Bonjour
frères et sœurs
j'aimerais
parler ce matin du joug que nous devons tous porter. Ce joug que nous
pouvons appeler l'épreuve, porter notre croix ou quoi que se soit
d'autre. Je veux surtout discuter de notre attitude envers ce poids
sur nos épaules. À cause de notre nature pécheresse, notre
première attitude va toujours être de vouloir l'enlever. Sachant
ceci notre réaction initiale chrétienne va d'être de combatte cette tendance typique. À la place laissez-moi vous suggérer une autre
méthode. Prenons notre attitude de vouloir être délivré et
utilisons-la à notre avantage. Pratiquons ce que je pourrais appeler: Délivrance par soumissions. Ça peut sembler tellement simple, mais
rien est simple dans nos états déchut. Permettez-moi de vous
présenter l'effort négatif et positif pour chercher à être
délivré.
NÉGATIVEMENT
Commençons
avec le fait que les proverbes sont clair que nous ne pouvons pas
nous en sauvé. Parce que nous sommes dans un monde déchut il va y
avoir des jougs (travail, responsabilité, etc.). En plus notre chair
va regimber contre ces jougs comme un cheval sauvage qui ne veut pas
de nacelle. Enfin, un petit exemple biblique devrait montrer la
futilité de nos efforts pour s'en sortir. Le roi Saül a eu
plusieurs responsabilités qu'il n'a pas accomplit et conséquences à cause de sa
désobéissance. Il a constamment cherché à s'en sortir à sa
façon. Comme lorsque l'éternel ne lui parlait plus et qu'il a
décidé de consulter les morts. Ultimement c'est ceci qui la mené à
sa mort. Donc tout ça pour dire nos efforts ne donnent rien.
POSITIVEMENT
je
dirais qu'il y a 2 idées à considérer ici. La première est simple,
ça s'appelle la soumission. Monsieur Bonhoeffer explique que
Christ a été délivré de Son joug, la coupe, en l'acceptant.
C'est quand Il a été près à dire : Non ma volonté! Qu'Il à
été délivré de Son angoisse. Le Bible est clair sur le sujet :
Jacques
4:7=
Soumettez-vous
donc à Dieu; résistez au diable, et il fuira loin de vous.
Donc
pour être délivré de ce joug, la tentation, nous devons nous soumette
à Dieu. Pierre aussi à quelque chose à dire sur ce sujet:
1 Pierre
5:6-7=
Humiliez-vous
donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève au
temps convenable; et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car
lui-même prend soin de vous.
-
- Maintenant ses paroles nous amène vers la deuxième idée. Celle-ci s'appelle ce décharger. Le Seigneur lui-même a sus crier à Son Père lorsque la coupe devenait trop grosse comme fardeau. En parlant sur le contentement, Thomas Watson dit : Il y une différence entre se plaindre à Dieu et se plaindre de Dieu. Il utilise l'exemple de Anne, la mère de Samuel, pour prouver son point. Elle était accablé et a cherché du secours de la part de l'Éternel. Elle à vidé tout l'amertume de son cœur, donc nous parlons de se plaindre à Dieu. Pour ensuite retourner chez eux heureuse, parce qu'elle était délivré de son fardeau. Il y une différence entre dire à Dieu : Ton fardeau est lourd, aide moi et ton fardeau est lourd, pourquoi me fais-tu souffrir?
-
- En d'autre mots la soumission c'est plus qu'une pratique stoïque. C'est plus qu'un mantra qu'on répète comme : que ta volonté soi fait. C'est de la relancer entre les mains de Dieu sachant qu'Il va porter notre joug pour nous. Justement c'est ça que Pierre nous dit. L'idée dans le texte c'est : pour pouvoir t'humilier, ou soumettre, tu dois te décharger sur Lui. Ça revient au cercle glorieux de Psaumes 50:15 =
- Et invoque-moi au jour de la détresse; Je te délivrerai, et tu me glorifieras.
Dieu
nous met, ou permet si vous voulez, un joug pour que nous
l'invoquons. Il nous délivre et nous le remercions. Tout ceci créer
l'attitude de soumission et la capacité de porter le joug.
Donc
pratiquons le cercle glorieux et non le cercle vicieux de se plaindre
ou résister.
Martin Labonté
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