L'ÉGLISE PERSÉCUTÉ 4

Bonjour frères et soeurs

Voici un rappel de la haine qui existe contre nous:

BURMA: Chrétiens nouvellement converti attaqués dans le village

Source: Morning Star News

Le 6 juillet, environ 150 bouddhistes en colère (y compris des moines) ont attaqué sept chrétiens nouvellement convertis en Birmanie (Myanmar), détruisant leurs maisons et propriétés, tout en causant des blessures corporelles. Quelques jours après que deux familles avaient commis leur vie au Christ, des membres de la foule se sont enfuis dans leurs maisons dans le village de Thi Taw dans la région de Sagaing du nord-ouest de la Birmanie. Au total, quatre femmes et trois hommes ont été frappés de pierres et de bâtons, blessés à la tête, aux visages et au dos. Au cours de l'attaque, trois motos ont également été détruites.

Avant cette explosion de violence, il a été signalé que les villageois chrétiens ont chanté et prêché tard dans la nuit pour célébrer et accueillir les nouveaux chrétiens. Un moine de Thi Taw avait dit aux chrétiens adorant de se taire. Pourtant, les villageois, qui avaient visité l'état voisin de Chin, ont continué avec leurs services pendant trois jours - incitant les bouddhistes à attaquer le troisième jour.

Incapable d'arrêter l'attaque sur les maisons des victimes, la police a suscité l'aide d'autres moines dans le village. Cependant, leurs tentatives d'intervention combinées ont alimenté la colère des auteurs. La police a ensuite tiré dans le ciel pour avertir et effrayer les assaillants qui les ont à nouveau rendu furieux. Malgré les avertissements de la police, la foule hors de contrôle a battu les chrétiens et détruit leurs effets personnels.

Comme il est commun en Birmanie, les auteurs ont également fait des accusations infondées selon lesquelles les chrétiens donnaient de l'argent aux deux familles bouddhistes afin de se convertir au christianisme. Ils ont également essayé de faire pression sur les chrétiens nouvellement convertis pour qu'ils retournent au bouddhisme en leur faisant choisir entre «reconversion» et être banni du village.

Après la fin de l'attaque, les moines mécontents du village ont aidé la police en envoyant aux pasteurs et aux villageois blessés à la clinique locale un traitement. Les familles chrétiennes se sont alors déplacées vers un ensemble appartenant à l'église locale jusqu'à ce que leurs maisons puissent être reconstruites.