Bonjour frères et soeurs
Nous sommes déjà rendus à la fin du chapitre 2. Nous arrivons aussi au début d'une des plus grandes sections du livre. Ce que les experts appels la grande parenthèse. C'est au verset 14 que Paul va partir une longue discussion sur son ministère. C'est une sorte de pré défense avec l'autre grande section, les chapitres 10 à 13. Nous pouvons appeler cette section la grande défense. Cette parenthèse commence au verset 14 et ne se termine qu'au verset 3 du chapitre 7.
LES VERSETS 12-13
Au reste, lorsque je fus arrivé à Troas pour l'Évangile de Christ, quoique le Seigneur m'y eût ouvert une porte, je n'eus point de repos d'esprit, parce que je ne trouvai pas Tite, mon frère; c'est pourquoi, ayant pris congé d'eux, je partis pour la Macédoine.
La raison que c'est appelé comme ceci est à cause du lien entre 2: 13 et 7: 4. Au verset 12 et 13 Paul parle un peu de son itinéraire. Surtout son besoin de rencontrer Tite et d'avoir des nouvelles de Corinthe. C'est seulement rendu au chapitre 7 qu'il va finalement nous dire qu'est-ce Tite lui a donné comme rapport. Par le verset 12, nous sommes capables de situer les événements, avant la composition de 2 Corinthiens, avec ceux d'Actes chapitre 20. Même si Dieu lui avait donné un grand succès à Troas, Paul pensait juste à Tite. Nous pouvons comprendre son manque de repos à cause de la situation Corinthienne, ils n'allaient pas bien. En plus des péchés à réglé; maintenant, il semblait s'être infiltré des faux enseignants. C'est donc compréhensible que Paul s'inquiète pour eux plus que se réjouir pour l'œuvre de Troas. C'est vraiment le cœur d'un pasteur qui pense plus aux brebis faibles qu'a ceux qui font bien. Avant même de donner les informations du rapport de Tite, Paul se lance dans une doxologie. C'est comme ça qu'il commence sa grande parenthèse.
LES VERSETS 14-17
Grâces soient rendues à Dieu, qui nous fait toujours triompher en Christ, et qui répand par nous en tout lieu l'odeur de sa connaissance! Nous sommes, en effet, pour Dieu la bonne odeur de Christ, parmi ceux qui sont sauvés et parmi ceux qui périssent: aux uns, une odeur de mort, donnant la mort; aux autres, une odeur de vie, donnant la vie. -Et qui est suffisant pour ces choses? - Car nous ne falsifions point la parole de Dieu, comme font plusieurs; mais c'est avec sincérité, mais c'est de la part de Dieu, que nous parlons en Christ devant Dieu.
Il utilise la parade triomphale romaine, qui consistait à traîner derrière le général conquérant le peuple conquis, pour enseigner un peu de théologie. Celle des deux sortes de personnes. Il n'y a que deux sortes de personnes dans le monde, ceux qui sont certains de périr et ceux qui font être sauvés. Nous ne les connaissons pas, mais Dieu oui. Certain sentent la bonne odeur et se repent, mais d'autres ne sentent que la mort. C'est à la fin de cette exposition, la fin du verset 16, que Paul nous pose une question: « et qui est suffisant pour ces choses?» Cette question lui permet de s'enligner sur cette pré défense. Au verset 17 il répond que lui et son équipe sont ceux qui essayer de bien faire «ces choses.» Il se compare aux plusieurs, littéralement les plusieurs, fessant surement référence aux faux enseignants. Des gens qui falsifiaient la parole. Un terme qui était utilisé pour parler des vendeurs de vin qui diluaient leur produit pour en vendre plus. Aussi, les beaux parleurs qui pouvaient vendre n'importe quoi à n'importe qui. Paul apportait une Parole qui venait de Dieu et était enseigné devant Dieu, comme pour dire je Lui rends des comptes.
Tout ceci va nous apporter vers de longues discussions sur le ministère fidèle de Paul. Nous pouvons ressentir son amour pour l'église de Corinthe et sa joie pour leur succès. Son désir numéro un était de donner le meilleur à ses enfants dans la foi. Ce cours texte nous montre le cœur d'un pasteur qui ne vit que pour ses brebis.
Martin Labonté
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