mercredi 25 mai 2016

2 CORINTHIENS 10:1-6

Bonjour frères et sœurs

Eh bien c'est le temps, Paul va péter sa coche. Il va maintenant tourner ses regards, ou sa plume, vers les faux enseignants et ceux qui les suivent. Avant de les démolir verbalement, il va leur donner un choix : douceur ou ferveur. Entre son arrivé va ressembler à l'incarnation, un être doux et bon, ou comme l'avènement, de la destruction. Pour les aider à faire leur choix, il va leur donner un image assez graphique pour l'option numéro 2. Tout se qui résiste à la connaissance de Christ va être anéantit. Toute ce carnage à une intention principale; apporter tous à l'obéissance de Christ.

Cet avertissement peut se séparer comme ceci : le choix donné (1-2), un pont franchit (3), un image présenté (4-5), un ultimatum proposé (6).

LEUR CHOIX, LES VERSETS 1-2
10.1
Moi Paul, je vous prie, par la douceur et la bonté de Christ, -moi, humble d'apparence quand je suis au milieu de vous, et plein de hardiesse à votre égard quand je suis éloigné,
10.2
je vous prie, lorsque je serai présent, de ne pas me forcer à recourir avec assurance à cette hardiesse, dont je me propose d'user contre quelques-uns qui nous regardent comme marchant selon la chair.

Les énoncé répété «je vous prie» nous guide vers les deux choix. Comme j'ai mentionné, le premier choix est égal à l'incarnation. Le deuxième choix est introduit par une critique des supers apôtres. Paul est juste intimident en papier et pas en personne. À ceci Paul répond: attendez que j'arrive je vais vous montrer mon assurance (être sans crainte) hardi (courageuse)!  Son attaque va être concentré contre «quelques-uns», un terme ambiguë. En d'autres mots, n'importe quel personne qui le considère comme charnelle. Paul ne verra pas de différence entre faux enseignants et étudiants. L'expression «marchant selon la chair» est général et est utilisé pour nous guider vers le pont.

LE PONT, LE VERSET 3
10.3
Si nous marchons dans la chair, nous ne combattons pas selon la chair.

En modifiant un petit mot (selon – dans) Paul répond et guide ses lecteurs vers les vrais armes.

L'IMAGE, LES VERSETS 4-5
10.4
Car les armes avec lesquelles nous combattons ne sont pas charnelles; mais elles sont puissantes, par la vertu de Dieu, pour renverser des forteresses.
10.5
Nous renversons les raisonnements et toute hauteur qui s'élève contre la connaissance de Dieu, et nous amenons toute pensée captive à l'obéissance de Christ.

La force de Paul est la puissance de Dieu. Je fais ce jeux de mots parce que Paul se  répète par des synonymes (puissantes et vertu). Cette puissance peut tout jeter parterre; des forteresses, raisonnements et hauteurs. Elle va même amener des captives à Christ. Le mot obéissance c'est hoopakoay dans le grec. Il veut dire d'écouter et agir en conséquence. Le mot désobéissance du verset 6 c'est parakoay, qui veut dire pas écouter. Donc l'obéissance se trouve dans l'écoute. Encore une fois, il faut savoir se que nous croyons et pourquoi nous le croyons. Si non...

L'ULTIMATUM, LE VERSET 6
10.6
Nous sommes prêts aussi à punir toute désobéissance, lorsque votre obéissance sera complète.

La punition en soi pourrait être l’excommunions, mais Paul est aussi capable d'accomplir des oeuvres de puissance. Rappelez-vous de 1 corinthiens chapitre 11 et la sainte cène. Le Seigneur avait discipliné plusieurs rebelle avec puissance. Se qui est certain, les corinthiens ont un choix à faire. Paul leur donne une dernière chance, il attend leur obéissance complète. Bien sûr, le temps est limité parce que sa visite arrivera bientôt et à ce moment il sera trop tard.

Nous n'avons pas d'ultimatum Paulien, mais nous devons être près à enlever tout obstacle à la voix de Christ. Ça peut être des distractions ou des forteresses de traditions. N'importe quel obstruction  de l'appel divine à l'obéissance.

Martin Labonté

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