lundi 16 juin 2014

QU'EST-CE QUE DIEU VEUT?

Un peu comme mon titre le dit je fais chercher à répondre à une question bien compliqué, mais par une réponse très simple. Par Ses prophètes le Seigneur a partagé plusieurs reproches et donné beaucoup direction à Son peuple. Son but était de rétablir la communion avec eux. Il les appelait à ce repentir et pratiquer certain œuvres. J'aimerais me concentrer sur une lignée de commandements dans cette méditation. Portez bien attention à ces prochaines passages :

Esai 58:5-7 Est-ce là le jeûne auquel je prends plaisir, Un jour où l'homme humilie son âme? Courber la tête comme un jonc, Et se coucher sur le sac et la cendre, Est-ce là ce que tu appelleras un jeûne, Un jour agréable à l'Éternel? Voici le jeûne auquel je prends plaisir: Détache les chaînes de la méchanceté, Dénoue les liens de la servitude, Renvoie libres les opprimés, Et que l'on rompe toute espèce de joug; Partage ton pain avec celui qui a faim, Et fais entrer dans ta maison les malheureux sans asile; Si tu vois un homme nu, couvre-le, Et ne te détourne pas de ton semblable.

Zacharie 7:5-6 Dis à tout le peuple du pays et aux sacrificateurs: Quand vous avez jeûné et pleuré au cinquième et au septième mois, et cela depuis soixante-dix ans, est-ce pour moi que vous avez jeûné? Et quand vous mangez et buvez, n'est-ce pas vous qui mangez et vous qui buvez?

7:9-10 Ainsi parlait l'Éternel des armées: Rendez véritablement la justice, Et ayez l'un pour l'autre de la bonté et de la miséricorde. N'opprimez pas la veuve et l'orphelin, l'étranger et le pauvre, Et ne méditez pas l'un contre l'autre le mal dans vos cœurs.

8:16-17 Voici ce que vous devez faire: dites la vérité chacun à son prochain; jugez dans vos portes selon la vérité et en vue de la paix; que nul en son coeur ne pense le mal contre son prochain, et n'aimez pas le faux serment, car ce sont là toutes choses que je hais, dit l'Éternel.

Est-ce que vous voyez la ligne directrice? L’Éternel leur dit clairement qu'Il ne veut pas des actes religieuse, mais qu'ils fassent du bien aux autres. Comme Christ leur a dit : vous laissez ce qui est plus important dans la loi, la justice, la miséricorde et la fidélité ... (mat 23:23). C'est intéressant, n'est-ce pas, qu'Il focalise autant sur le besoin d'aider son prochain? Jacques, pour sa part, nous dit : Si un frère ou une soeur sont nus et manquent de la nourriture de chaque jour, et que l'un d'entre vous leur dise: Allez en paix, chauffez-vous et vous rassasiez! et que vous ne leur donniez pas ce qui est nécessaire au corps, à quoi cela sert-il? (Jac 2:15-16). Celui qui décide de juste souhaiter ou prier, si je peux le dire comme ça, quand il voit le besoin de ses frères et sœurs; à une foi morte. C'est fort n'est-ce pas? Ceci veut dire que nous devons être sensible aux besoins de nos frères et sœurs. Tristement nous semblons être plus sensible à leurs manquements. D'être plus concentré sur leurs péché et le besoin des reprendre. En plus, un peu après Jacques nous parle de devenir des juges de la loi à la place d'être des pratiqueurs de la loi.

Jacques 4:11 Ne parlez point mal les uns des autres, frères. Celui qui parle mal d'un frère, ou qui juge son frère, parle mal de la loi et juge la loi. Or, si tu juges la loi, tu n'es pas observateur de la loi, mais tu en es juge.

Nous pourrions vraiment dire que son épître à comme point principale l'appel au service. Et que ce service se fait auprès des frères et sœurs. Jean ajouterait qu'on ne peut pas aimer Dieu sans aimer nos frères et sœurs. Comment est-ce qu'on peut servir Dieu, sans servir Ses enfants? La réponse c'est que c'est impossible. Dans nos passages du début Dieu cherche à restaurer la communion avec Son peuple en leur demandant de faire du bien aux autres. Ça peut pas être plus clair.

Nous ne devons pas oublier l'importance de la vérité dans l'entraide. C'est tout aussi présent dans nos versets. Dès fois nous voulons tellement essayer de couvrir les péchés des autres par l'amour que nous finissons par cacher de la frustration. À la place de vraiment couvrir par le sang de Christ, qui élimine tout péché, nous le mettons sous le tapis et l'accumulons. Nous ne pardonnons pas comme Dieu nous as pardonné, mais nous l'avalons et remplissons nos entrailles d'amertume. Un bon truck pour savoir lequel des deux qu'on a fait c'est ceci : Est-ce qu'on revient sur le problème? En d'autres mots, est-ce qu'on en parle a tout les gens qu'on rencontre? Est-ce qu'on y pense tout le temps? Si oui il faut se poser des questions, mais bon ce n'est pas mon sujet ce matin. Je voulais plus vous inviter à pratiquer l’honnêteté avec ceux qui nous ont offensé. Dès fois, même souvent, il faut confronter la situation. Il faut discuter avec la personne et chercher à régler le problème. La meilleur façon de combattre la duplicité c'est de parler honnêtement des choses qui se sont passé. À la place de garder tout caché à l'intérieur où est-ce que l'amertume peut devenir de la haine et même de la colère. 

Si vous vous demandez le lien à faire entre le service et l'honnêteté? C'est simple, dans l'entraide il y des fois des attentes et malentendu. Il peut y avoir des gens qui voulaient cette sorte d'aide ou d'autres qui voulait un peu de reconnaissance. Ce poison ne peut être contré que par le médicament de la vérité. C'est facile d'avoir de la rancune lorsque les attente ne sont pas atteinte. Il est tout aussi facile d'aider avec des cœurs frustrer ou d'agir en hypocrite. La vraie aide est fait avec honnêteté, c'est là le lien.

Que Dieu nous aide


Martin Labonté

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