Ce matin, j'aimerais vous présenter le docteur Viggo Olsen. Cet homme très intelligent et extrêmement déterminé a servi le Seigneur comme missionnaire médical au Bangladesh. Il a commencé un athée, mais par la persévérance de sa belle famille (famille de sa femme) et le Seigneur bien sûr; il s'est converti. Un peu plus tard dans leur vie; ce médecin et sa femme ont senti l'appel pour donner leur vie à Dieu. C'est à ce point qu'une porte pour un œuvre médical missionnaire s'est ouverte. Le travail était long et pénible avec beaucoup de péripéties. Il a eu plusieurs difficultés avec la construction et l'établissement du projet, mais aussi sa continuation.
La raison pour laquelle je voulais vous le présenter c'est parce qu'il n'était pas comme les dizaines de grand homme que j'ai étudié jusqu'à maintenant. Presque tous ceux que j'ai découverts étaient des radicaux prêts à sacrifier leur corps d'une façon exagéré (selon nos standards). Des gens comme David Breinhart, Adonirum Judson, ou C.T. Studd.
Il faut comprendre que le docteur Oslen a mis sa vie en danger et a beaucoup sacrifié pour servir le Seigneur. Sauf que tout se fessait avec logique et sans exagérer. Il n'a pas fait outre de son corps. Quand il était malade il se reposait. Après quelques années de service; il prit une année de vacances avec sa famille et un peu plus tard il en a pris 2. Bien sûr ses vacances avaient beaucoup de visites dans les églises qui le supportait pour rendre des comptes.
Il n'a pas vécu de torture ou grosse persécution. La douleur intense n'a pas fait partie de sa vie. Mais je ne dirais jamais qu'il n'a pas tout donné à Dieu. Son autobiographie m'a aidé à voir les différentes façons de donner sa vie au Seigneur. Il n'est pas le seul serviteur sacrificiel normal que j'ai découvert dernièrement et j'aime voir comment le Seigneur n'a pas de moule particulier.
Bien sûr, je garde mon penchant radical exagéré qui est prêt à souffrir, sacrifier trop ou tout simplement être brisé par le Seigneur. Mais ça, c'est mon appelle, quel est le votre?
Martin Labonté
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