Bonjour frères et soeurs
Continuons à s’enfoncer dans cette vérité bien dure à entendre. Le moment où est-ce que le Seigneur doit nous caser. Nous sommes tous des pécheurs (oui toi aussi) et avons besoin d'être sanctifié. Désolé de vous décevoir, mais Dieu ne nous punit pas seulement quand nous sommes vraiment mauvais. Cette notion vient de l'homme, mais pas la Bible. Elle nous présente plus la réalité que nous avons besoin d'être ramenés, et gardé, sur le bon cheminé toujours. Cette vérité peut accabler, donc voyons ensemble ce que monsieur Sibbes nous dit.
DOUBLE COUP
Premièrement, il mentionne que nous sommes, où devraient être, écrasé sous le poids de nos péchés. Cette culpabilité vient lorsque la conscience est illuminée par la parole. C'est à ce moment que la Croix vient nous achever. Nous rappelant la condamnation méritée. Augmentant la lourdeur de dégoût et haine. Nous laissant prosterner parterre comme le publicain entrain de crier: sois apaisé envers moi un pécheur. Nous sommes maintenant prêts pour la guérison.
LE MÉDECIN
Deuxièmement, il nous rappelle que les parents sont toujours plus doux envers ceux qui souffrent. Notre Père Céleste est pareil. Il recherche les cœurs contrits, par juste un peu triste. Il veut les détruits, par juste ceux qui se sentent un peu mal. Mais Il leur fait le plus grand bien. Nous crions comme le peuple dans Osée 6: 1
Venez, retournons à l'Éternel! Car il a déchiré, mais il nous guérira; Il a frappé, mais il bandera nos plaies.
TOUTE LA VÉRITÉ dernièrement, il nous incite à venir à Dieu comme nous sommes. Il ne faut pas cacher notre douleur, parce que le Seigneur les connaît quand même. De dire: que ta volonté soit faite! ; quand dans ton cœur, tu veux dire: Je suis pu capable, arrête! Ne convaincs pas Dieu que nous sommes pieux. Il faut être vrai, parce que nous sommes déjà nus devant Lu. Pensons-nous vraiment Lui cacher nos rancunes ou amertume envers sa volonté? Dieu ne veut pas la belle prière théologique bien formulée, mais les coeurs vrais.
J'espère que vous allez pouvoir tirer un peu de nutriment de ses paroles.
Martin Labonté
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