Bonjour frères et soeurs
Comme vous avez constaté, je commence une nouvelle série centrée sur un livre de Richard Sibbes intitulé LE ROSEAU CASSÉ. Le tout est basé sur Ésaïe 42: 3
Il ne brisera point le roseau cassé, et il n'éteindra point la mèche qui brûle encore;
Il offre à ses lecteurs une panoplie de régals spirituels toujours plus délicieux. J'ai terminé le livre et j'aimerais vous faire passer à travers en version accélérée. Nous allons survoler les festins que j'ai trouvé le plus succulent. C'est certain qu'il va extrapoler et se permet d'aller beaucoup plus loin que le texte permet. N'empêche que ses idées sont vraiment une nourriture pour l'âme. J'espère que vous commencez à avoir l'eau à la bouche?
Commençons avec le roseau même, c'est quoi ou qui? Selon monsieur Sibbes, c'est celui qui est brisé sous le poids de son péché. Il souffre, peut-être physiquement, mentalement ou spirituellement; mais il sait que c'est la faute de son péché. Parce que le péché est la cause de tout les maux. Que ce soit la punition à cause ou le besoin de l'enlever de nos vies. Dans cet état, il se tourne vers l'extérieur. Il veut avoir du secoure et il comprend que ça se ne trouve pas en lui-même. Sa douleur le pousse vers le trône de grâce, mais avec réticence. Est-ce que ce Juste Juge voudrait vraiment m'aider? Il se considère trop pécheur, mais il a besoin d'aide. Ceci le transforme en mèche fumante ou qui brûle encore un peu. Il est le fameux cœur contrit ou pauvre en esprit.
La descriptions n'arrête pas au non sauvé. Les croyants aussi portent sur leurs épaules le poids de leur transgressions. Le fardeau continu à peser lourdement sur le chrétien même s'il à été délivré de sa charge complète. Ceci fait plier le roseau, en d'autres mots il va se prosterner devant le Saint trône.
La question est: est-ce que ceci vous représente d'une façon ou une autre? Si oui ces prochains blogs font être comme un baume sur votre cœur, comme ça été pour moi. Si votre réponse est, un peu ou pas vraiment. Je crois quand même que ceci va être le petit pot d’onguent que vous allez porter avec vous pour la prochaine fois. Si votre réponse est: pas du tout, je suis triste pour vous. Parce que la Bible est claire que se sont eux qui goûtent la grâce de Dieu dans toute sa saveur. Je ne dis pas ceci par orgueil ou méchanceté. Mais si vous n'avez pas besoin de Dieu comme le texte l'affirme, il faut se remettre en question.
Martin Labonté
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