Bonjour frères et soeurs
Ce matin, nous arrivons à notre dernier blog post-étude. En d’autres mots, c’est la dernière fois que je vais écrit ce blog du mercredi après l’avoir enseigné. Parce que les prochains vont être écrits la journée même. Ceci va vous donner, ceux qui le lise, un avant-goût du message ce soir-là (vous devenez des privilégiés).
Nous arrivons au chapitre 6 et une grande liste. Du verset 4 au verset 10, Paul présente plusieurs souffrances qu’il a endurées pour être recommandable. Cette liste vaut la peine que nous la séparons pour extraire tous les jus spirituels. Donc ce matin, nous allons entamer la première partie, les versets 1 à 5.
LES VERSETS 1-2
Puisque nous travaillons avec Dieu, nous vous exhortons à ne pas recevoir la grâce de Dieu en vain. Car il dit: Au temps favorable je t'ai exaucé, au jour du salut je t'ai secouru. Voici maintenant le temps favorable, voici maintenant le jour du salut.
Plusieurs, si ce n’est pas tous, considèrent ces deux premiers versets comme les deux derniers du chapitre 5. Parce qu’ils semblent donner la conclusion de cette section sur le ministère de la Réconciliation. Paul parle premièrement de travail d’équipe, sunergon dans le grec. Vous l’avez surement reconnu comme parlant de synergie, le travail d’équipe parfait. De ce travail, il se tourne vers une grâce inutile ou vaine. En d’autres mots, nous devons collaborer pour rendre cette grâce efficace. Ensuite, Paul nous donne un verset à l’appui; celui d’Ésaïe 49:8. Il applique ce verset avec un cri de voici (qui veut dire porter attention à se qui suit). C’est maintenant le temps favorable, ce mot-ci n’est pas le même favorable que le premier. C’est une version plus forte, comme de dire: super méga favorable. Pourquoi? Parce que c’est le temps de la grâce, maintenant. Parce que Christ a tout accomplit et nous avons maintenant la synergie parfaite en Lui. Maintenant l’Esprit nous connecte avec Dieu directement pour donner à Sa grâce plus de succès. C’est comme ça que Paul termine son appel au ministère d’ambassadeur. C’est comme si Paul leur dit: participer à ce ministère de grâce et ne retourner pas à l’Ancienne Alliance de la loi.
LES VERSETS 3-4A
Nous ne donnons aucun sujet de scandale en quoi que ce soit, afin que le ministère ne soit pas un objet de blâme. Mais nous nous rendons à tous égards recommandables,
Ayant fini son appel général, Paul retourne à son ministère personnel. Vous l’avez deviné, ceci veut dire des «nous» apostolique. Dans le grec Paul utilise deux termes de grande négation pour encerclé le «nous». C’est comme s’il dit: ce n’est pas possible, nous, ne ferons absolument pas ceci. Faire quoi? Créer un scandale ou déposer une pierre d’achoppement. Pourquoi est-il si catégorique? Parce qu’il parle de son ministère et le danger de la rendre blâmable. Nous savons que les gens du monde regardent à la loupe la vie des croyants, donc il faut toujours faire ultra attentionné à nos vies. Il ajoute l’idée d’être recommandables. Non seulement est-ce qu’il fait attention de ne pas faire du tort, mais il essaye de faire du bien.
LES VERSETS 4B-5
comme serviteurs de Dieu, par beaucoup de patience dans les tribulations, dans les calamités, dans les détresses, sous les coups, dans les prisons, dans les troubles, dans les travaux, dans les veilles, dans les jeûnes;
Comment est-ce que ce serviteur de Dieu réussi à devenir recommandable, c’est en endurant des souffrances. Le mot «patience» veut plus dire endurer ou porter de lourdes charges d’une façon honorable. Regardons cette liste:
- tribulations veut dire pression interne. Souvent, c’est traduit par affliction. Ce n’est pas explicitement les souffrances physiques, mentales ou émotionnelles; mais c'est un impact du «moi» intérieur.
- calamité serait mieux compris par nécessité, donc être dans le besoin.
- détresse parle d’être retenu d’une façon extérieure. Comme une situation hors de notre contrôle
- coups comme lorsqu’il a été lapidé ou les 40 coups moins 1.
- prisons comme à Philipe dans acte 16.
- troubles veut dire une émeute, comme à Éphèse dans acte 19.
- travaux parle de grande fatigue. N’importe quel effort qui te vides totalement
- veilles comme le fait qu’il travaillait jour et nuit.
- jeûnes qui parlent vraiment de se priver de nourriture pour une raison religieuse.
Voici comment Paul défendait son ministère, en souffrant. Nous sommes aussi appeler à gardé nos vies loin des scandales et des rendre recommandable. Ceci veut dire que nous devons aussi endurer honorablement les détresse (extérieur) et tribulation (intérieur). Bien sûr, nous ne vivons peut-être pas toutes les mêmes souffrances que Paul. Vous n’avez surement jamais été battu ou mis en prison pour la cause de Christ. Mais nous devrions travailler jusqu’a la fatigue, étant prêt à veiller ou jeûner pour plus connaitre ou servir Christ. En d’autres mots, ça coûte quelque chose pour donner du succès à cette synergie de grâce.
Martin Labonté
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