lundi 20 octobre 2014

TU LE MÉRITE

Bonjour frères et soeurs

Je viens tout juste d’être «inspiré» en lisant Job chapitre 19 et 20. Dans le chapitre 19 Job se plaint d’être rejeté par tous amis, famille, sa femme et même par Dieu Lui-même. Il demande un peu de pitié de la part de ses amis. La réponse qu’il entend au chapitre 20, d’un de ses amis, c’est que les pécheurs reçoivent ce qu’il mérite.

Cette sorte d’attitude ressemble à l’idée qui dit qu'il y des conséquences pour le péché. Cette mentalité parmi nous qui condamne nos propres frères et sœurs lorsqu’ils chutent, s’éloignent de Dieu ou tout simplement sont rebelles. Sauf que Dieu lui-même à démontré la plus belle attitude d’amour en venant sauver les pécheurs. C’est drôle de voir l’incroyable compassion de Celui qui est parfait comparé à la froideur doctrinal de ceux qui sont imparfait. Je veux dire ici c'est que nous sommes des pécheurs et condamnons les autres pécheurs. Lorsque nous avons chuté n’est-ce que qu’on désire le pardon, miséricorde et même grâce de Dieu. Nous désirons être délivrés des grandes conséquences que nous méritons et plaidons le Seigneur d’avoir compassion parce que nous sommes imparfaits. Pourtant nous nous permettons de juger et rejeter tous ceux qui vive tout croche.

Nous devons imiter le médiateur qui intercède pour des horribles pécheurs comme nous. Mais nous semblons oubliés que l’intercession veut dire de défendre les droits de l’autre et pas l’honneur du dirigeant. Un avocat de la défense qui commence à dire: mon client est coupable et mérite de souffrir pour son crime; est un horrible avocat. Comprenez que je ne suis pas entrain parler d’une situation personnel dans ma vie, mais j’ai été affecté par la dureté du cœur de cet amis de Job. Sauf que ce ne sont pas juste ses amis, c’est nous aussi.

N’oublions jamais que le Dieu parfait compatisse avec nous; donc nous, des imparfaits, devraient encore plus compatir avec d’autres imparfaits. Et comme Christ a dit: fessons aux autres ce que nous voulons qu’ils nous fassent. Voulons-nous des critiques ou de la compassion.

Martin Labonté

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