Bonjour frères et
sœurs
Je voulais commencer
une nouvelle petite série qui m'est venue par mon culte, lecture et
méditation personnel. Je l'intitule : Les vertus de la vie
commune. L'idée c'est de voir ensemble trois vertus clairement
établit dans la Parole sur notre vie commune. Je parle ici de trois
vérités élémentaire sur comment vivre entre frères et sœurs.
Ma première vertu
vient directement de Galates 6:2:
Portez
les fardeaux les uns des autres, et vous accomplirez ainsi la loi de
Christ.
N'est-ce pas simple
comme commandement? Pourtant savons-nous exactement comment le mette
en pratique? Voici un indice qui vient de la Bible. Dans Esaïe 58
l'Éternel reproche à Son peuple leur jeûne hypocrite. Il leur
donne en retour quelques ligne directrice sur comment Lui plaire
vraiment.
Esaïe 58:7
Partage
ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les
malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te
détourne pas de ton semblable.
Verset 10
Si
tu donnes ta propre subsistance à celui qui a faim, Si tu rassasies
l'âme indigente, Ta lumière se lèvera sur l'obscurité, Et tes
ténèbres seront comme le midi.
C'est très
simplement de venir en aide à ceux dans le besoin. Ça c'est la
religion pure et sans tache, selon Jacques. Ça fait partit des
qualifications de la veuve qui «mérite» d'être mis sur le rôle,
selon Paul. Même si c'est si rudimentaire, nous continuons à avoir
des difficultés de le mettre en pratique. Nous avons nos propres
fardeaux à porté et ça nous garde bien occupé. Je parle pour
moi-même bien sure. Mais voici ce que Jonathan Edwards dit sur le
sujet:
Dans de nombreux
cas, nous pouvons, par les règles de l'Évangile, être obligés de
donner aux autres quand nous ne pouvons pas le faire sans souffrir;
comme si les difficultés et les besoins de nos voisins sont beaucoup
plus grande que les nôtre, nous devrions être prêts à souffrir
avec lui et de prendre une partie de son fardeau sur nous-mêmes.
Sinon comment est-ce la règle de porter les fardeaux les uns des
autres peut-elle se remplir? Si nous cherchons à soulager les
fardeaux des autres, que quand nous pouvons le faire sans nous
embarrasser, alors comment pouvons-nous porter les fardeaux de nos
voisins, lorsque nous ne portons aucune charge?
Sa citation peut se
résumer très simplement comme ceci : Si j’attends d'être
capable d'aider, je n'aiderai jamais. Je ne peux pas dire je n’ai
pas le temps, j'ai mes problèmes à régler avant, j'ai des
préoccupations ou ainsi de suite. La vérité fondamental c'est que
le Seigneur à arrangé les choses pour que nous nous supportons
mutuellement. Si nous nous occupons des affaires des autres et qu'ils
s'occupent de nos affaires, il n'y plus de problèmes.
N'est-ce pas un
système merveilleux? Et c'est le temps de le mettre en pratique,
n'est-ce pas?
Martin Labonté
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