« Mes frères,
que votre foi en notre glorieux Seigneur Jésus-Christ soit exempte de tout
favoritisme. » (Jacques 2:1)
La foi et
l'acceptation de personne sont deux choses incompatibles. Dieu n'ayant pas cette
approche avec nous, pourquoi l'aurions-nous avec les autres? Envers qui est-ce
que le Seigneur a démontré du favoritisme? N'est-Il pas celui qui a autant
partagé un repas avec les publicains et les gens de mauvaises vie, qu'avec les
pharisiens? N'a-t-il pas guérit le serviteur d'un centurion romain, d'un païen,
mais également la fille d'un chef de synagogue? N'a-t-il pas annoncé la venu du
royaume de Dieu autant aux foules composés des gens du peuple, qu'au chefs
religieux de celui-ci? N'a-t-il pas proclamé la nécessité de la repentance pour
tous, sans égard à leur condition terrestre? Pourquoi ferions-nous des
distinctions où Celui que nous appelons notre Seigneur n'en a pas fait?
Samuel Deroy
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