lundi 26 novembre 2018

LES VRAI ACTIONS DE GRÂCE

Bonjour frères et soeurs

Nous sommes un peuple chrétien bien bénis. Notre Dieu est le Créateur et le Tout Puissant. Il nous aime et prend un tendre soin de nous. C’est donc normal que nos cœurs devraient déborder de reconnaissance,  n’est-ce pas? Nous comprenons ce principe qui affirme : si tu reçois dit merci! Et nous le faisons envers Celui qui s’occupe de tout.  La Bible appel ceci des actions de grâce ou de rendre grâce. Comme bon chrétien nous cherchons à le mettre en pratique, mais il me semble que deux erreurs se sont faufilées dans ma vie et peut-être dans la votre.

LA TRADITION DE RENDRE GRÂCE
Nous avons un principe de devoir faire une petite prière de remercîment avant de manger. Ceci n’est pas mal, mais nous cherchons à l’imposer comme une règle biblique et ce n’est pas le cas. Aucun passage de la Bible laisse sous entendre qu’il FAUT rendre grâce avant les repas. J’ai fait exprès pour dire FAUT.  C’est très bien de louer Dieu pour la nourriture, mais il faut le faire pour toute chose selon la Bible. Nous avons remplacé le commandement de rendre grâce pour toute chose par une règle de le faire surtout avant de manger. Par ceci nous côchons notre liste d’accomplissement du bon chrétien.

Si  nous serions conséquent, et nous le sommes rarement, nous imposerions aux croyants de rendre grâce avant de partir l’auto ou rentré au travail ou rentrer dans la maison.  Essayez de pratiquer ce commandement pendant une semaine, je n’ai pas été capable. Nous sommes plus promptes à suivre nos principes que l’appel biblique d’un cœur totalement reconnaissant pour tout.

LA DEMANDE POUR PLUS DE GRÂCE
Un des pires pièges que le Seigneur ma démontré dernièrement c’est l’attitude d’avarice accompagnant les actions de grâce. En d’autres mots, je remercie Dieu pour la chose et lui en demande plus dans la même phrase. Je ne prends pas le temps de savourer l’idée que le Créateur, qui ne me doit absolument rien, a répondu à ma prière. Je ne prends pas le temps de contempler Sa puissante main à l’œuvre dans ma vie. Je suis rapide pour lui crier : fait-le encore! Mais qu’elle ingratitude! N’est-ce pas normal que Dieu ne répond plus ensuite à nos prières? Considérant cette cupidité rattachée à notre action de grâce, je ne le blâme pas.

C’est pourquoi j’ai aimé se qu’à dit un de ces grands auteurs que je lis si souvent sur le fait de prendre le temps d’apprécier comme il faut avant d’en redemander. Comme ceux qui goûte une intimité hors pair ou des manifestations divine incroyable et passe la majorité de leur prière pour en demander plus. Non, mais loue ton Dieu comme il faut avant!

Nous sommes vraiment des petits enfants qui disent leur merci obligatoire mais ayant des cœurs remplit de toutes sortes de cupidité. Ayons à la place des vrais cœurs reconnaissant qui prennent le temps de se réjouir longtemps des bienfaits de notre Papa Céleste. Des adorateurs qui demeure devant Sa gloire et prononce le simple : Woooow! Tout en restant bouche bée pendant des heures.  Demandez au Seigneur cette sorte de cœur et efforcez-vous à l’appliquer dans vos vies d’intimité avec votre Dieu.

Maritn Labonté

lundi 19 novembre 2018

UNE BONNE BIOGRAPHIE

Bonjour frères et sœurs

Le Seigneur a trouvé bon de nous donner plusieurs sources d'inspiration, de motivation et d'encouragement. Les biographies sont une des meilleures sources comme nous l'apprenons par le fameux chapitre 11 de l’épître aux Hébreux. Pour ma part, je dois avouer que ma méditation cette fois-ci vient d'un homme qui discutait sur l'utilité et aussi la mesure d'une bonne biographie. Cette mesure est importante; parce que sinon il peut y avoir un débordement.

Comme l'auteur mentionne, nous avons la tendance de surélever ceux qui sont venus avant nous et leur donner un statut exagéré. Bien trop souvent, ils sont représentés comme sans erreurs et comme ayant  accompli de grandes tâches que le commun du mortel ne pourrait jamais accomplir. Pourtant ils sont bien normaux. C'est pourquoi une bonne biographie va présenter les défauts de ces personnes. Il y a quelque temps, je vous ai présenté Mary Slessor sous ses plus beaux angles. Elle était une femme qui a foncé et c'est rendu à l'intérieur de l’Afrique quand plusieurs restaient à l'extrémité. Cette attitude fonceuse faisait en sorte que personne ne voulait travailler avec elle ; parce qu'elle était dominante et dure avec les gens. Cet exemple n'est pas pour dénigrer cette merveilleuse femme, mais pour présenter l'autre côté de la médaille. J'essaye, dans mes mini-bios, de présenter les fautes autant que les forces de ces gens. C'est primordial de ne pas les mettre sur des piédestaux quand eux même ne voulaient pas ceci.

Il est tout aussi important de ne pas chercher les défauts. Bien souvent, certaines personnes nous semblent trop «parfaites», donc nous supposons du mal caché. «Cette famille chrétienne ne peut pas vraiment être aussi aimant et fidèle au Seigneur ; ils doivent avoir des imperfections cachées !» Même si nul n'est parfait, certains ont juste une plus grande grâce et sont bénis avec une marche plus sérieuse ou sans détour. C'est pourquoi une bonne biographie ne va pas essayer de remuer le plus de controverses possible. Elle ne va pas faire exprès pour minimiser leur fidélité ou persévérance hors pair. Il nous faut des héros chrétiens tout en se rappelant que leur force c'est Dieu. La grâce qui a agi sur eux peut aussi agir sur nous. Nous pouvons être un peu trop rapides pour trouver nos «bibittes» et nous dénigrer. Si vous êtes comme moi ; vous êtes rapide pour minimiser vos talents et élever vos défauts. Cette fausse humilité n'a pas de place dans nos vies ou des biographies. Nous pouvons facilement trouver les défauts de Charles Spurgeons, mais ne négligeons pas de parler de ses grandes qualités. Cet homme aimait les âmes perdues comme presque personne d'autre dans son temps.

Donc une bonne biographie doit être balancée présentant le mal avec le bien. En même temps, peut-elle tout dire considérant que nous n'avons jamais toutes les informations ? Bien sûr que non; mais nous essayons de dessiner les portraits le plus complets. Le but doit être d'encourager et motiver les gens. Ils doivent voir l'être imparfait réussir par la grâce de Dieu et cette même grâce agir puissamment dans des vies. Nous devons être motivés, mais aussi humiliés sans être découragés. La seule chose qui me reste à vous dire c'est : lisez des bonnes biographies ! Si vous voulez des idées; contactez-moi, j'en connais plein.

Martin Labonté

lundi 12 novembre 2018

REGRET OU REPENTANCE?

Bonjour frères et soeurs

Il ne faut pas répondre à ce dilemme trop rapidement. Nous pouvons trop précipitamment chercher à faire une claire distinction. Souvent nous associons le regret à une émotion seulement et n’ayant aucune place dans de la vraie repentance. Les puritains avaient une autre vision. Ils considéraient l’acte de contrition ou la tristesse en rapport avec notre péché comme nécessaire au vrai salut. Ils allaient jusqu’à dire que plusieurs mois de profond regret avant de ce tourner vers la croix prouvait une nouvelle naissance. Ils ont peut-être exagéré, mais l’importance du cœur brisé face au péché est quand même liée à un changement authentique. Combien de fois que David pleure à cause de ses transgressions? N’est-ce pas qu’un réal cœur contrit regret le mal qu’il a fait?

Bien sûre, il doit y avoir un changement de vie. Paul affirme que  «la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort. » (2 Corinthiens 7 :10). D’avoir du regret qui n’apporte aucun changement dans ta vie ressemble plus à de l’apitoiement. C’est un effort d’apaiser notre conscience blessé sans se forcer.  Nous pleurons sur notre mal, mais lui permettons de demeurer. Il serait bon de clarifié un autre aspect ici.

Il est nocif d’être dogmatique en affirmant que la repentance veut dire un changement sans retour. Il est populaire de nos jours de croire et enseigner qu’une personne repentante ne retombe pas. Si elle persévère dans ce mal; c’est une fausse repentance. Ceci n’est pas approprié comme idée. Les puritains, oui encore eux, parlaient d’une vie de repentance.  Le fait à ne jamais oublié c’est que nous restons pécheurs toute notre vie, donc nous allons retomber constamment. Personne ne peut se détourner d’un mal et ne jamais y retourner, donc selon l’idée moderne personne ne se repent vraiment. C’est ridicule et même anti-biblique de penser comme ceci. Le mot parle de changement, mais pas de perfection. Nous lutterons et chuterons dans nos efforts de rester sur cette nouvelle voie.

Une vraie repentance reconnait le mal fait, le regrette, s’en détourne et combat pour persévérer. Le regret ne devrait pas être dénigré et même vue comme intégrale à cette vraie repentance. Un apitoiement remplit de larmes n’égal pas nécessairement la tristesse selon Dieu, mais seulement un effort pour s’en détourner démontre cette tristesse. Donc ma question initiale devrait se répondre en unissant les deux et non en les contrastant.

Martin Labonté

lundi 5 novembre 2018

PRÉSENTATION HISTORIQUE 30

Bonjour frères et soeurs

UNE DOCTEUR EN BEIJIN
J'ai rencontré cette dame en lisant un livre sur la théologie de la persécution. Son histoire anonyme m'a beaucoup touché et marqué, donc j'aimerais vous la présenter. Elle était médecin en Beijin dans les débuts du 20ième siècle. Elle a choisi de jamais se marier pour prendre soin de son frère invalide. Elle venait d'une famille à l’aise mais pas nécessaire riche ou de la haute classe. Sa vie à pris un virage intense lors de la révolution culturel de la chine en 1949. Elle à été vue comme l'ennemie qui oppressait les pauvres juste à cause qu'elle appartenait à la classe moyenne. En plus, elle était chrétienne qui était considéré comme distributeur de propagande anti-gouvernemental communiste. Elle fut destituée de son rôle de docteur, enfermé dans sa maison et battu régulièrement par les gardes rouges. Devant sa maison il y avait une pancarte qui indiquait ses crimes, comme la distribution de Bible.

Plusieurs décennies de souffrances l’ont apporté au désespoir. Un jour, elle prit un gros couteau désirant trancher son poignet et en finir. Elle criait à Dieu : si tu me veux encore en vie fait quelque chose ! Et elle déposait tout simplement le couteau pour ensuite pleurer pendant des heures. Elle subit encore 8 autres années de telle persécution.

Lors de la mort du dirigeant Mao et la fin de la révolution culturel dans les années 70 ; la persécution religieuse s’estompait un peu. C'est à ce moment que plusieurs venait voir cette vieille dame pour lui demandé des Bible. Elle ne comprenait pas d’où venaient ces gens. Encore plus, la plus part étaient des haut placé dans le gouvernement. Lorsqu'elle leur demandait pourquoi, leur réponse fut la même : la pancarte de tes crimes affirmait que tu distribuais des Bible. Maintenant, cette femme remplit de cicatrice émotionnelle et physique comprend pourquoi, en partit, se pourquoi elle devait vivre ce martyr.

Nous aimons bien les histoires de grande délivrance surtout ceux de la Bible. Vous savez lorsque Dieu fait un grand miracle. Nous espérons voir de tell miracle aussi. Sauf que l'intervention de Dieu par excellence est celle de la persévérance dans l’opposition. Lorsque nous souffrons sans savoir trop pourquoi et n'apprenons que plus tard la raison. Il n'y a pas de fin merveilleuse avec les grêlons du ciel, mais simplement une continuité jusqu'à une fin normale. J'espère que cette histoire va ramener vos deux pieds sur terre et sur la vérité de la vie chrétienne comme ça là fait pour moi.

Martin Labonté