lundi 26 janvier 2015

LE CRI DU COEUR

Bonjour frères et sœurs

Ce matin, j'aimerais continuer sur l'envoi de mes deux derniers blogs, en parlant du cri du cœur. Les gens qui me connaissent bien aime me traiter de machine et c'est vrai que des fois, j'agis comme ça. Je m'applique à plein de choses et j'essaye d'accomplir plein de tâches comme un espèce de machine à tout usage. Sauf que je ne le fais pas mécaniquement. Je cherche l'aide de Dieu pour réussir, je prie pour comprendre ce que j'étudie et que mon cœur soit touché. Et c'est ça mon problème, le fameux JE FAIS. C'est drôle parce que nous avons été sauvés en venant à Christ dans notre incapacité la plus totale. Pourtant des nôtre conversion nous essayons de Lui plaire et Le servir. Nous essayons de puiser Sa force par nos prières. Nous essayons de recharger nos batteries par des bons livres ou conférences biblique. Toujours par NOS EFFORTS.

Les vieux théologiens, eux, n'avaient pas honte de dire que des fois Dieu nous abandonne. Qu'Il peut même nous laisser entre les mains de l'Ennemis, ou si vous voulez envoyer un ange de satan pour nous souffleter, dans le but de nous montrer notre très grande faiblesse. C'est comme dire: Si vous voulez tellement essayer par vous-même, bien allez-y! C'est dans ces moments que nous devons crier à Dieu pour Son secours.

Ce sont des moments lorsque nous sommes prosternés par terre en grande larme Lui disant: Je suis plus capable, faut que tu fasses quelques choses! Ce sont des moments qu'Il doit faire quelque chose si non nous n'allons pas pouvoir continuer ou même simplement nous allons abandonner. Ces grands hommes d'autre fois osaient dire ici que cet état est causé par le Seigneur. Qu'Il veut nous ramener à cet état où est-ce que nous ne pouvons pas nous sauvé nous-même.

c'est le témoignage des Écritures.

Psaumes 51:19
Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c'est un esprit brisé: O Dieu! tu ne dédaignes pas un coeur brisé et contrit.

En passant David dit ceci après son péché avec Bath Schéba.

Donc ne regrettez pas ces moments-là, mais mettez-y votre cœur. Sauf que ces moments nous ramènent au fameux débat entre plaider pour Son aide et Se confier dans Sa personne. Cette difficulté entre vouloir être délivré et attende sa délivrance. Ce temps où est-ce que nous devons être fort, mais nous sommes faible. C'est là que nous avons besoin de personnellement goûter, avalé, et même digéré ces grandes vérités que nous avons étudié pendant toutes ces années. C'est là que nous avons besoin de ressentir à quel point Il nous aime. Tristement, nous arrivons à ce point seulement lorsque nous sommes à bout de nos forces.

Je vous dis ceci de mon expérience et mes études. Autant, je l'ai vécu, et continue à le vivre, que je l'ai lu dans ces écrits d'autre fois. Si vous vous sentez plus capable dites-le à votre Papa céleste sans hésitations ni retenue.

Martin Labonté 

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