent je persévère dans une prière que j'ai la conviction que je devrais arrêter de prier et faire confiance à Dieu. Pourtant la vraie idée dans le passage c'est que ce païen a mieux compris la puissance du Messie que les juifs. Nous fessons partit des païens qui ont mieux compris la puissance de Christ comparé au reste du monde. Nous demandons toutes choses en Son nom. Non par routine; mais par acte de foi. Les religions du monde parlent de routine, obéissance nécessaire et effort particulier pour recevoir des réponses aux prières. Nous nous confions dans une personne pour Lui demander quoi que se soit. Oui notre foi défaille des fois, mais elle est quand même une foi salvatrice. Une foi comme ça est très puissante.
-
- La troisième histoire nous présente la crainte des disciples. C’est lorsque la tempête les frappe et Jésus dormait. Je ne veux pas parler de leur doute, mais leur réaction finale. Après que le Seigneur calme la tempête ils disent ceci : Quel est celui-ci, disaient-ils, à qui obéissent même les vents et la mer? Ils sont dans l’étonnement de l’avoir vue agir. Nous allons tous avoir ces moments de faiblesse, mais quel va être notre attitude après. Étant encore dans la chair nous allons douter, questionner et tout simplement pécher; c’est une certitude. Mais quel sera notre réaction après que Dieu intervient favorablement dans nos vies? Que notre Papa Céleste agit avec puissance et grâce face à notre incrédulité? Ça devrait être comme ces hommes qui restent bouche bée et remplient de questionnement face à cette œuvre miraculeuse. N’est-ce pas que nous devenons un peu habitué de Son intervention? Un peu blasé de Sa grâce insondable? Ça ne devrait pas être le cas. Après avoir péché par le doute, nous devrions le louer pour Sa puissance.
-
- La dernière histoire c’est la délivrance des deux possédés. La phrase clé ici c’est : Alors toute la ville sortit à la rencontre de Jésus; et, dès qu'ils le virent, ils le supplièrent de quitter leur territoire. Quelle réaction contraire aux disciples de l’autre histoire? Ce n’est pas de l’émerveillement, mais le dérangement. Ils ont eu connaissance de Son œuvre et ils ont voulu qu’Il quitte. Bien sure ici c’est un peu compréhensible. Non seulement c’est épeurant parce qu’il y avait des démons, mais en plus ils ont perdu leur gagne pain. Quand Dieu s’interpose dans nos vies comment est-ce que nous réagissons? Qu’est-ce que nous fessons quand Il répond, mais à Sa façon et pas la nôtre? Nous devrions le louer et chercher à apprécier qu’il a intervenu. Pourtant dès fois nous pouvons être aussi ingrats que ces villageois. C’est comme Lui dire : Je veux que tu changes des choses dans ma vie, mais pas comme ça ou à ce moment là ou des cette façon là. Nous voulons être délivrés du péché, mais d’une façon générale. S’Il commence à s’attaquer à des choses spécifiques, nous aimons moins ça.
-
- Donc voilà mes 4 histoires et mon enseignement pendulaire. Nous partons d’un lépreux qui s’abandonne dans Sa volonté avant qu’Il a agit. Pour ensuite aller vers des gens qui veulent rien savoir de Sa volonté. Aussi, nous partons d’un homme qui va être récompensé selon sa foi. Pour ensuite se tourné vers ceux qui reçoivent la grâce dans leur doute. Je Pourrais terminer le tout en disant laquelle de ses fois ressemble à la vôtre?
-
- Martin Labonté
lundi 30 juin 2014
LES 4 FOI
vendredi 27 juin 2014
Parle-nous
L'histoire derrière le chant : Parle-nous.
L'un des traits distinctifs du christianisme est que nous adorons un Dieu qui a parlé, qui n'est pas muet. Dieu le Père, créant le monde par Sa parole. Dieu le Fils, Christ la Parole Vivante. Dieu le Saint-Esprit, parlant par la Parole Écrite.
L'un des traits distinctifs du christianisme est que nous adorons un Dieu qui a parlé, qui n'est pas muet. Dieu le Père, créant le monde par Sa parole. Dieu le Fils, Christ la Parole Vivante. Dieu le Saint-Esprit, parlant par la Parole Écrite.
Tout au long de
l'histoire humaine, la Parole de Dieu a transformé les dirigeants les plus
fiers et les victimes les plus désespérés, les plus grandes civilisations et
les plus éloignés des villages, de tous les âges à tous les coins du monde. Son
pouvoir est incroyable!
Cependant, et trop
souvent aujourd'hui, la prédication de la parole a été diminué en valeur, de
son importance dans un service à sa passion, mais surtout dans notre propre
attente chaque fois que nous nous asseyons et demandons à Dieu de nous parler.
Dans le livre d'Ésaïe,
les gens effectuaient de nombreux actes au nom de Dieu et le Seigneur leur a
dit: « Voici sur qui je porterai mes regards: Sur celui qui souffre et qui a
l'esprit abattu, Sur celui qui craint ma parole. » (Ésaïe 66:2)
C'est notre prière
que par la puissance de l'Esprit, cet hymne va préparer les gens à écouter humblement
la Bible enseignée et répondre aux énormes conséquences qu'elle a sur leur vie.
Traduction d'un article originalement en anglais tiré du site : https://www.gettymusic.com/hymns-speakolord.aspx
Traduction d'un article originalement en anglais tiré du site : https://www.gettymusic.com/hymns-speakolord.aspx
jeudi 26 juin 2014
Une Foi Digne
« Tu vois que la
foi agissait avec ses œuvres, et que par les œuvres la foi fut rendue parfaite.
» (Jacques 2:22)
On peut à tord
accuser Jacques d'enseigner le salut par les œuvres, au détriment de la grâce
et de la foi. Toutefois, cela ne tient pas la route face au passage dans son
contexte, mais également face au verset 22 qui résume bien la pensée que
Jacques veut transmettre dans sa discussion sur le lien entre les œuvres et la
foi.
D'une part, il
mentionne clairement « que la foi agissait avec ses œuvres » déclarant ainsi
une conjonction entre la foi et les oeuvres, plutôt qu'une causalité comme ses
détracteurs voudraient bien lui faire dire.
D'autre part, il
mentionne que « la foi fut rendue parfaite » par les œuvres. Certains peuvent
y voir un appuie pour dénoncer que Jacques croit dans la foi par les œuvres,
mais cela ne tient pas compte du sens du qualificatif « parfait » qu'il
utilise. Alors que pour nous en français parfait se trouve à être un adjectif
dans ce verset, pour Jacques il est un verbe! Ainsi, « fut rendue parfaite »
est un seul et même mot. Comme dans le chapitre 1, l'idée de perfection est
l'idée d'être complet, d'avoir atteint le but proposé. Donc, ce que Jacques dit
ici, c'est que la foi est présente chez le croyant dans un but, et que ce but
est atteint lorsque la foi est démontrée par les œuvres. La foi est parfaite
lorsqu'elle atteint le but que lui a donné Dieu.
La foi qui nous
vient de Dieu n'est pas pour notre propre bénéfice. Il est vrai que nous en
bénéficions grandement, mais cela n'est pas le but premier. Elle est donné par
Dieu pour Sa propre gloire. Cela peut être cliché, mais veut mieux un cliché
vrai qu'une fausseté originale! Dieu désire Se révéler par la foi qu'Il donne
et qu'Il mène à la perfection par les œuvres qui en sont digne.
Ainsi, n'appelons
« foi » que ce qui en est digne.
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
mardi 24 juin 2014
Juste Ou Justifié?
« Abraham, notre
père, ne fut-il pas justifié par les œuvres, lorsqu’il offrit son fils Isaac
sur l’autel? » (Jacques 2:21)
Jacques n'est
pas ici en contradiction avec lui-même, ni avec Paul d'ailleurs, quant à la
justification d'Abraham. Ce que Jacques déclare, c'est que si Abraham n'aurait
point agit comme il a agit, Abraham n'aurait pas été justifié, parce que la foi
n'aurait pas été présente.
Jacques utilise
le verbe « justifier » non pas dans le sens de rendre juste, mais dans le sens
de déclarer juste! Abraham n'est pas devenu juste suite à la déclaration, il
l'était déjà avant! Pour rendre cela simple, si une personne passe devant le
tribunal parce qu'il est accusé d'une offense au Code Criminel du Canada, une
offense qu'il n'a pas commise, est-il innocent lorsque le juge le déclare ou
l'a-t-il toujours été? Il l'a toujours été! Mais le jugement rendu par le juge
vient affirmer au yeux de tous qu'il est innocent, parce qu'il y avait remise
en doute de cette innocence, par le biais de l'accusation portée contre la
personne.
Donc, parce que
les œuvres d'Abraham étaient des œuvres que seul une personne juste peut
accomplir, Abraham a été justifié par les œuvres. Sa justice a été démontrée
par les œuvres, soit ici par l'offrande d'Isaac sur l'autel.
Encore une fois,
Jacques ne laisse pas de place à un christianisme passif, mais uniquement à une
foi active! En d'autre mots, une foi qui est démontrée par les œuvres. C'est
la seule conclusion à laquelle nous pouvons arriver face à la lecture de la
Parole de Dieu, spécialement ici dans l'épître de Jacques!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
lundi 23 juin 2014
LA NUIT SOMBRE DE L'AME
Mon titre vient directement des
puritains qui parlaient de cette circonstance où est-ce que nous
sentons Dieu loin de nous. Faite attention j'ai bien dit : nous
SENTONS Dieu loin de nous. Il y des moments dans la vie de tout
croyants où est-ce que nous semblons marcher dans les ténèbres.
Des temps quand nous nous sentons sans espérance. Nous semblons
tâtonner dans le noire à chaque pas que nous prenons. Le pire c'est
que ces temps ne sont pas toujours relié au péché. En d'autres
mots, ce n'est pas toujours la conséquence d'une transgression. Il
se peut que Dieu retire Sa lumière, même si nous cherchons à
marcher dans Ses vois.
Lisez bien le prochaine verset :
Esai 50:10 Quiconque
parmi vous craint l'Éternel, Qu'il écoute la voix de son serviteur!
Quiconque marche dans l'obscurité et manque de lumière, Qu'il se
confie dans le nom de l'Éternel, Et qu'il s'appuie sur son Dieu!
Voyez-vous comment il y a de
l'obéissance dans les deux première phrases? Il parle de craindre
l'Éternel et l'écouter; ensuite il parle de marcher dans
l'obscurité. Encore ici nous ne parlons pas de désobéissance, mais
de fidélité.
Permettez-moi de vous expliquer cette
idée par un image. Disons qu'il y un gouffre profond et ténébreux.
La seul façon de le franchir c'est un pond très étroit. Sauf que
des fois nous devons passer par se pond avec plusieurs difficulté.
Comme d'avoir un bandeau sur nos yeux; pour ne pas voir où est-ce
que nous allons. Comme d'avoir nos mains attaché en arrière; pour
nous empêcher de tâtonner devant nous. Comme d'avoir des oiseaux de
proie qui nous tire dessus; pour nous faire tomber dans le gouffre.
Ceci décrit ces moments de grande difficulté sur le chemin de la
foi.
Nous pourrions aussi lire les
lamentations de Jérémie au chapitre 3 les versets 1 à 11 :
- Je suis l'homme qui a vu la misère Sous la verge de sa fureur. Il m'a conduit, mené dans les ténèbres, Et non dans la lumière. Contre moi il tourne et retourne sa main Tout le jour. Il a fait dépérir ma chair et ma peau, Il a brisé mes os. Il a bâti autour de moi, Il m'a environné de poison et de douleur. Il me fait habiter dans les ténèbres, Comme ceux qui sont morts dès longtemps. Il m'a entouré d'un mur, pour que je ne sorte pas; Il m'a donné de pesantes chaînes. J'ai beau crier et implorer du secours, Il ne laisse pas accès à ma prière. Il a fermé mon chemin avec des pierres de taille, Il a détruit mes sentiers. Il a été pour moi un ours en embuscade, Un lion dans un lieu caché. Il a détourné mes voies, il m'a déchiré, Il m'a jeté dans la désolation.
-
- La triste vérité c'est que Jérémie parle du Seigneur comme celui qui le tourmente autant. Soyons pas toujours aussi près de dire Satan nous fait souffrir. Dieu est par dessus Lui entrain de nous éprouver. Ces temps de noirceur sont excessivement souffrant et remplit de découragement. De croire que la vie chrétienne est supposé être remplit de joie sans fin est dangereux et nocif. Nous chantons des cantiques qui disent que depuis je suis devenu chrétien je suis toujours joyeux ou j'ai de la joie ineffable. Mais ce n'est pas toujours vrai.
-
- Pour ceux qui passe des période difficile, des passages comme celui dans Jacques chapitre 1 les versets 2 &3 sont écrasant :
-
- Mes frères, regardez comme un sujet de joie complète les diverses épreuves auxquelles vous pouvez être exposés, sachant que l'épreuve de votre foi produit la patience.
-
- Nous nous imaginons des mauvais chrétien parce que nous ne somme pas heureux dans l'épreuve. Mais comprenez que Jacques nous dit pas nous allons être heureux. C'est plus une instruction sur le combat de garder notre joie dans la souffrance. Dans Hébreux chapitre 12 et verset 11 nous pouvons lire :
-
- Il est vrai que tout châtiment semble d'abord un sujet de tristesse, et non de joie; mais il produit plus tard pour ceux qui ont été ainsi exercés un fruit paisible de justice.
-
- Qu'est-ce que ce frère anonyme nous dit? Que notre première réaction va être la tristesse. Pensez-y, vous sentez la main de Dieu entrain de vous écraser ou pire comme si Dieu vous a abandonné. C'est supposé faire mal. Si je vous frappe la main avec un marteau, vous devriez crier OUCH! Pas YAHOO! J'ajouterais que c'est anormal d'être heureux lorsque notre Rabbouni revient à nous. Si nous ressentons Sa face se détourner de nous, pour nous éprouver, nous devrions être triste et remplit de toutes sortes de douleur quand il semble nous quitter.
-
- Ces même puritains, que j'ai mentionner au début, considéraient comme une bonne chose d'être abandonner de Dieu. Plusieurs ont écrit sur l'effet qu'un temps de désert peut avoir pour créer une vraie soif en nous. C'est le fameux John Bunan qui à partager un jour que certain arbres, dans certains pays, ne portent pas de fruit parce qu'il n'y pas d'hiver. Sans ce temps de grand froid et dévastation, l'arbre manque quelque chose de nécessaire pour produire des fruits délicieux. Pensez bien comme il faut à cette image.
-
- J'avais deux but pour cette méditation :
-
- 1- Pour ceux qui souffre : c'est normal, même si vous êtes fidèle. Vous allez essayer 100 fois de marcher fidèlement et peut-être trébucher 100 fois. Tout ceci vient de Dieu; donc espéré en Lui seul.
-
- 2- Pour ceux qui connaissent des gens qui souffre : Ayez une tendresse et compensions qui ressemble à celle de Christ. Il compatisse avec nous. Lui qui est sans péché compatisse avec nos faiblesses. Si vous connaissez quelqu'un qui doute ou semble être découragé. Ne chercher pas nécessairement à les reprendre ou encourager, mais juste d'être là pour eux.
-
- En conclusion c'est correct d'être triste quand Dieu semble nous abandonner à la nuit sombre de l'âme.
-
- Martin Labonté
vendredi 20 juin 2014
Tel que je suis
L'histoire derrière l'hymne « Tel que je suis ».
N'êtes-vous jamais frustrés que vous ne
pouvez pas en faire plus pour Jésus? Que vous n'avez rien de spécial à offrir?
Charlotte Elliott, l'auteur de l'hymne,
"Tel que je suis", se sentait certainement de cette façon. Elle avait
été une femme brillante et vive jusqu'à ce qu'une maladie l'ait laissée
invalide. Sa situation la déprima profondément. Elle sentait qu'elle n'avait
plus rien à offrir, rien à donner.
Mais un pasteur, le Dr César Malan, venu
lui rendre visite. Notant son désespoir, il l'encouragea à donner au Christ sa
vie, à venir à Christ comme elle était. Ce commentaire fût pour elle le début
d'un redressement. Même si elle est restée invalide, elle a commencé à chercher
des façons de rendre sa vie utile.
Et les mots du Dr Malan sont restés avec
elle - «Venez à Christ tel que vous êtes." Plusieurs années plus tard,
elle a écrit cet hymne, qui est devenu un favori dans le monde entier. Même si
elle a écrit plus d'une centaine hymnes, celui-ci en particulier a touché plus
de vies que jamais elle n'aurait pu imaginer.
Donc, si jamais vous ne savez pas ce que
vous pouvez faire pour rendre votre vie pleine de sens, il suffit que de la
mettre dans les mains du Christ et aller où Il mène. Christ a une façon
d'utiliser les gens ordinaires de faire des choses extraordinaires.
Traduction d'un article originalement en
anglais tiré du site : http://www.lectionary.org/HymnStories/Just%20As%20I%20Am.htm
jeudi 19 juin 2014
Marinade Maison
« Veux-tu savoir, ô homme vain, que la foi sans
les œuvres est inutile? » (Jacques 2:20)
Il faut comprendre que dans le domaine spirituel il n'existe aucune zone grise, aucune ambiguïté sur la réelle nature d'une chose. Ainsi, il ne peut y avoir de foi inopérante, de foi inactive, ou enfoui dans la chair et cachée par un monticule de péchés perpétuels... Il n'existe que l'homme spirituel, vivant en Christ et l'homme charnel, mort dans son péché.
Jacques catégorise la personne qui possède ce raisonnement, celui selon lequel la foi est possible (vivante) sans les œuvres, comme étant vain. C'est-a-dire, vide, dépourvu de vérité et de sens, qui ne mène a rien. Il n'y va pas d'une main morte pour celui dont le qualificatif « morte » est l'état de sa foi!
Croire que la foi est
dissociable des œuvres c'est démontrer que nous ne comprenons pas ce qu'est la
foi. Pensons-y un instant, croire que la foi est dissociable des œuvres
c'est croire que Dieu, qui hait le péché jusqu'à sa racine, nous sauve du péché
pour ensuite nous laisser mariner dedans comme des cornichons, en déclarant au
monde entier que ceux qu'Il sauve sont Ses témoins jusqu'aux extrémités de la Terre!
Imaginer l'odeur que les cornichons donne à l'Évangile! Ce n'est pas surprenant que le
monde ne se rue pas aux portes du paradis!
Dieu nous laisse
mariner, c'est vrai, mais pas dans notre péché! Il désire nous transformer à la
ressemblance de Son Fils. Et s'il y a une chose qui est sûr c'est que Christ
n'est pas pécheur! Quant à la composition de la marinade, on a chacun nos
propres proportions d'ingrédients, notre marinade maison, toutefois, ce n'est
que lorsque la marinade est celle de Dieu, que notre intelligence va être renouvelée
et que nos actions suivront. Si nous concevons la marinade comme étant nous qui
baigne dans le péché, c'est évident que notre sanctification va être
correspondante... Mais si nous convenons que nous sommes dans la marinade de
Dieu, nous allons au fur et à mesure que nous trempons dedans prendre son gout
et dégager son odeur. L'Évangile prendra ainsi une saveur de vie et non de
cornichons!
Quelle est notre
saveur? Quelle odeur dégageons-nous?
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
mercredi 18 juin 2014
Signe d'orgueil # 2 LA SUSCEPTIBILITÉ
La semaine dernière, nous avons observé que l'un des premiers signes apparents d'orgueil est sans contredit la fausse modestie, c'est-à-dire cette fâcheuse habitude d'admettre une faiblesse, un péché sans pourtant y adhérer vraiment... Si la confession provient de nous-mêmes, elle est acceptable, mais si par mégarde, elle vient d'une autre personne, soudainement, elle est fermement rejetée...
Aujourd'hui, j'aimerais vous présenter une deuxième indication d'orgueil; la susceptibilité ! De quelle manière réagissons-nous face à la critique ? Cherchons-nous promptement à nous justifier ? La critique suscite-t-elle en nous de l’amertume et de l’hostilité ? La refusons-nous aussitôt entendue ? De telles réactions prouvent que nous sommes sous l’emprise de l’orgueil. Si nous ne pouvons supporter ces commentaires désapprobateurs, si nous cherchons par tous les moyens à se disculper face à l'exhortation d'un frère ou d'une sœur, sachons que nous sommes orgueilleux ! Car un esprit humble accepte d’être désapprouvé, accepte de se remettre en question...
Par Lui et pour Lui,
Benoit
Aujourd'hui, j'aimerais vous présenter une deuxième indication d'orgueil; la susceptibilité ! De quelle manière réagissons-nous face à la critique ? Cherchons-nous promptement à nous justifier ? La critique suscite-t-elle en nous de l’amertume et de l’hostilité ? La refusons-nous aussitôt entendue ? De telles réactions prouvent que nous sommes sous l’emprise de l’orgueil. Si nous ne pouvons supporter ces commentaires désapprobateurs, si nous cherchons par tous les moyens à se disculper face à l'exhortation d'un frère ou d'une sœur, sachons que nous sommes orgueilleux ! Car un esprit humble accepte d’être désapprouvé, accepte de se remettre en question...
Par Lui et pour Lui,
Benoit
mardi 17 juin 2014
Exposition D'Œuvres
« Tu crois qu'il y a
un seul Dieu, tu fais bien; les démons le croient aussi, et ils tremblent. »
(Jacques 2:19)
Comment pouvons-nous démontrer la foi sans les œuvres? En déclarant que nous croyons en un seul Dieu... Ce qui est insuffisant! Car même les démons croient cela! La différence entre le croyant et le démons résident dans les œuvres de chacun. Le diable et ses anges sont incapable d’œuvres à la gloire de Dieu. Même s'il connaissent l'existence du Dieu unique, du seul vrai Dieu, cela ne les mènent pas à des œuvres digne de cette connaissance. Démontrant ainsi que la connaissance seul est insuffisante. Car l'absence d’œuvres démontre l'absence de réelle connaissance ou plutôt de connaissance significative.
Seul le croyant racheté
par Christ est en mesure par l'oeuvre régénératrice du Saint-Esprit de démontrer
sa foi par des œuvres qui en sont dignes, car ces œuvres ne proviennent pas
de lui-même, mais de Christ! Le croyant dans sa chair en est incapable. Sauf
que le croyant n'est pas seul. L'Esprit est en Lui. L'Esprit de Christ, qui Lui
est capable d’œuvres à la gloire de Dieu, étant le seul qui n'a pas péché en
étant dans un corps physique.
Ainsi, ne regardons
pas à nous-mêmes. Car qui penserait bien pouvoir démontrer sa foi? Regardons
plutôt à Christ qui produit une oeuvre merveilleuse en nous! Cependant, nous
devons prendre en considération que lorsque nous regardons à Christ, nous ne
pouvons pas en même temps regarder les œuvres qu'Il produit en nous, sinon
nous détournons de Christ les regards! C'est alors que nous régressons...
C'est pourquoi, notre
obéissance à Dieu est accomplie par la foi. Par la foi, car alors que nos yeux
sont fixés sur Christ, nous ne voyons pas nos pas sur le chemin. Et c'est comme
cela que Dieu le désire. Il ne nous demande pas de produire les œuvres... Il
nous demande de Lui obéir et Il produira Ses œuvres en nous!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
lundi 16 juin 2014
QU'EST-CE QUE DIEU VEUT?
Un
peu comme mon titre le dit je fais chercher à répondre à une
question bien compliqué, mais par une réponse très simple. Par Ses
prophètes le Seigneur a partagé plusieurs reproches et donné
beaucoup direction à Son peuple. Son but était de rétablir la
communion avec eux. Il les appelait à ce repentir et pratiquer
certain œuvres. J'aimerais me concentrer sur une lignée de
commandements dans cette méditation. Portez bien attention à ces
prochaines passages :
Esai
58:5-7 Est-ce là le jeûne
auquel je prends plaisir, Un jour où l'homme humilie son âme?
Courber la tête comme un jonc, Et se coucher sur le sac et la
cendre, Est-ce là ce que tu appelleras un jeûne, Un jour agréable
à l'Éternel? Voici le jeûne auquel je prends plaisir: Détache les
chaînes de la méchanceté, Dénoue les liens de la servitude,
Renvoie libres les opprimés, Et que l'on rompe toute espèce de
joug; Partage
ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les
malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te
détourne pas de ton semblable.
Zacharie
7:5-6 Dis à tout le peuple du
pays et aux sacrificateurs: Quand vous avez jeûné et pleuré au
cinquième et au septième mois, et cela depuis soixante-dix ans,
est-ce pour moi que vous avez jeûné? Et
quand vous mangez et buvez, n'est-ce pas vous qui mangez et vous qui
buvez?
7:9-10
Ainsi parlait l'Éternel des
armées: Rendez véritablement la justice, Et ayez l'un pour l'autre
de la bonté et de la miséricorde. N'opprimez
pas la veuve et l'orphelin, l'étranger et le pauvre, Et ne méditez
pas l'un contre l'autre le mal dans vos cœurs.
8:16-17
Voici ce que vous devez faire:
dites la vérité chacun à son prochain; jugez dans vos portes selon
la vérité et en vue de la paix; que
nul en son coeur ne pense le mal contre son prochain, et n'aimez pas
le faux serment, car ce sont là toutes choses que je hais, dit
l'Éternel.
Est-ce
que vous voyez la ligne directrice? L’Éternel
leur dit clairement qu'Il ne veut pas des actes religieuse, mais
qu'ils fassent du bien aux autres. Comme Christ leur a dit : …
vous laissez ce qui est plus
important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité
... (mat
23:23). C'est intéressant, n'est-ce pas, qu'Il
focalise autant sur le besoin d'aider son prochain? Jacques, pour sa
part, nous dit : Si un
frère ou une soeur sont nus et manquent de la nourriture de chaque
jour, et
que l'un d'entre vous leur dise: Allez en paix, chauffez-vous et vous
rassasiez! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au
corps, à quoi cela sert-il? (Jac 2:15-16). Celui qui
décide de juste souhaiter ou prier, si je peux le dire comme ça, quand il voit
le besoin de ses frères et sœurs; à une foi morte. C'est fort
n'est-ce pas? Ceci veut dire que nous devons être sensible aux
besoins de nos frères et sœurs. Tristement nous semblons être plus
sensible à leurs manquements. D'être plus concentré sur leurs péché
et le besoin des reprendre. En plus, un peu après Jacques nous parle
de devenir des juges de la loi à la place d'être des pratiqueurs de
la loi.
Jacques
4:11 Ne parlez point mal les uns
des autres, frères. Celui qui parle mal d'un frère, ou qui juge son
frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi,
tu n'es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.
Nous
pourrions vraiment dire que son épître à comme point principale
l'appel au service. Et que ce service se fait auprès des frères et
sœurs. Jean ajouterait qu'on ne peut pas aimer Dieu sans aimer nos
frères et sœurs. Comment est-ce qu'on peut servir Dieu, sans servir
Ses enfants? La réponse c'est que c'est impossible. Dans nos
passages du début Dieu cherche à restaurer la communion avec Son
peuple en leur demandant de faire du bien aux autres. Ça peut pas
être plus clair.
Nous
ne devons pas oublier l'importance de la vérité dans l'entraide. C'est tout
aussi présent dans nos versets. Dès fois nous voulons tellement
essayer de couvrir les péchés des autres par l'amour que nous
finissons par cacher de la frustration. À la place de vraiment
couvrir par le sang de Christ, qui élimine tout péché, nous le
mettons sous le tapis et l'accumulons. Nous ne pardonnons pas comme
Dieu nous as pardonné, mais nous l'avalons et remplissons nos
entrailles d'amertume. Un bon truck pour savoir lequel des deux qu'on
a fait c'est ceci : Est-ce qu'on revient sur le problème? En
d'autres mots, est-ce qu'on en parle a tout les gens qu'on rencontre?
Est-ce qu'on y pense tout le temps? Si oui il faut se poser des
questions, mais bon ce n'est pas mon sujet ce matin. Je voulais plus
vous inviter à pratiquer l’honnêteté avec ceux qui nous ont
offensé. Dès fois, même souvent, il faut confronter la situation. Il
faut discuter avec la personne et chercher à régler le problème. La
meilleur façon de combattre la duplicité c'est de parler
honnêtement des choses qui se sont passé. À la place de garder
tout caché à l'intérieur où est-ce que l'amertume peut devenir de
la haine et même de la colère.
Si vous vous demandez le lien à faire entre le service et l'honnêteté? C'est simple, dans l'entraide il y des fois des attentes et malentendu. Il peut y avoir des gens qui voulaient cette sorte d'aide ou d'autres qui voulait un peu de reconnaissance. Ce poison ne peut être contré que par le médicament de la vérité. C'est facile d'avoir de la rancune lorsque les attente ne sont pas atteinte. Il est tout aussi facile d'aider avec des cœurs frustrer ou d'agir en hypocrite. La vraie aide est fait avec honnêteté, c'est là le lien.
Si vous vous demandez le lien à faire entre le service et l'honnêteté? C'est simple, dans l'entraide il y des fois des attentes et malentendu. Il peut y avoir des gens qui voulaient cette sorte d'aide ou d'autres qui voulait un peu de reconnaissance. Ce poison ne peut être contré que par le médicament de la vérité. C'est facile d'avoir de la rancune lorsque les attente ne sont pas atteinte. Il est tout aussi facile d'aider avec des cœurs frustrer ou d'agir en hypocrite. La vraie aide est fait avec honnêteté, c'est là le lien.
Que
Dieu nous aide
Martin
Labonté
jeudi 12 juin 2014
Obéissons!
« Mais quelqu'un dira: Toi, tu as la foi; et moi, j'ai les œuvres. Montre-moi ta foi sans les œuvres, et moi, je te montrerai la foi par mes œuvres. » (Jacques 2:18)
On peut accuser jacques de promouvoir le salut par les œuvres. Mais cela serait de pervertir son raisonnement si simple. La foi et l'obéissance sont indissociables. Mais nous n'aimons pas cette idée. Nous la haïssons. Car nous sommes paresseux, égocentriques, désirant plus que tout plaire a notre chair. Nous voulons d'une foi simple et passive ou la seule chose qui nous ait demande c'est d'être présent. Dans notre siècle de facilites technologiques nous cherchons plus que jamais la passivité. Et puis après, nous nous demandons pourquoi nous sommes si ennuyés par notre vie plate et insipide! Christ nous appel a l'obéissance. Prenons l'illustration pastorale typique. Les brebis du berger entendent sa voix, et elles le suive! Elles obéissent a sa voix!
Le réalité est simple il nous faut obéir a Christ! Cessons de chercher des raisons pour diminuer la réalité présente de la foi et obéissons simplement a la voix du Maître! Marchons dans ses pas!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
mercredi 11 juin 2014
Signe d'orgueil # 1 LA FAUSSE MODESTIE
La semaine dernière, mon blog portait sur le sujet de l'orgueil, de l'auto-suffisance, de l'auto-exaltation... Vous vous souviendrez que je vous ai parlé du « Hall aux mille miroirs » ainsi que de la haine profonde que l'Éternel porte à l'égard de toute forme d'arrogance... Aujourd'hui et dans les semaines qui suivront, je vais vous présenter quelques signes qui démontrent la présence d'orgueil dans nos vies...
Signe d'orgueil # 1 LA FAUSSE MODESTIE
Il est facile de dire toutes sortes de paroles désobligeantes sur notre compte, mais que ressentons-nous quand les autres disent ces mêmes choses à notre sujet ? Il arrive souvent que ce nous disons sur nous-même soit sincère, mais pas complètement exact, car lorsqu’une autre personne prononce ces mêmes paroles, nous ne pouvons les accepter ! Si le fait d'admettre que nous sommes faibles dans l’une des sphères de notre vie est difficile à confesser, mais que d'entendre cette réalité d’une autre bouche est complètement assommoir, à l'évidence, nous sommes orgueilleux !
Par Lui et pour Lui !
Benoit
mardi 10 juin 2014
La Réalité De L'Absence D'Œuvres
« Il en est
ainsi de la foi: si elle n’a pas les œuvres, elle est morte en elle-même. »
(Jacques 2:17)
Ici, il n'est
pas question d'un lien direct entre le fait de refuser de donner de la
nourriture et du vêtement à ses frères dans le besoin et le fait de posséder ou
non le salut. Dans le sens où, celui qui ne pourvoit pas aux besoins de ses
frères n'est pas croyant. Même si par extension, cela est lié, c'est plutôt
différemment que Jacques fait le lien.
L'emphase est
clairement mise sur le fait que dire à son frère ou sa sœur de se chauffer et
de se nourrir sans leur en donner les moyens ne sert à rien. De même, dire que
nous avons la foi et ne pas en avoir les oeuvres ne sert à rien en vue du
salut.
Ce n'est pas que
la foi est présente parce qu'il y a des œuvres, mais plutôt que la foi ne
saurait être présente sans qu'il y ait d’œuvres la démontrant.
Qu'il y ait foi ou non, l'absence d’œuvres est dans
tous les cas un signe d'incrédulité!
Appelons les
choses par leur nom...
Le fait que la
réalité du salut soit ponctuelle dans sa dimension positionnelle n'empêche pas
qu'elle soit progressive dans sa dimension temporelle. Ainsi, de même avons-nous
besoin d'entendre l'Évangile pour le salut, de même avons-nous besoin de l'Évangile
pour notre progression dans la sanctification. Notre incrédulité première a été
détrônée par Christ à la croix, en même temps que le péché a été détrôné.
Toutefois, le péché n'est pas éradiqué de notre être et nous devons le
combattre quotidiennement, de même que l'incrédulité. Notre besoin de Christ ne
se termine pas à notre salut... C'est plutôt là qu'il commence!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
lundi 9 juin 2014
LA VRAIE AMITIÉE
Ce matin nous regardons la dernière
idée qui vient du livre DISCIPLESHIP, l'amitié. Voici un sujet bien
intéressant qui est entouré de mauvaises conception et qui as
besoin d'une bonne compréhension. Pour pouvoir bien comprendre c'est
quoi un vrai ami, il faut premièrement regardé certaine erreurs.
MAUVAISES CONCEPTION
Une des plus grande erreurs c'est le
mélange que nous pouvons faire entre un ami et n'importe quel autre
sorte de relation. Lorsque nous étudions ce mot, nous trouvons un
fil conducteur bien intéressant. Le mot friend, en anglais, vient
d'un vieux mot saxon, freon, qui veut dire d'aimer. Le mot en grec,
philo, parle de bien aimé. Est-ce que vous commencer a voir la
direction de mon point? C'est plus qu'une connaissance. C'est plus
que quelqu'un que je passe du temps avec. Ça demande de
l'investissement émotionnel, de l’honnêteté et surtout beaucoup
d'effort. Je ne veux pas faire du trouble, juste nous provoquer a
réfléchir un peu sur les sortes de relations que nous avons. C'est
pourquoi nous allons passé. Au prochain point pour élaborer l'idée.
BONNE COMPRÉHENSION
Comme j'ai dit cette sorte de relation,
l'amitié, demande beaucoup plus d'effort. Parce que premièrement,
ce n'est pas facile, et même presqu'impossible, de s'investir
émotionnellement au près des être imparfait qui vont nous blesser.
Une vrai amitié peut réellement couvrir une multitude de péché
par l'amour. Parce qu'elle connaît la personne devant elle. Le cœur
de cette personne est non seulement complètement ouvert, mais de
toute beauté pour le vrai ami. Je crois que les paroles d'un certain
monsieur Craik va mieux exprimer ce que je veux dire : «Oh, le
confort, le confort inexprimable de se sentir en sécurité avec une
personne, n'ayant pas besoin de peser ou mesurer nos pensées ou nos
mots, mais de pouvoir entièrement les déverser comme ils le sont,
la paille et le grain ensemble, sachant qu'une main fidèle prendra
et les tamisera , gardant ce qui est utile, et puis de souffler le
reste avec le souffle de la bonté.» N'est-ce pas exactement se que
nous recherchons tous et devrions offrir a tous? Cette sorte d'amitié
ne s'inquiète pas, mais s'abandonne totalement. C'est exactement le
sorte de relation que nous avons avec le Seigneur. Et Il est le
meilleur ami.
Deuxièmement, il ne faut pas oublié
la compensation. Parce que c'est une chose de ne pas juger, mais une
autre de venir à l'aide. C'est Paul qui nous dit dans Romain 12:15
qu'on doit se réjouir avec ceux qui se réjouit et ainsi de suite.
Bien sure c'est plus que juste pleureur avec eux, c'est réellement
sentir leur douleur. C'est de s'oublier soi-même et mettre l'autre
avant nous. C'est même de pouvoir ressentir leur joie. Quand nos
amis ont des hauts ou du succès ont le vie avec eux, même chose
quand il frappe le font du baril. C'est de pouvoir se dire, lorsqu'un
frère ou une sœur succombe à la tentation, j'ai tomber avec eux.
Cette sorte de compensation et sympathie ressemble à celle du
Seigneur envers nous. Comme ça nous dit d'en Hébreux 4:15 :
«Car
nous n'avons pas un souverain sacrificateur qui ne puisse compatir à
nos faiblesses; au contraire, il a été tenté comme nous en toutes
choses, sans commettre de péché.» Si Dieu faite chair peut
compatir avec nos faiblesses, nous pouvons aussi le faire. Bien sur
c'est seulement lorsqu'on s'oublie et s'humilie soi-même.
Je
terminerais en disant vous être bénit si vous avez de tell ami(s).
Aussi, ne vous condamné pas trop fort si vous n'êtes pas cette
sorte de personne. Mais prier que Dieu le fasse et Il le fera dans
vos cœurs. Nous avons besoin de ces sortes de relations pour grandir
dans le Seigneur.
Martin
Labonté
jeudi 5 juin 2014
Foi Illusoire
« Et que l’un
d’entre vous leur dise: Allez en paix, chauffez-vous et rassasiez-vous! et que
vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il? »
(Jacques 2:16)
La foi est ce
qu'il y a de plus réels. De même que dire des vœux pieux face a la nudité et a
la faim de frères et sœurs ne produit rien de bon, de même, l'absence de foi ne
produit rien de bon...
La foi est la
solution réelle à des besoins réels. Nous pouvons dire à des frères et sœurs de
se nourrir, de se vêtir. Nous pouvons leur dire que Dieu pourvoira à leur
besoins. Nous agirons réellement par la foi que lorsque nous prendrons de nos vêtements
et de notre nourriture et leur en donnerons!
La foi n'est pas
l'expression d'une illusion que l'on se fait croire. Elle n'est pas supposée être
l'expression du désengagement face à la réalité des besoins réels en se faisant
croire à soi que Dieu est en control, qu'Il pourvoit et prendra soin de mes frères
et sœurs sans que j'ai besoin de lever le petit doigt. Ce n'est pas de la foi
ca! Malheureusement, dans notre société la foi dans la provision de Dieu est
trop souvent synonyme de l'indifférence la plus totale...
Pour Jacques,
c'est impossible de dire que l'on a foi en Dieu alors que l'on est indifférent à
ses frères et sœurs dans le besoin. Et c'est compréhensible! Comment
pouvons-nous déclarer aimer le Créateur alors que nous haïssons les créatures rachetés
par le précieux sang de Son Fils mort à la croix du Calvaire et ressuscité le
3e jour!
Agissons!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
mercredi 4 juin 2014
« Le Hall aux mille miroirs »
Quelque part en Allemagne se trouve un lieu nommé « le Hall aux mille miroirs ». De cet endroit, il est dit :
Par Lui et pour Lui !
Benoit
« Entrez-y et un millier de mains se tendront vers vous pour vous accueillir, un millier de sourire répondront au vôtre, pleurez et un millier pleureront avec vous. Mais voilà, toutes ces mains, ces sourires et ces yeux seront en réalité les vôtres »...Tel est l’orgueilleux, entièrement occupé, environné et emprisonné de lui-même ! Ne trouvant la joie, l'épanouissement et le bien-être que dans sa personne propre... Littéralement obnubilé par l'éclat de son moi, l'orgueilleux se sert de son prochain comme une toile de fond pour déployer son propre scintillement. Tout ce qu'il y a autour de lui se veut un instrument d'élévation individuelle, d'auto-exaltation... Pourtant, la Bible est plus que claire :
« Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles » (Jacques 4.6).Prenons un court instant aujourd'hui pour nous rappeler ces paroles de l'apôtre Pierre; surtout, examinons nos vies et soyons bien certains de ne pas nous croire à l'abri de cet orgueil démesuré !
« Pierre, prenant la parole, lui dit : Quand tu serais pour tous une occasion de chute, tu ne le seras jamais pour moi » (Matthieu 26.33).
Par Lui et pour Lui !
Benoit
mardi 3 juin 2014
Concrètement
« Si un frère ou
une sœur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, » (Jacques 2:15)
Nous parlons
souvent de la foi comme d'une réalité théorique, abstraite, nébuleuse. Le fait
est qu'il n'y rien de plus pratique que la foi dans la vie du croyant! La foi
est toujours en lien avec le concret. C'est devant des besoins réels qu'elle
est mise en action. Elle s'applique constamment dans nos vies, même si trop
souvent nous ne le remarquons pas. Et dans bien d'autres occasions nous le
remarquons pas, parce qu'il n'y en a malheureusement pas la démonstration.
Le péché est le
premier problème réel auquel la foi fait face. S'il y a également une autre
chose que nous ne pouvons pas aborder autrement que d'une manière concrète et
pratique, c'est le péché. Chaque jour nous réalisons concrètement sa présence
dans nos vies. Ensuite dans la vie, et tout au long de celle-ci, nous sommes
confrontés à des problèmes réels. Économiques, physiques, relationnels,
psychologiques, etc. La foi ne répond pas moins à ces problèmes qu'a celui du
péché.
De même nous ne
pouvons pas vivre sans la foi, car le péché mène à la mort et la foi à la vie,
de même nous ne pouvons pas vivre sans la foi, car sans elle nous serions sans
espoir face à la réalité des problèmes de la vie.
Des problèmes
concrets nécessitent une solution concrète. La foi est celle-ci, en se quelle
prend possession des promesses de Dieu. Elle rend concrète la présence de
Christ dans nos vies. Non que nos besoins et problèmes disparaissent, mais
plutôt que nous sommes en mesure de passer au travers à la gloire de notre
Créateur.
Jacques nous
rappel à quel point la foi est terre-à-terre, combien elle se préoccupe de la
vie telle que nous la vivons, et souvent dirons-nous, la subissons!
Samuel Deroy
Libellés :
Jacques
lundi 2 juin 2014
S'AMUSER POUR DIEU
Bonjour frères et sœurs
Ce matin nous continuons à regarder des
idées du livre de monsieur Campbell, DISCIPLESHIP. Un de ses
chapitres s'intitulent: Le disciple et l'amusement. C'est vraiment un de
ces sujets qui est un peu controversé de nos jours. Parce que les
gens ont tendance à être déséquilibrée d'un coté ou de l'autre.
Certain mets un gros X sur tout divertissements et ose même dire que c'est péché. Ces gens
voient tout effort de se divertir comme mal. D'autres ouvrent les
portes grandes ouvertes et se disent que tout leur est permis. Ces gens
semblent croire que le chrétien est fait pour s'amuser. C'est
nocif de mettre des restrictions que la Bible n'a pas mis. C'est tout aussi nocif de se privé seulement si c'est un péché évident. Comme monsieur
Campbell dit, Dieu a donné ce temps de pause pour qu'on puise
l'apprécier. Il ajoute que nous avons besoin de ces moments de
détente, mais il faut faire attention. Ceci ne sera pas une étude
exhaustive, mais un regard sur deux idées simple.
QUEL EST LE BUT?
Cette première question est très
importante, parce que même si Dieu a pourvu le plaisir ça ne doit
pas être notre raison d'être. Certain personne semble extrême
lorsqu'ils disent qu'on peut et doit tout faire à la gloire de Dieu.
Que notre première intention dans nos temps de repos doit être de le glorifier. Pourtant c'est exactement l'enseignement de la Bible. Même
que n'importe quoi que nous ne fessons pas à Sa gloire est péché.
Bien sure cette idée est plus qu'une phrase qu'on attache à
n'importe quel activité. Comme de dire je fais ça à la gloire de
Dieu, donc je peux la faire. Est-ce que réellement je cherches à me
rapprocher du Seigneur par cette activité? Est-ce que je veux
vraiment reposer ou ressourcer mon esprit et mon corps pour mieux le
servir? Est-ce que j'ai vraiment cherché à savoir si ceci était la
volonté de Dieu pour moi? Voilà certaines questions à se poser,
mais il y en a plein d'autres. La meilleur question est: quel est la
source de ce divertissement? En d'autres mots, pourquoi est-ce que je
veux faire cette chose en particulier? Nous voyons souvent dans
l'ancien testament, dans les juges par exemple, que l’alcool était
la source du divertissement. Que l'activité qui venait après avait commencer par le fait qu'ils s'étaient intoxiqué avant. j'ajouterais que la recherche du plaisir était une autre source, comme avec Samson. Donc quel est votre source?
EST-CE DESTRUCTEUR?
Cette deuxième question est toute
aussi importante et ma beaucoup fait réfléchir. Trop souvent
l'activité ou le plaisir que nous voulons nous permette fini par
avoir des effets négatif. Ce qui veut dire que cette chose qui était
supposé nous aider, fini par nous nuire. Il y a plusieurs exemples
dans l'ancien testament où est-ce qu'un moment de réjouissance a
fait du trouble. Pensez à la fille de Jephté, qui voulait danser de
joie au retour de son papa. Il y a aussi les filles d’Israël qui
chantaient à-propos des dix milles de David, qui causa plein de
trouble. Isaac, lui, s'amusait avec sa femme et son mensonge fut découvert.
Devenons un peu plus concrète. Il est des activités ou plaisirs qui
font plus de mal que de bien. Vous savez comme moi que la télévision
ou les films nous apportent rarement en communion avec Dieu. Même que
plus souvent qu'autrement ils nous détournent de cette communion, je
dit ceci d'expérience. Il y a aussi le plaisir d'un bon repas, entre
frères et sœurs ou en famille. Un peu d'excès nous laisse moins propice à servir Dieu, encore ici je parle d'expérience. J'aime
bien les buffets, mais je sais après avoir manger comme ça je ne
vais pas aller étudié pour mon message. Même certains sports, quand
ils sont abusé, nous laisse plus blessé que fortifié. Certains de
mes lecteurs peuvent devenir un peu intense dans leur pratique des
sports, au point de se brûler. C'est quoi l'utilité d'agir ainsi?
J'ose même apporter les jeux de société sous la loupe. N'est-ce
pas que nous pouvons des fois jouer avec un esprit de compétition
trop élevé? Est-ce que vraiment ceci nous rapproche à l'exemple
parfaite de Christ?
J'aurais facilement pu en dire beaucoup
plus, mais se n'était pas mon intention. Je voulais juste vous
donner deux bonnes questions à vous pauser et vous provoquer à
beaucoup de réflexion personnel. Donc amusez-vous à la gloire de
Dieu
Martin Labonté
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