Bonjour frères et soeurs
Prenons une petite pause des autres écrivains pour maintenant revenir à la Bible ensemble. Ce matin, j'ai lut Luc chapitre 21 et un verset mon sauté aux yeux, 34.
Prenez garde à vous-mêmes, de crainte que vos cœurs ne s'appesantissent par les excès du manger et du boire, et par les soucis de la vie, et que ce jour ne vienne sur vous à l'improviste;
Ce qui me laisse, bouche bée, c'est le troisième terme, péché, que Jésus mentionne. Nous comprenons le besoin de s'éloigner des excès du boire. Même que dans le grec ça se répète. Le premier terme parle de mal de tête causé par l'intoxication d'alcool; donc trop boire. Le deuxième parle de trop boire. Peu importe comment on le traduit, nous savons le danger des excès. Nous sommes presque des experts pour condamner cette sorte de pratique. Mais qu'est-ce qu'on fait du dernier terme? Il veut dire littéralement séparation, donc d'être fracturé en deux à cause des soucis. En d'autres mots devenaient si inquiète que nos pensées promènent entre la tâche devant nous, travail ou étude, et le problème en soi nous trouble.
N'est-ce pas spécial que le Seigneur combine l'ivrognerie aux soucis envahissants? Si vous avez déjà porté à porter à porter attention aux avertissements de Jésus à-propos de son retour, vous avez souvent vu l'ivrognerie. Il semble l'utiliser pour parler de vivre selon la chair ou le train de ce monde. Un peu comme Paul dit aux Thessaloniciens; entre vous veiller dans la lumière où vivez dans les ténèbres catégorisées par l'ivrognerie ou les excès. Donc on comprend pourquoi il l'utilise au verset 34. Mais c'est quoi le lien avec l’inquiétude.
Je pense que le lien se trouve dans la signification du mot: séparé à l'intérieur. Rappelez-vous qu'il ne faut pas avoir de cœur partagé. Dans le sermon sur la montagne, le cœur partageait et rattaché à ne pas s'inquiéter. Matthieu 6: 19-34
En plus, notre inquiétude nous ramène vers le monde. Cette fois-ci, c'est moins pour en profiter, mais quand même pour en ressortir quelques bénéfices.
Honnêtement, je n'ai pas toutes les réponses, mais j'espère vous faire méditer comme je suis en train de le faire.
Martin Labonté
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