Bonjour à tous
Ce matin j'aimerais parler de
l'importance de se supporter mutuellement. Je ne parle pas de Galates
6 :2, mais des frictions. Il y a toutes sortes de personnalité
et surtout de différentes convictions qui peuvent causer des
problèmes. En plus nous avons des forts et faible. Ce qui n'est pas
un langage d'orgueil, mais de romain 14. Tout ceci mis ensemble créer
des conflits ou des opportunités de se supporter mutuellement.
J'aimerais regarder les deux idées.
1- le dérangement
Je parle ici de notre attitude lors de
ces conflits ou les autres moments quand nous devons aider. C'est une
chose d'être déranger lorsqu'il y a des différences d'opinions.
C'est humain, c'est péché et nous devons le confesser. Mais en
quelque part nous savons que ça va arriver. Selon moi il y a quelque
chose de pire encore. Pausons-nous la question : Quand vient le
temps de devoir assister, ou supporter, un frère, ou une sœur;
quel est notre attitude? Sommes-nous frustré de devoir changer nos
plans? Sommes-nous un peu tanné de devoir encore le secourir? Est-ce
que nous jugeons sa croissance en Christ? Est-ce qu'on se dit :
Mais voyons d'on, faut encore que je l'aide? Si vous ne réagissez
d'aucune de ces façons, ne vous taper pas trop vite dans le dos.
Parce qu'il doit y avoir une attitude de joie. Nous devons courir
avec ferveur vers cette opportunité de soutien. Nous devons nous
empresser d'aller au secours des frères et sœurs. Comme Christ
c'est livré aux soldats avec empressement dans le jardin de
Gethsémané.
2- Le bienfait
Il y une grande bénédiction d'avoir
des gens qui compte sur nous. De devoir supporter les infirmités des
autres. Monsieur Bonhoeffer, dans LA VIE ENSEMBLE, parle justement de
ce sujet. Il dit que c'est lorsque nous devons supporter les gens,
qu'ils deviennent des vrai frères et sœurs. Ils deviennent des gens
qu'on doit aider, à la place des manipuler. Soyons honnête, nous
sommes tous programmer pour manipuler. Mais dans le besoin, et par la
grâce de Dieu qui agit en nous, nous recherchons à plus sincèrement
aider. En d'autres mots nous recherchons leur bien et pas notre
avantage. En plus, nous avons l'occasion de pouvoir agir comme
Christ. Celui qui par la croix est devenu notre délivrance d'une
façon incroyable. Nous pourrions vraiment dire que c'est à la croix
que le Messie de Dieu est aussi devenu notre frère. C'est en portant
nos fardeaux qu'il a pu mieux comprendre et compatir. C'est la même
chose dans nos relations.
Donc très simplement dit :
courrons vers l’occasion de les aider dans leur afflictions et les
supporter dans leur faiblesse.
Martin labonté
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