Bonjour
frères et sœurs
Ma
méditation ce matin vient d'un message que j'ai écouté sur Ésaïe.
C'est une simple vérité caché dans le langage hébreux. Que
personne ne vous disent que c'est inutile d'aller voir dans les
langues originaire. Mon texte c'est Ésaïe 62 et les versets 6 et 7 :
Sur
tes murs, Jérusalem, j'ai placé des gardes; Ils ne se tairont ni
jour ni nuit. Vous qui la rappelez au souvenir de l'Éternel, Point
de repos pour vous! Et ne lui laissez aucun relâche, Jusqu'à ce
qu'il rétablisse Jérusalem Et la rende glorieuse sur la terre.
Dans
ce passage il y a une expression qui ne soit voit pas aussi bien dans
nos traductions : Les rappelleurs. Cette expression est la vraie
traduction de la phrase : Vous qui la rappelez au souvenir. En
hébreux ça dit : vous les rappelleurs de l'Éternel. L'idée
c'est que se sont ceux qui Lui rappel Ses promesse et Son besoin
d'agir. Cette idée revient constamment dans la Bible. Les psaumes 77
& 89 rappel à Dieu Son besoin
d'intervenir. Mais plus encore, il y a les versets 25 et 26 du
chapitre 43 d'Esaïe :
Es
43:25-26
C'est
moi, moi qui efface tes transgressions pour l'amour de moi, Et je ne
me souviendrai plus de tes péchés. Réveille
ma mémoire, plaidons ensemble, Parle toi-même, pour te justifier.
Le
verset 25 nous fait comprendre que c'est Dieu qui parle et 26 que Son
peuple doit lui rappeler Ses promesses. Le Tout Puissant nous demande
de Lui remettre Ses promesses devant Sa face pour qu'Il les
accomplissent. Ce travail de rappelleurs à trois bénéfices :
1-
C'est utile pour rappeler aux autres Ses merveilleuse promesses.
2-
C'est utile pour nous rappeler dans des moments de doute.
3-
C'est utile pour accomplir la volonté de Dieu.
Les
meilleurs prières sont ceux qui remettent Sa Parole devant Ses yeux
et dans nos cœurs. En plus ils doivent être sans relâche comme dit
le verset 7 de notre premier passage. Le Seigneur nous a beaucoup
enseigné dans les évangiles de prier sans cesse. De littéralement
déranger Dieu par nos requêtes sans fin.
Soyons
des rappelleurs de l'Éternel.
Martin
Labonté
Aucun commentaire:
Publier un commentaire