lundi 7 juillet 2014

LES VERTUS DE LA VIE COMMUNE 1

Bonjour frères et sœurs

Je voulais commencer une nouvelle petite série qui m'est venue par mon culte, lecture et méditation personnel. Je l'intitule : Les vertus de la vie commune. L'idée c'est de voir ensemble trois vertus clairement établit dans la Parole sur notre vie commune. Je parle ici de trois vérités élémentaire sur comment vivre entre frères et sœurs.

Ma première vertu vient directement de Galates 6:2:
Portez les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de Christ.

N'est-ce pas simple comme commandement? Pourtant savons-nous exactement comment le mette en pratique? Voici un indice qui vient de la Bible. Dans Esaïe 58 l'Éternel reproche à Son peuple leur jeûne hypocrite. Il leur donne en retour quelques ligne directrice sur comment Lui plaire vraiment.

Esaïe 58:7
Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.

Verset 10
Si tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim, Si tu rassasies l'âme indigente, Ta lumière se lèvera sur l'obscurité, Et tes ténèbres seront comme le midi.

C'est très simplement de venir en aide à ceux dans le besoin. Ça c'est la religion pure et sans tache, selon Jacques. Ça fait partit des qualifications de la veuve qui «mérite» d'être mis sur le rôle, selon Paul. Même si c'est si rudimentaire, nous continuons à avoir des difficultés de le mettre en pratique. Nous avons nos propres fardeaux à porté et ça nous garde bien occupé. Je parle pour moi-même bien sure. Mais voici ce que Jonathan Edwards dit sur le sujet:

Dans de nombreux cas, nous pouvons, par les règles de l'Évangile, être obligés de donner aux autres quand nous ne pouvons pas le faire sans souffrir; comme si les difficultés et les besoins de nos voisins sont beaucoup plus grande que les nôtre, nous devrions être prêts à souffrir avec lui et de prendre une partie de son fardeau sur nous-mêmes. Sinon comment est-ce la règle de porter les fardeaux les uns des autres peut-elle se remplir? Si nous cherchons à  soulager les fardeaux des autres, que quand nous pouvons le faire sans nous embarrasser, alors comment pouvons-nous porter les fardeaux de nos voisins, lorsque nous ne portons aucune charge?

Sa citation peut se résumer très simplement comme ceci : Si j’attends d'être capable d'aider, je n'aiderai jamais. Je ne peux pas dire je n’ai pas le temps, j'ai mes problèmes à régler avant, j'ai des préoccupations ou ainsi de suite. La vérité fondamental c'est que le Seigneur à arrangé les choses pour que nous nous supportons mutuellement. Si nous nous occupons des affaires des autres et qu'ils s'occupent de nos affaires, il n'y plus de problèmes.

N'est-ce pas un système merveilleux? Et c'est le temps de le mettre en pratique, n'est-ce pas?


Martin Labonté

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